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  • L’AGRIF fait condamner le raciste Bouamama

    nique-le-france_bouamama-300x300.jpgPoursuivis en 2012 pour leur CD Nique la France, le rappeur Saïd Zouggagh « Saïdou » du groupe ZEP et le « sociologue » Saïd Bouamama avait bénéficié le 28 novembre 2012 d’un article d’une rare débilité dans Les Inrocks, le torchon pseudo-culturel d’extrême gauche, signé par un certain Basile Lemaire, qui situe l’AGRIF… à droite du Front National !!! Bon, c’est vrai que quand on place Jean-François « Copé » Copelovici à l’extrême droite… Ainsi d’ailleurs que d’une pétition de soutien signé d’un ramassis, d’illustres inconnus, d’has been (Elie Medeiros, Siné) et de never be (le reste), ainsi que quelques politicards dont je me fais une joie de rappeler les noms : Olivier Besancenot, Rokhaya Diallo, Eva Joly, Noël Mamère, Clémentine Autin, Houria Bouteldja, Sergio Coronado mais aussi une certaine… Judith Butler ! Il y a beau avoir 8 tentacules différentes chez une pieuvre, quand on les remonte, on arrive à la même tête…  Relaxés le 19 mars 2015, les racistes antiblancs furent condamnés en cassation le 1er mars 2017 et le dossier renvoyé en appel. 5 ans après, le climat à changé. Parce que Charlie, parce que Hypercasher, parce que Bataclan, alors Zemmour, alors Finkielkraut, alors Lévy, et donc…

    Le 15 janvier, l’AGRIF publiait le communiqué suivant :

    « C’est une heureuse décision rendant justice à l’AGRIF que vient de rendre ce vendredi 12 janvier 2018 la Cour d’appel de Lyon. Elle a en effet condamné les injures racistes anti-françaises perpétrées dans une production rapeuse sous le même titre que le livre « Nique la France », ayant pour auteur le dénommé Saïd Zouggagh, plainte dont elle avait été déboutée par la Cour d’appel de Paris. Mais la Cour de cassation, ayant cassé cet appel d’une manière très sévère sur le fond, avait ordonné que le procès soit déporté devant la Cour d’appel de Lyon. Cette dernière a jugé que les propos poursuivis étaient de nature à mériter une condamnation, certes à la peine symbolique d’un euro de dommages et intérêts, mais condamnation explicite et significative assortie de l’injonction de verser 3000 € à l’AGRIF pour ses frais de procédure et d’avocat. Cette satisfaction judiciaire marque le combat mené par l’AGRIF face à l’entreprise de haine contre la France, les Français et les blancs, inspiré par madame Houria Bouteldja, porte-parole du PIR (Parti des Indigènes de la République). Ce parti, fer de lance de toute une mouvance tenant des discours de guerre civile, a tenté à ses débuts de s’avancer sous le couvert de l’idéologie de l’antiracisme. Mais nous en avons démonté la dialectique de camouflage, mettant en évidence le fait que, selon notre expression, l’antiracisme est en fait « un racisme en sens contraire ». L’AGRIF défend, quelle que soit soient leur race, ou leur religion, tous les Français injuriés ou agressés pour le seul fait d’être français. Elle défend notamment les chrétiens, quelle que soit leur origine, discriminés ou persécutés pour le seul fait d’être chrétien. L’arrêt de la Cour d’appel de Lyon manifeste combien est nécessaire le combat de l’AGRIF contre le racisme de l’islamo-gauchisme. »

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/lagrif-fait-condamner-le-raciste-bouamama/86342/

  • Immigration : près de 50% des Français croient au «remplacement»

