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  • Stop aux fake news sur la GPA

    6a00d83451619c69e201bb09e988be970d-250wi.jpgLa Manif Pour Tous dénonce les erreurs contenues dans une tribune publiée ce matin sur le site internet du Monde :

    "Dans une tribune publiée dans Le Monde, une centaine de personnes milite pour profiter de la révision des lois de bioéthique pour légaliser la GPA, c'est-à-dire le recours aux mères porteuses, ou à tout le moins en reconnaître les effets lorsqu'elle est pratiquée à l'étranger. En effet, la France s'honore, à juste titre, de refuser cette pratique aussi scandaleuse que dégradante, synonyme d'asservissement des femmes et de chosification des bébés qui font tous deux l'objet de contrats commerciaux.

    Non, les enfants nés par GPA ne sont pas des petits fantômes de la République !

    En intitulant leur tribune « On ne peut plus ignorer les enfants nés par GPA », les signataires laissent entendre que ces enfants seraient privés de droits. Une petite musique se fait régulièrement entendre pour dénoncer le fait qu'ils seraient des « petits fantômes de la République », sans reconnaissance ni droit. Cela est parfaitement faux. C'est ce qu'expliquait très justement Manuel Valls lorsqu'il était Premier Ministre. Dans une interview à La Croix, il qualifiait la GPA de « pratique intolérable de commercialisation des êtres humains et de marchandisation du corps des femmes. » « Il ne faut pas laisser dire non plus que ces enfants sont sans filiation ni identité. Ils ont une filiation et une identité, mais établies à l'étranger » précisait-il.

    Le piège de la retranscription automatique à l'état civil

    La stratégie des militants pro-GPA est claire et s'appuie sur les enfants nés par GPA à l'étranger. La première étape consiste à obtenir la reconnaissance. C'est ce que demande les signataires de la tribune publiée ce matin dans Le Monde : « nous demandons la transcription intégrale à l'état civil français de la filiation de l'enfant établie légalement à l'étranger à l'égard de ses parents. » Cette transcription automatique est un piège destiné à demander dans un deuxième temps la légalisation de la GPA en France en arguant du fait que les GPA réalisées à l'étranger seraient 100% légales et que l'interdiction serait donc hypocrite. « On connaît la chanson. C'est la même ritournelle sur la PMA sans père » selon Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. Dans son interview à La Croix, Manuel Valls décryptait parfaitement cette stratégie des militants pro-GPA : « le gouvernement exclut totalement d'autoriser la transcription automatique des actes étrangers, car cela équivaudrait à accepter et normaliser la GPA. J'ajoute qu'il est incohérent de désigner comme parents des personnes ayant eu recours à une technique clairement prohibée... tout en affirmant qu'ils sont responsables de l'éducation des enfants, c'est-à-dire chargés de la transmission de nos droits et de nos devoirs. »

    Les droits des femmes et des enfants n'ont pas de frontières : soyons ambitieux !

    Les signataires de la tribune du Monde affirment vouloir « lutter efficacement et avec détermination contre les dérives de la GPA. » Pour La Manif Pour Tous, les droits des femmes et des enfants n'ont pas de frontières. C'est parce que la GPA est une pratique scandaleuse qui instrumentalise et asservit les femmes et les enfants qu'elle est interdite en France. Pour lutter contre ce fléau et ce business sordide et lucratif, une seule solution : l'abolition universelle. C'est tout le sens des engagements de l'ancien Premier Ministre qui rappelait « la responsabilité de tous les États dans la lutte contre la commercialisation des êtres humains » et annonçait alors que la France entendait « promouvoir une initiative internationale qui pourrait aboutir, par exemple, à ce que les pays qui autorisent la GPA n'accordent pas le bénéfice de ce mode de procréation aux ressortissants des pays qui l'interdisent. » Malheureusement, ces annonces sont restées lettre morte. Alors qu'Emmanuel Macron s'est prononcé à de multiples reprises contre la GPA, il lui appartient de donner une suite opérationnelle à ces positions. Patrie des droits de l'Homme, la France doit afficher clairement ses ambitions en la matière pour défendre dans l'hexagone et à travers le monde le droit des femmes et soutenir leur dignité et celle des enfants."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Election législative partielle le 28 janvier dans le Val d'Oise, la Droite nationale a sa candidate : HUGUETTE FRANÇOIS

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  • NOTRE-DAME-DES-LANDES, OU L’EGO DE BARONNETS DE PROVINCE

    Je fais partie de cette catégorie de Français à laquelle s’est adressé le Premier ministre en fin d’allocution ce mercredi : ceux à qui la décision concernant Notre-Dame-des-Landes ne fait ni chaud ni froid. Nantes, je n’y ai jamais mis les pieds et je ne prévois pas d’y aller dans les prochains trois siècles. Mais en écoutant les protestations des déçus, j’ai entendu un soupir qui m’a fait bondir : « Paris, Paris, toujours Paris, on nous oblige encore à aller prendre l’avion à Paris ! »

    Ainsi donc c’était ça ? Tout ce barouf, un demi-siècle de rameries et d’engueulades, des crasseux qui envahissent des terres, des moyens hallucinants mis sur un référendum, des congrès, conférences, rencontres, tables rondes et tutti quanti… juste pour satisfaire l’ego de baronnets de province qui font un complexe de qui-a-la-plus-grosse-piste avec Paris ?

