En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
En Allemagne, les activistes qui se collent la main sur les routes ou sur les pistes d'aéroport sont payés au mois. L'argent vient des États-Unis
Imaginez: vous êtes assis dans la rue, au soleil, les doigts de pied en éventail, et vous êtes payés pour ça tous les mois.
Charges sociales et assurances payées par votre employeur, bien entendu. Seuls petits inconvénients: vous devez accomplir votre mission à même l'asphalte - et ne pas vous formaliser si des agents de sécurité viennent vous déloger pour vous interroger.
Les médecins généralistes français ne sont pas satisfaits des annonces du président Emmanuel Macron dans son discours de vœux aux soignants à l'occasion de la nouvelle année. Ludovic Toro, médecin généraliste à Coubron en Seine-et-Marne, a déclaré au micro d'Europe 1 que les annonces du président ne proposaient "aucune solution" pour répondre à la crise de l'hôpital. Il a également critiqué le refus de l'exécutif de revaloriser la consultation des médecins généralistes de 25 à 50 euros. M. Toro a également déploré le fait que les membres du gouvernement ne "n'entendent pas" les préoccupations des citoyens et que tout est géré par des comptables et l'administration qui est "très loin de la préoccupation des citoyens"...
Les erreurs de nos gouvernants en matière énergétique (très clairement rappelées par Philippe Charlez) reposent en fait sur trois piliers idéologiques : le premier, la réduction des émissions de CO2 ; le second - d'ailleurs contradictoire avec le premier - , un sentiment anti-nucléaire primaire et irrationnel ; et enfin, l'idée d'une planification déconnectée du réel. C'est ainsi qu'un François Hollande et la cohorte de ses imitateurs en la matière -Emmanuel Macron et Élisabeth Borne - ont décidé un beau jour de campagne électorale de 2012 d'un mix à 50% seulement de nucléaire et imposé à la France et aux Français cet objectif à marches forcées, sans mesurer les conséquences d'une telle décision quand il était évident que les énergies renouvelables ne pourraient compenser la réduction de l'énergie nucléaire. Sans parler du marché européen de l'électricité. La révolte des boulangers leur facture à la main n'est autre que le mur du réel sur lequel échoue une politique qui ne jure que par l'idéologie et méconnaît le réel.
Il s’en est fallu de peu pour qu’un long-métrage produit aux Etats-Unis n’ai pas été visible en France : c’est que le catholicisme y est à l’honneur, à travers l’épopée extraordinaire des cristeros. Seule ombre au tableau, le film laisse entendre que c’est pour « la liberté » en général ( ?) que luttaient ces héros, tandis qu’ils mouraient, en vérité, pour la liberté du catholicisme, et surtout pour le Christ-Roi. Mais voici un film qui mérite l’encouragement.
Une note du renseignement pointe l’influence de la mouvance radicale sur le conseil municipal de la préfecture de la Drôme. C’est une note de 12 pages, rédigée le 3 août dernier, à l’intitulé sans ambiguïté : « Radicalisation – Adem Benchelloug – élu municipal et communautaire – Frères musulmans ». Dans ce document confidentiel, rédigé par le service de renseignement territorial (RT) de la Drôme, que le JDD a pu consulter, les auteurs se focalisent sur les liens entre ce jeune élu de 32 ans, appartenant à la liste du maire LR de Valence, Nicolas Daragon, et la mouvance islamiste des Frères musulmans. Une organisation d’obédience sunnite qui ne fait l’objet d’aucune interdiction en France.
La Macronie est une grande famille ; ou un jeu des sept familles. Il y a celles des battus décorés que vous a présentée Thomas Bertin. Il y a celle, fort nombreuse, des conseillers qui sont allés discrètement pantoufler dans le privé. Il y a aussi celle - comme si cela commençait à sentir le roussi - des macronistes honteux ou semi-repentis, comme l'inénarrable Roselyne Bachelot. Et puis il y a ceux qui sont au turbin, au charbon, et , surtout, dans le pétrin. Sans mauvais jeu de mots pour nos amis boulangers. Je veux parler des macronistes de service, des ministres chargés de gérer les conséquences de leur inconséquence.