Renseignements : 07 66 17 85 38 ou pelerinagedeslucs@gmail.com
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Numéro spécial de Février du magazine "L'Incorrect" consacré au royalisme.
Avec un entretien exclusif et très politique de 4 pages que j'ai réalisé avec SAR le prince Jean d'Orléans, comte de Paris, prétendant au trône.
En Espagne, le parti « populiste » Vox lance une proposition visant à protéger les enfants de l’enseignement « gender » à l’école : le « pin parental ». Chaque école, spécifie l’initiative de Vox, devra obtenir obligatoirement le consentement des parents pour les activités complémentaires durant lesquelles sont majoritairement enseignés l’éducation sexuelle, la théorie du genre, l’homosexualité comme orientation naturelle et autres thèmes lgbtqi+. Les parents pourront retirer leurs enfants si le contenu des ces activités complémentaires va « contre leur principes moraux ».
Imane Asry a de quoi être fière car Imane, littéralement « foi », vient d’être sélectionnée par le magazine Elle Suède en collaboration avec L’Oréal Paris, pour les prix Look of the Year et Look of the Future, remis le 22 janvier dernier. La lauréate, étudiante en économie et surtout influenceuse sur les réseaux sociaux, concilie mode et foi sur sa page « Fashion with Faith ». Imane arbore fièrement son hijab à la fac comme à la ville et se décrit comme « une fille musulmane folle de mode ». « Ce prix, c’est pour nous toutes qui ne nous reconnaissons pas dans les magazines de mode, parce que nous n’y sommes pas adaptées », déclare celle qui décrit son style comme une « mode modeste » et compatible avec ses exigences spirituelles et stylistiques.
Au moment où la droite est en pleine déliquescence, aussi bien sur le plan idéologique que politique et stratégique, il était urgent que quelques hommes engagés dans la lutte contre le mondialisme et pour la défense des valeurs traditionnelles travaillent sur un ensemble d'études (25 au total), formant ainsi un panorama riche et original de nouvelles résistances et dégageant une possible voie de reconstruction intellectuelle et culturelle. Directeur de l'ouvrage collectif Aux sources de la droite, Arnaud Guyot-Jeannin, également président du cercle « Sol Invictus », a bien voulu faire le point pour R&A en répondant à nos questions.
R&A Quelle est l'opportunité aujourd'hui de redonner un nouveau corpus doctrinal à la droite ?
Arnaud Guyot-Jeannin Parce qu'elle n'en a plus ! La droite a pourtant derrière elle, toute une série de penseurs et d'idées qui devraient lui donner les moyens d'exister, voire même de regarder quelquefois la gauche avec une certaine hauteur Or, il n'en rien. Pourquoi ? Eh bien, parce qu'elle est chaotique, cultivant un certain anarchisme individualiste de type passéiste et/ou providentialiste. Sans parler d'un conspirationnisme récurrent qui l'exonère de tout examen critique de la situation. Elle ressasse tout le temps les mêmes antiennes sur ses trois échecs historiques successifs (1789, Seconde Guerre mondiale, guerre d'Algérie). Trois saignées épouvantables ! Elle les cultive tellement qu'on a le sentiment qu'elle en recherche une quatrième à tout prix. Or, il faut arrêter l'hémorragie ! La droite n'a d'abord aucun complexe à avoir vis-à-vis de la gauche. Ensuite, elle n'a pas à rougir de son action historique, étant donné qu'elle n'est pas unifiée doctrinalement. Le texte de Philippe Conrad sur « La droite, la résistance et la collaboration » est très explicite à cet égard. Enfin, elle doit reprendre l'initiative sur des bases théoriques précises et communes. On lui reproche cette unité fictive lorsqu'il s'agit du passé, alors pourquoi ne pas faire plutôt émerger cette réalité au présent ? Nous en tirerions les avantages et non les inconvénients. Pour arriver à ce résultat, malgré certaines divergences à ne pas négliger, nous sommes quelques-uns dans cet ouvrage à nous affirmer d'une droite spirituelle et identitaire en opposition avec la gauche progressiste et la droite libérale. Je souhaite que nous remportions la bataille des mots en nous réapproppriant le terme de « droite » qui reste une catégorie archétypale très présente dans l'imaginaire collectif et ainsi œuvrer à l'avènement d'une symphonie post-droitière et non simplement, comme c'est souvent le cas aujourd'hui, à concilier un front du refus. Soyons d'abord « pour » avant d'être « contre ». Jean Cau disait « On se pose en s'opposant. » Je souhaite au contraire qu'on s'oppose en se posant. L'expression de « droite intégrale » qu'a forgé Julius Evola me paraît la plus convaincante. On peut aussi à ce titre se revendiquer de penseurs qui ne sont pas explicitement de droite ou qui refusent cette polarité gauche-droite, ce qui est une autre manière d'être de droite sans l'avouer Une certaine pensée de gauche antimarxiste peut même se révéler intéressante à intégrer pour contrecarrer les projets de la modernité mais la hiérarchisation des références s'avèrent indispensable.
