Quel moment de bonheur pour votre chroniqueur que de pouvoir reprendre le fil de sa libre écriture. Après bientôt un mois d’ahurissement postopératoire, voir un morceau de ciel bleu au bout du tunnel.
Quel dommage cependant, quand on ne s’identifie pas à la Belle au Bois dormant des Frères Grimm, que d’éprouver le sentiment que rien, ou peu de choses, n’a vraiment bougé dans ce malheureux pays. Mêmes discours vaseux, mêmes lâchetés, mêmes empilages de bureaucratie. Parler toutefois de déception supposerait une blâmable illusion naïve, évanouie depuis des décennies.
Prenant aujourd’hui la plume cette chronique se propose d’abord de démontrer que le combat continue et que, pour ce qui concerne votre serviteur, il n’a jamais cessé.