    Une enquête à l'Ifop concernant le rapport des Français au «conspirationnisme» a testé différentes théories. Parmi celles recueillant le plus l'adhésion des sondés figure celle d'une «immigration comme projet politique organisé par les élites». 
    La fondation Jean Jaurès (proche du Parti socialiste) et Conspiracy Watch ont commandé une enquête à l'Ifop au sujet du «conspirationnisme». Publiée le 7 janvier, elle révèle que 79% des Français adhèrent à une «théorie du complot» et que près de la moitié de ceux-ci (48%) pensent qu'il existe une «immigration comme projet politique organisée par les élites».
    Les personnes souscrivant à cette idée du «remplacement» de population sont plus nombreuses dans la classe d'âge la plus élevée (54% chez les plus de 65 ans) que chez les plus jeunes (44% chez les 18-24 ans). 78% des sympathisants du Front national (FN) adhèrent à cette idée, ainsi que 60% des sympathisants de droite. Cette proportion est même légèrement plus forte parmi les sympathisants de la France insoumise (FI, 32%) et du PS (35%) que parmi ceux de La République en marche (30%). 
    Le détail de l'étude montre qu'une très large majorité des Français, soit 72%, considèrent l'immigration comme «un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différentes et menace à terme notre mode de vie». Parmi les sympathisants de LREM (62%) du FN (90%) ou de la FI (61%), cette opinion est majoritaire quelle que soit la frange du spectre politique à laquelle s'identifient les sondés, seuls les sympathisants écologistes ne sont «que» 49% à y souscrire. 
    79% des Français «complotistes» ? 
    L'étude de l'Ifop s'intéresse en outre à d'autres «théories du complot», ciblant pèle-mêle l'existence de «zones d'ombre» dans l'enquête sur les attentats contre Charlie Hebdo, la croyance selon laquelle la terre est plate, que «le virus du sida a été créé en laboratoire et testé sur la population africaine avant de se répandre à travers le monde» ou encore que «le ministère de la santé est de mèche avec l'industrie pharmaceutique pour cacher au grand public la réalité sur la nocivité des vaccins». Au total, pas moins de 79% des Français adhéreraient à l'une des théories listées par l'étude. 
    Cette tendance très marquée s'accompagne d'une défiance sensible à l'égard des médias. 36% des Français pensent ainsi que ceux-ci sont «largement soumis aux pressions du pouvoir politique et de l’argent». S'ils ne sont que 17% à le penser parmi les sympathisants de LREM, ils sont 40% chez les sympathisants FN et 55% chez les sympathisants FI. 
    Cette étude a été conduite auprès d’un échantillon de 1 000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, complété par un échantillon de 252 personnes de moins de 35 ans, qui ont été remises à leurs poids réel au sein de l’échantillon lors du traitement statistique des résultats. Au total, 1 252 personnes ont donc été sondées.

  • Attaque de drones contre les bases russes en Syrie

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    La base navale de Tartous

    3034693255.pngPar Antoine de Lacoste

    Dans la nuit du 6 janvier, treize drones équipés d’explosifs ont été lancés contre les bases russes installées en Syrie : dix visaient la base aérienne de Hmeimim et trois la base navale de Tartous. Ces deux bases sont situées à l’ouest de la Syrie, dans la zone dite alaouite.

    Le Ministère russe de la défense a annoncé la destruction en vol de tous les drones, qui n’ont donc provoqué aucun dégât.

    Ces drones ont été lancés depuis la province d’Idleb. Ce territoire situé au nord-ouest du pays, est devenu le réceptacle de nombreux combattants islamistes qui, au fil de leurs défaites, ont négocié leur reddition et ont été acheminés sous protection russe dans cette province.

    C’est en 2016 que les Russes ont inauguré cette stratégie : proposer à tel ou tel groupe qui tenait un territoire dans une partie du pays, de se rendre et de partir avec familles et armes légères. Le but était bien sûr d’éviter des combats difficiles et donc coûteux en hommes tout en purgeant progressivement le pays de zones incontrôlées.

    Les Syriens ont été difficiles à convaincre mais la stratégie a porté ses fruits et c’est ainsi qu’à l’ouest de Damas ou le long de la frontière libanaise, de nombreuses enclaves islamistes ont été libérées. Un long cortège d’autocars prenait alors le chemin de la province d’Idleb et l’armée russe veillait au bon déroulement des opérations.

    Bien évidemment, chacun savait qu’un jour ou l’autre, le problème de ce chaudron islamiste se poserait avec acuité, mais l’objectif prioritaire était de réduire la présence ennemie au sein de la Syrie utile.

    Lors des discussions qui ont accompagné la (fragile) réconciliation russo-turque, les Turcs ont proposé un marché aux Russes : ces derniers les laissaient entrer en territoire syrien pour couper en deux le territoire kurde (obsession des Turcs), puis l’armée turque poursuivait son avancée jusque dans la province d’Idleb. Elle y serait convenablement accueillie par la plupart des islamistes (sauf Al Nosra), tant le soutien d’Erdogan a été constant jusqu’en 2016.

    Idleb deviendrait ainsi une zone de « désescalade », concept devant permettre une pacification progressive du pays. Les Russes ont accepté et l’armée s’est installée en douceur (ou presque) dans la province.

    Le statu quo a ainsi duré quelques mois, dans une accalmie relative, malgré de fréquents règlements de compte entre factions islamistes, alimentés avec brio par les services secrets russes et syriens.

    L’armée syrienne a rompu la trêve il y a quelques jours.