    Alors il paraît que l’idée, au départ, était de servir le Concorde. Sympa. Pour tous ces apiculteurs vendéens qui passent tous leurs week-ends à New York (mais ne peuvent pas supporter le passage à Paris), c’est vrai que ça valait le coup de construire un aéroport. Le Concorde étant rentré à quai le cul tourné vers Saint-Nazaire, il fallait trouver un nouvel objet. Et l’objet en question fut donc la paresse régionale, autre nom du racisme anti-Parigot. Je l’ai encore entendu cet après-midi : « C’est quand même incroyable qu’on soit obligé d’aller à Paris pour prendre un long courrier ! Paris, Paris, toujours Paris ! » Euh… comment vous dire… Peut-être peut-on rappeler quelques faits ?

    D’abord, rappelons que le réseau ferré à Très Grande Vitesse arrive directement à CDG ! Directement, hein. C’est à dire DANS le terminal. Tu montes à Nantes, tu descends à Roissy. Nantes est donc déjà une bourgade provinciale drôlement privilégiée ! Tarif, quand tu t’y prends bien : 25 €. C’est-à-dire moins de la moitié de ce que paie le Parisien qui monte dans son taxi à Opéra pour rejoindre CDG !

    Ensuite, rappelons un truc dingue : Nantes, ce n’est pas Los Angeles. S’offusquer parce qu’on n’a pas accès au pied de son coquet jardinet à des lignes long-courrier, c’est un petit peu fort de café, quand même. Surtout quand la solution est à moins de 400 km, en TGV. Ah oui, mais c’est Paris ! Vous comprenez… nous… bref.

    Enfin, argument massue prétendument inopposable : ça aurait créé des emplois, ma bonne dame ! Oui, quelques centaines pour la construction, tout en détruisant près de 1.000 emplois agricoles.

    Une seule chose est certaine : personne n’est en mesure de critiquer la décision gouvernementale. Personne, ni à droite, ni à gauche. La déclaration d’utilité publique de l’aéroport fut rendue et publiée en 2008, sous Sarkozy, qui n’en fit rien. En 2012, sous Hollande, le sémillant guichetier de CAF Jean-Marc Ayrault repoussa encore l’échéance.

    Le gouvernement Philippe, au moins, a tranché. Il délogera les crasseux et enterre ce projet qui n’avait plus aucune justification. À ceux qui moquent « la faiblesse de l’État qui plie devant des squatters », il faut rappeler que l’intelligence est rarement synonyme d’entêtement, surtout quand plus rien ne justifie celui-ci.

    Dossier classé. Passons à autre chose. Construisons la France de demain.

    http://www.bvoltaire.fr/dame-landes-lego-de-baronnets-de-province/

  • Echec pour Le Média de Mélenchon

    Constaté dans Présent :

    6a00d83451619c69e201b8d2d03927970c-250wi.png"Lancement raté lundi soir malgré une grosse campagne de publicité des confrères pour Le Média, la télé plus à gauche que la télé, créée par l’ex-dircom de Jean-Luc Mélenchon, Sophia Chikirou et le psychanalyste des Insoumis, Gérard Miller.

    On en avait entendu parler partout, sur les radios, les télés, dans la presse et de façon très amicale et complaisante avec des « bonne chance » de tout le monde, parfois assez narquois. La nouvelle web télé largement annoncée et saluée au nom du pluralisme (le pluralisme n’est toléré que s’il est de gauche et d’extrême gauche, on aurait aimé que TVLibertés ait droit à une telle rampe de lancement) a pourtant loupé son départ. Grosse déconvenue technique dès la première seconde. Nous voilà revenus aux temps de l’ORTF et de la télé de Tournesol. Pour tous les camarades assis dans leur salon en train de trinquer au « grand soir » de la nouvelle Pravda, impossible de visionner le programme sur le site lemediatv.fr. Ça commence bien… Pour voir quelque chose, il fallait se connecter sur YouTube ou Facebook.

    [...] Deuxième échec, le « 20 heures » du Média est sacrément austère à regarder. Sans reportage, avec quelques illustrations vidéo et photos, beaucoup de « têtes parlantes » et des longs tunnels de monologues. « L’impression de voir un bulletin radio filmé », déplore un téléspectateur.

