
L’épidémie de pneumonie virale causée par le nouveau coronavirus en Chine a fait 45 morts supplémentaires dans la province du Hubei, faisant grimper le bilan à 258 victimes, ont annoncé samedi les autorités sanitaires locales. Le nombre de personnes contaminées en Chine a également augmenté, atteignant 11 791, soit plus de 2100 nouveaux cas rien que pour la journée de vendredi.
En France, le bilan n’a pas évolué vendredi: six cas d’infection ont pour l’instant été détectés par les autorités sanitaires, dont deux patients gravement atteints et placés en réanimation. Aucun cas n’a pour l’heure été détecté parmi les rapatriés. Dans le monde entier, à mesure que l’épidémie s’étend, les frontières se ferment: après la Russie, les États-Unis, l’Italie, l’Australie, le Vietnam et la Mongolie ont imposé des mesures drastiques. L’OMS a déclaré jeudi l’urgence internationale face à l’épidémie. Une centaine de malades ont été comptés dans une vingtaine d’autres pays, mais aucun décès n’a été signalé hors de Chine.
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Voilà un scandale peut-être encore plus important que celui du « sang contaminé » En effet, le chercheur serbe Mirko Beljansky (Docteur en Science d'Etat, directeur de Recherche en Biologie Moléculaire au CNRS, membre de l'Institut Pasteur de 1948 à 1978 puis de la Faculté de Médecine avait mis au point plusieurs produits naturels pouvant faire reculer ou guérir le cancer et le SIDA (produits à prendre en synergie d'un traitement chimiothérapique pour le cancer) Sur nombre de malades dont Henri Boiteux, administrateur pendant onze ans de l'Institut de Recherches sur le cancer à Villejuif, M. Le Guen guéri d'un cancer en phase terminale, Gérard Weidlich guéri d'un Sida déclaré le succès est spectaculaire. Ce qui ne va pas sans heurter certains intérêts, notamment celui des grands laboratoires pharmaceutiques car la commercialisation officielle des produits Beljansky coûtant moins cher que les thérapies officielles entraînerait un manque à gagner énorme pour ces laboratoires. Il est clair que l'intérêt des malades n'est pas le même que celui des lobbies financiers qui ont infiltré l'Etat. Car il faut savoir que 90 % des experts chargés d'évaluer les produits et d'autoriser leur mise sur le marché sont payés par ces laboratoires. De plus, on sait désormais que de grands labos paient les campagnes électorales de nombres d'hommes politiques, formant en bout de chaîne une véritable mafia médico-politico-médiatico-financière. Ainsi, le 9 octobre 1996, une vaste opération (avec la participation du GIGN) sur l'ensemble du territoire fut déclenchée sous forme de perquisitions chez une soixantaine de malades, la saisie de leurs médicaments et produits nécessaires à leur survie, la mise sous scellés des locaux de recherches de Beljansky, la destruction de tous ses dossiers. Tout cela, dans une totale indifférence médiatique, dans une soi-disant démocratie. Puis vinrent les harcèlements fiscaux, les rappels de TVA sans justification.