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Syrie : Ce que vous cachent les Médias Occidentaux.
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Discours de François Hollande à Alger : la France triplement condamnée !
Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National
Le discours de François Hollande à Alger pose les bases d’un avenir extrêmement malsain entre la France et l’Algérie.
Il condamne triplement notre pays, l’abaissant encore un peu plus sur la voie de la repentance d’abord, de l’immigration massive ensuite et des délocalisations enfin.
Si François Hollande se défend de tomber dans la repentance, c’était pourtant l’exacte tonalité de son discours, un discours qui a revisité l’histoire dans le sens d’une violente charge contre la France. Rien sur les aspects positifs de la colonisation, rien non plus sur les crimes algériens contre les harkis, mais une nouvelle dépréciation systématique de notre pays, de notre histoire et de notre peuple.
Parce que nous nous montrons faibles face au pouvoir algérien, les prochaines revendications ne tarderont pas, et très vite il sera demandé à la France des excuses officielles. La France doit au contraire se tourner vers l’avenir et regarder avec lucidité mais fierté son passé.
En matière d’immigration, François Hollande veut encore accélérer la course aux visas, alors que 200 000 sont déjà accordés chaque année par l’ambassade de France à Alger !
NPI
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Manifestation du 13 janvier : l’abbé de Cacqueray remet les pendules à l’heure
Entretien vigoureux et sans concession publié sur la Porte Latine :
1 – Encouragez-vous les catholiques à se rendre à la manifestation organisée par madame Barjot le 13 janvier 2013 contre le projet du mariage homosexuel,?
Non. Je le leur déconseille vraiment. S’ils y vont, je pense qu’ils en reviendront ulcérés s’ils ne le sont pas déjà par les propos indignes que ne cesse de proférer cette personne. Je me trouve en profond désaccord avec l’esprit que le comité organisateur de cette manifestation veut lui insuffler. Toutes les concessions, toute l’obscénité, toute la vulgarité, toutes les compromissions semblent permises pour faire du nombre à tout prix.
Je ne critique pas les organisateurs de cette manifestation de rechercher le nombre. Mais tous les moyens ne sont pas permis pour autant.
La présence d’un char gay dans la manifestation sur lequel les manifestants sont invités à venir danser est une infamie. Comment est-il possible que le péché contre nature, l’un des quatre qui crie vengeance contre la face de Dieu, puisse être fêté et célébré dans un défilé organisé par des catholiques ? Comment un chrétien ou tout homme à qui il reste un peu de morale naturelle ou de bon sens pourrait-il supporter de voir le vice applaudi ? Il n’en a pas fallu autant pour que le feu du ciel tombe sur Sodome et Gomorrhe.
Je rappelle par ailleurs que tous les pèlerinages, processions et manifestations catholiques sont normalement autorisés en tant que tels dans notre pays. Or, en cette circonstance, ce ne sont donc pas les pouvoirs publics mais les organisateurs eux-mêmes de cette manifestation qui s’auto-censurent et interdisent toute prière et tout symbole catholique. Les catholiques se bâillonnent eux-mêmes : nous facilitons vraiment le jeu de nos ennemis.
Rien ne peut être bâti en dehors de Notre Seigneur Jésus-Christ. S’Il est mis de côté au début d’une entreprise, cette entreprise est vouée à l’échec. Cette manifestation, si elle attire une foule gigantesque, n’en sera pas moins une gigantesque forfaiture pour avoir d’abord banni Notre-Seigneur Jésus-Christ, pour l’avoir ensuite remplacé par Satan en hissant la pédérastie sur le pavois.
2 – Mais si vous n’invitez pas à venir manifester le 13 janvier dans la manifestation de madame B., que proposez-vous d’autre ?
J’invite à une nuit de prières qui aura lieu dans tous nos prieurés dans la nuit du vendredi 4 au samedi 5 janvier ou dans la nuit du 5 au 6 janvier. Cette nuit de prières et de pénitence sera faite pour supplier le Bon Dieu, par l’intercession de la très sainte Vierge Marie, d’épargner cette vomissure supplémentaire à notre pays. Que l’on se mobilise nombreux dans chaque prieuré pour participer à ces nuits de prières.