    Elle avait de bonnes raisons pour cela. La route reliant Damas à Alep est menacée en permanence et il est nécessaire de réduire le territoire islamiste, trop proche de cette route. De plus Al Nosra joue un rôle important dans le contrôle de la province et ce groupe est exclu des accords de désescalade en raison de ses multiples crimes. Il a d’ailleurs lancé des attaques soudaines contre l’armée syrienne vers la ville d’Hama, au sud, où de nombreuses cellules terroristes subsistent, en sommeil pour l’instant.

    Damas a donc décidé de lancer une offensive vers le sud-est de la province. Appuyée par l’aviation russe, l’armée syrienne a repris plusieurs dizaines de villages en quelques jours.

    C’est alors que l’attaque de drones s’est produite et elle vient bien de la province d’Idleb, depuis un village tenu par des groupes islamistes.

    Poutine a lui-même commenté l’événement afin de souligner son importance. Il a exonéré la Turquie de toute responsabilité mais a laissé entendre que cette attaque avait nécessité une technologie de haut niveau que les terroristes ne maîtrisaient pas.

    Le Ministère russe de la défense a enfoncé le clou en se demandant pourquoi un avion américain de reconnaissance Poseidon avait survolé le jour même pendant quatre heures, à 7000 m d’altitude, la zone située entre Tartous et Hmeimim.

    Le Pentagone a qualifié  cette allusion de « totalement irresponsable » et a affirmé que ce type de drones est en vente libre sur internet, ce qui est tout de même un peu exagéré…

    Le mystère demeure mais maintenant le soupçon est là.  

    Retrouvez l'ensemble des chroniques syriennes d'Antoine de Lacoste dans notre catégorie Actualité Monde.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • L'Union européenne est au bord de la dépression

    6a00d83451619c69e201bb09e92900970d-250wi.jpgEt c'est George Soros qui l'affirme. Selon lui, l'idéologie dominante dans le monde est maintenant le nationalisme L'UE est une institution au bord de la dépression. Et la Russie est maintenant la puissance résurgente, basée sur le nationalisme.

    Ce matin il y avait au Parlement européen un débat avec Jüri Ratas, le Premier ministre estonien, sur la présidence estonienne de l’UE qui s’est achevée au 31 décembre. Au début de son allocution, il y avait 30 députés présents. A la fin, 40. Puis, lors de l’allocution de Jean-Claude Juncker, 50. Il n’y en aura pas davantage au cours du débat. Soit 6,7% des députés.

    En juillet dernier, lors du débat suivant la présidence maltaise, Jean-Claude Juncker s’était emporté, en comptant 30 députés :

    « Le Parlement européen est ridicule ! Vraiment ridicule ! je ne viendrai plus jamais à une réunion de ce genre ! »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • JUPPÉ L’IMPOSTEUR

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    On se contentera de rappeler qu’il a remis la Légion d’honneur à Tareq Oubrou, grand recteur de la mosquée de Bordeaux, membre de l’UOIF, c’est-à-dire des Frères musulmans.

    Juppé a cessé de cotiser au parti qui lui a assuré la carrière que l’on sait et, par le fait même, dévoilé ce qu’il a toujours été : un membre caricatural de la caste qui a géré et continue de gérer le déclin et la décadence de la France.

    « Le meilleur d’entre nous », selon Chirac, a toujours fait preuve d’une arrogance froide et d’un mépris peu compatible avec l’esprit de la démocratie française. On cherche, en vain, dans son parcours les raisons du respect admiratif qu’il suscite.
    Interrogé, le 2 octobre 2014, par Pujadas au sujet des « états généraux de l’immigration » du RPR du 31 mars 1990 qui proposaient la fermeture des frontières, l’incompatibilité de l’islam avec la France et la préférence nationale, Alain Juppé a paru surpris. Celui qui était à l’époque secrétaire général du RPR s’est vite repris : « Vous avez marqué un point ». Tout est dit.

    Les idées et les valeurs, en politique, n’ont d’importance que pour la plèbe ignorante. Mais le parcours du génie est semé d’erreurs et de fautes. Passons sur celles qui lui ont valu d’être condamné.

    En revanche, ce sont les bourdes politiques qui doivent d’abord retenir l’attention. Bénéficiant toujours du succès du mouvement conduit par Chirac et animé par Pasqua, il s’est fait élire à Paris. Sans doute est-il considéré comme un excellent maire de Bordeaux, mais cette ville, dirigée par Jacques Chaban-Delmas depuis le lendemain de la Seconde Guerre mondiale, n’a jamais été à gauche et lui a été offerte en héritage.
    Sur le plan national, le bilan est beaucoup moins brillant. À deux reprises, en 1986, lorsqu’il est au Budget, puis en 1993, quand il participe à son gouvernement, Juppé est aux côtés d’Édouard Balladur. En 1995, il choisit néanmoins de soutenir Chirac et de participer à son élection, grâce à une campagne démagogique au nom de la lutte contre la fracture sociale. Devenu Premier ministre, il continue d’une manière plus brutale et moins habile la politique de redressement voulue par Balladur : privatisations maladroites, augmentation de la pression fiscale de l’ISF à la CSG et tentative de modification des régimes spéciaux des retraites.