La criminalité explose et Christophe Castaner s’en balance !
Un an, trois mois, et treize jours que l’ancien joueur de poker s’est installé à la Place Beauvau avec l’approbation d’Emmanuel Macron. A chaque jour son mensonge, son insuffisance et son entourloupe.
Son nouveau diplôme est arrivé avec la nouvelle année : les chiffres de la criminalité ont explosé en 2019. Une augmentation bien peu relayée dans les médias.
+8% de violences volontaires, +11% d’escroqueries et +8,5% d’homicides…
Et pourtant, il ne s’agit que de la partie émergée de l’iceberg. Car les chiffres publiés par les autorités publiques sont de plus en plus triés, manipulés et classés pour tordre la réalité. Une réalité qui n’échappe pas aux Français, ni à Xavier Raufer.
Point par point, le criminologue revient sur les mensonges du pouvoir pour masquer son inaction face à la constante progression de l’insécurité.
M. Macron et son gouvernement s’enorgueillissaient de la vigueur de la croissance française qui était, jusque-là, plus forte que celle de la zone euro. Mais les résultats du quatrième trimestre 2019 viennent de tomber et ils sont mauvais : le PIB a reculé de 0,1 % au lieu d’une croissance donnée à 0,2 % à 0,3 % par les experts de Bercy ou de la Banque de France. Les grèves de décembre ont eu un impact négatif chiffré entre 0,1 % et 0,2 %, la production de biens et de services ayant, en effet, reculé de 0,2 %.
Le parquet de Vienne a renoncé à la procédure contre Mila pour incitation à la haine envers un groupe tandis que Mme Belloubet subissait à juste titre une avalanche de critiques à l’encontre de l’étonnante égalité qu’elle avait instaurée entre les menaces de mort portant évidemment atteinte à la liberté d’expression et les propos injurieux, qui auraient, selon elle, mis en péril la liberté de conscience
On peut donc se féliciter que Voltaire se soit réveillé pour réintroduire un peu de raison dans notre pays. Si l’on veut pointer, toutefois, la cause première de cette polémique, on se rend compte à quel point elle révèle la dérive suicidaire de notre société. Le problème se situe dans un signe « égal » dont on abuse jusqu’à l’absurde. Toute société est fondée sur des distinctions, des discriminations, des échelles de valeurs, des hiérarchies : l’égalitarisme forcené qui règne dans les discours politiques et dans l’évolution du droit est une idéologie mensongère qui mène à des impasses comme celle de l’affaire Mila. L’égalité de tout, l’interchangeabilité de tous, c’est la confusion des esprits assurée !
Cet article de l’Imprécateur est lié à celui de Jean Goychman et le complète.
Ils traitent tous les deux du « Grand Mensonge » concernant le réchauffement climatique d’origine anthropique, largement contesté aujourd’hui par un grand nombre de climatologues sérieux, pourtant obligés de se taire…
Ces deux articles évoquent également le projet pervers du Président de la République de tenter d’organiser un référendum visant à inscrire dans le marbre ce mensonge, cette « fake news » de telle sorte qu’il ne sera même plus possible ensuite de tenter d’en débattre et de le contredire.
Décidément, il est de plus en plus clair que nous entrons d’un pas décidé dans le monde de George Orwell, un nouveau monde d’obscurantisme moderne…
Marc Le Stahler