    Troisième déception, malgré une grosse retape médiatique, seulement 10 000 personnes (nombre partiel) ont suivi lundi soir le premier JT sur Facebook et YouTube. A titre de comparaison, TVLibertés dépasse les 100 000 vues quotidiennes. Sans aucune publicité des confrères de la grosse presse."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Natalité : à quand la fin des mensonges ? - Journal du Mercredi 17 Janvier 2018

  • Fabrice Hadjadj : Questions-Réponses essentielles et critiques sur notre époque [4]

    Fabrice Hadjadj publie un recueil de chroniques où il mêle des réflexions inspirées de la vie quotidienne sur le sexe, la religion, la technique et le travail. Entre Houellebecq et Chesterton, il nous livre une profonde critique de l'époque ... Ces réflexions sont importantes et ne sont pas à prendre à la légère. Elle traitent de l'essentiel, de l'avenir de notre société et des personnes qui lui appartiennent par la naissance et par la tradition. Nous publions ces réponses de Fabrice Hadjadj à Eugénie Bastié [Figarovox, 21.12.2017] comme une suite, en plusieurs journées. Lafautearousseau

    2043368945.jpgVous terminez votre recueil par un «conte de Noël». À l'heure où la consommation a pris le pas sur le rite, quel sens peut encore avoir cette fête chrétienne ?

    Nous en arrivons à la consommation des siècles. Notre système est très fragile. La collapsologie est devenue une science très en vogue. La dinde aux marrons peut grossir jusqu'à nous boucher la vue, le fait est là : la pie-grièche à ventre rose disparaît du territoire français. Nous n'en sommes qu'au début de la disparition des espèces et des énormes flux migratoires consécutifs au réchauffement climatique.

    Le black-out n'est pas loin qui éteindra toutes les illuminations des artères commerciales : heureux ceux qui auront encore des bougies ! Quant aux cyborgs, qu'on nous présente comme des immortels, ils ne trouveront plus à recharger leurs prothèses ou à changer leurs pièces, et ils tomberont en panne.

    En fait, je ne suis ni décliniste ni progressiste. Je suis très simplement apocalyptique. Nous sommes les premières générations à être assurées non seulement que « les civilisations sont mortelles », comme disait Valéry, mais que l'espèce humaine est vouée à l'extinction - à plus ou moins long terme.

    Quel est le sens de cette certitude ? Et pourquoi continuer, dès lors, avec l'aventure humaine ? Il faudra bien, une fois que les écrans ne s'allumeront plus, que l'on se pose pour de bon la question. Alors on apercevra peut-être l'étoile au-dessus de l'étable de Bethléem: ce bébé juif qui paraît au milieu de la nuit, entre sa mère, son père, le bœuf et l'âne, l'adoration des bergers et des rois, c'est l'Éternel qui nous dit qu'il est bon d'être humain, d'avoir un corps, de travailler de ses mains, de parler du ciel à travers les simples choses de la terre, et que même si le monde devait disparaître demain - la figure de ce monde passe, dit saint Paul - il faudrait encore tenir notre poste, planter des arbres, élever des enfants, leur transmettre la poésie de la louange et de la supplication. Ce mystère de l'Incarnation sera le dernier rempart contre le transhumanisme, l'islamisme, l'animalisme, le spiritualisme et toutes les autres formes contemporaines de la désespérance.  •   Suite et fin.

    Directeur de l'université Philantropos. Il publie « Dernières nouvelles de l'homme (et de la femme aussi) », Taillandier, 352 p., 18,90 €.

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    Eugénie Bastié

    Journaliste Débats et opinions

    Twitter : @EugenieBastie

    A lire dans Lafautearousseau ...

    Fabrice Hadjadj : Questions-Réponses essentielles et critiques sur notre époque [1]

    Fabrice Hadjadj : Questions-Réponses essentielles et critiques sur notre époque [2]

    Fabrice Hadjadj : Questions-Réponses essentielles et critiques sur notre époque [3]

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/01/15/fabrice-hadjadj-questions-reponses-essentielles-et-critiques-6017505.html

  • POURQUOI MACRON PROTÈGE EFFECTIVEMENT "LA VIE DÉMOCRATIQUE" ? | NOVLANGUE

  • Marine Le Pen : “Le harcèlement de rue est en immense majorité le fait de ressortissants de l’immigration”

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    En marge de ses vœux à la presse, Marine Le Pen a rappelé lundi que le harcèlement de rue est surtout le fait d’immigrés présents en France et qui importent une culture de “non respect des femmes”.

    Le harcèlement de rue est en immense majorité le fait de ressortissants de l’immigration qui importent une culture qui est une culture de non respect des femmes, de soumission des femmes et même l’expression, pour beaucoup, d’un mépris à l’égard de Françaises.

    Pour Marine , "le harcèlement de rue est en immense majorité le fait de ressortissants de l’immigration"

    ➡️ http://bit.ly/2mFUogA