    Son impopularité s’envole. Après avoir congédié les « Jupettes » sans ménagement, le Premier ministre s’associe au secrétaire général de l’Élysée, Dominique de Villepin, pour suggérer au Président la dissolution de l’Assemblée nationale. Cette incompréhensible décision ramena la gauche au pouvoir.

    Cinq années pendant lesquelles la gauche profita de la croissance mondiale d’alors et ajouta, aux mesures de 1981 et de 1988, de nouveaux boulets aux pieds de l’économie française et développa sans vergogne des politiques laxistes sur le plan de l’immigration et de la sécurité.

    Son imposture confine aussi à la trahison quand, en 1969, il vote Krivine parce qu’il trouve que Pompidou « manque de punch ».

    Il se dit gaulliste, en participant de plus en plus ouvertement à l’abandon de la défense de la souveraineté et de l’identité de la France.

    Ardent européiste, il deviendra carrément communautariste en disant tout le bien qu’il pense des Frères musulmans. Lors de l’intervention militaire contre Kadhafi en Libye, il est ministre des Affaires étrangères et parle d’un investissement pour l’avenir, justifié par le contexte du « printemps arabe ». Quelques années plus tard, il reconnaîtra que cette opération a été un chaos et un fiasco.

    Cela ne l’empêchera pas de récidiver contre Bachar el-Assad, qui « fait le lit de Daech «  (l’État islamique) et tombera nécessairement.

    On se contentera de rappeler qu’il a remis la Légion d’honneur à Tareq Oubrou, grand recteur de la mosquée de Bordeaux, membre de l’UOIF, c’est-à-dire des Frères musulmans.

    « Homme de droite » préféré des médias, pour lesquels il a d’abord été une cible, puis un chouchou, puisque la gauche allait perdre. Finalement, ils ont eu encore mieux avec Macron.

    Juppé veut maintenant conduire la prochaine liste macroniste aux élections européennes, sans s’abaisser à rejoindre le mouvement présidentiel. Il faut espérer qu’aucun électeur « de droite » ne se laissera encore duper.

    http://www.bvoltaire.fr/juppe-limposteur/

  • Immigration : Macron étend un rideau de fumée

    17/01/2018 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le Président de la République s’est rendu hier à Calais pour défendre son projet de loi sur l’immigration et l’asile. L’occasion de dialoguer avec des étrangers dont on ne sait pas s’ils étaient demandeurs d’asile ou en situation irrégulière. Une opération de communication qui vise « en même temps » à faire croire au peuple de droite qu’il mène une ligne dure sur l’immigration, et au peuple de gauche qu’il est en empathie avec les immigrants et les associations collabos.

    Les médias de propagande accompagnent cette communication avec zèle…

    L’Obs a été jusqu’à présenter Macron en dictateur du début des années 1940. En cause, une circulaire qui demande aux associations qui sont payées par l’Etat pour héberger des demandeurs d’asile de bien vouloir indiquer qui elles hébergent. Une mesure dont il est incompréhensible qu’elle n’ait pas été prise plus tôt !

    Le futur projet de loi devrait aussi contenir des mesures positives

    Diminution du délai pour déposer une demande d’asile en procédure accélérée, diminution du délai de recours contre les décisions de refus d’asile, fin dans certains cas du caractère suspensif des recours contre ces refus, allongement de la durée maximale de rétention administrative…

    Ces mesures sont positives mais vraisemblablement insuffisantes à elles seules pour inverser la tendance de la submersion migratoire.

    D’autant plus que, parallèlement, le projet de loi faciliterait le séjour des réfugiés bénéficiant de la protection dite subsidiaire à la convention de Genève : ils bénéficieraient désormais d’un titre de séjour de quatre ans. Et les réfugiés mineurs pourraient faire venir leurs frères et soeurs : par exemple une fille supposée courir un risque d’excision au Mali pourra faire venir ses frères qui évidemment ne courent pas le même risque !
    On peut donc douter que l’immigration soit bientôt maîtrisée.

    Par son laxisme et sa générosité, la France continuera d’attirer les immigrés. Et ils sont nombreux. On vient d’apprendre que, en 2017, la France avait accordé 262 000 titres de séjour à des étrangers, soit une hausse de près de 14% par rapport à 2016.

    https://fr.novopress.info/