Quelques heures après l’attaque aérienne ayant tué dix personnes dont le commandant de la Force Qods du Corps des Gardiens de la Révolution et un commandant en second de la mobilisation populaire irakienne, les décideurs iraniens sont actuellement confrontés à un dilemme :
Une riposte de représailles ferait le jeu d’Israël, principal commanditaire du raid et principal instigateur d’une éventuelle grande confrontation mondiale.
Une non riposte serait un signe évident de faiblesse à même d’encourager tous les ennemis de Téhéran à poursuive une guerre hybride couplée à d’éventuelles tentatives de changement de régime.