Par ailleurs, il me semble que des associations catholiques (ou d’autres associations) de plus en plus nombreuses, déjà dégoûtées de la tournure qu’est en train prendre cette manifestation, sont en train d’organiser, ce même 13 janvier, un défilé qui exprimera publiquement la foi catholique. Beaucoup de catholiques et d’hommes de bonne volonté vont le rejoindre. Je ne vois pas des évêques ou des prêtres qui ont désormais annoncé leur venue à Paris, le 13 janvier, se fourvoyer dans une manifestation qui est en train de dégringoler si bas dans la démagogie et dans la boue du péché.
3 – Vous ne craignez pas que cette division nuise au combat global contre le projet de loi ?
Je reconnais qu’il aurait été bien mieux, évidemment, que cette manifestation déjà prévue ne rougisse pas de porter haut et clair la défense de la loi naturelle et la proclamation de l’Evangile. Mais, puisque l’impossibilité morale pour un catholique de se joindre à cette manifestation apparaît nettement, mieux vaut alors qu’un autre rassemblement soit organisé qui permettra et des prières de réparation dans la rue et des admonestations aux autorités politiques de devoir retirer leur projet.
D’ailleurs, puisque le nombre semble tenir tant d’importance dans les esprits, il est évident que l’existence de deux manifestations fera venir plus de monde que s’il n’y en avait eu qu’une seule, comme elle se prépare ! Grâce à Dieu, je pense qu’il y a encore bien des français qui ne sont pas prêts à admettre le grand n’importe quoi. Je connais des catholiques, écoeurés par le projet Barjot, qui étaient sur le point d’annuler les cars qu’ils avaient organisés pour Paris mais qui reprennent espoir à cause de cette manifestation séparée. Les médias additionneront les chiffres des deux manifestations et il sera plus grand que s’il y en avait eu une seule !
4 – Etes-vous très opposé à madame Barjot ?
Je n’ai rien contre madame B. (je ne la connais pas) comme je n’ai rien contre les personnes qui l’entourent et seront présentes à ses côtés le 13 janvier. Je sais simplement que l’homosexualité est un péché grave et que c’est mon devoir de prêtre catholique de devoir le rappeler. Je pense que madame B. lèse gravement les catholiques en banalisant ce péché et en le faisant applaudir et que son rassemblement n’est certainement pas inspiré par Dieu. Elle fait (consciemment ou inconsciemment, je ne le sais pas) le jeu de la révolution en adultérant la réaction qui aurait pu avoir lieu, et qui pourrait encore avoir lieu – nous prions pour cela -si elle amende radicalement son projet. En attendant, c’est faire œuvre de salut public de mettre un terme à la barjotisation des catholiques.
5 – Un dernier mot ?
Oui, l’anniversaire de l’Apparition de la très sainte Vierge Marie à Pontmain est le 17 janvier. Je voudrais rappeler la magnifique phrase qui s’inscrivit dans le ciel sous l’apparition de Notre-Dame, le 17 janvier 1871 : « Mais priez mes enfants. Mon Fils se laisse toucher. » Trois jours plus tard, les troupes prussiennes commençaient mystérieusement à se replier. Nous devons croire à la force de la prière pour demander à la très sainte Vierge Marie une victoire que nous n’obtiendrons pas sans Elle.
Abbé Régis de Cacqueray, Supérieur du District de France de la Fraternité Saint-Pie X
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Anticléricalisme : rien de nouveau sous le soleil…
Le christianisme, voilà l’ennemi !
La haine que suscite le christianisme a pris la dimension d’un fait de société. Marcel Gauchet le constatait il y a douze ans déjà : « La communauté catholique est la seule minorité persécutée culturellement parlant dans la France contemporaine. »
Cette persistance d’une hostilité irréductible a même surpris certains milieux chrétiens qui croyaient que la disparition du cléricalisme entraînerait ipso facto celle de l’anticléricalisme. Ainsi l’historien René Rémond le déplorait : « À la vérité nous n’avons pas seulement affaire à un malentendu, mais bien à une hostilité délibérée et déclarée, une haine véritable à l’égard du christianisme en général, et des chrétiens eux-mêmes comme personnes. Certains propos qui entretiennent une culture du mépris tomberaient sous le coup de la loi s’ils visaient d’autres familles de pensée. »1
Chassé de la vie sociale, politique et intellectuelle, à peine toléré dans un espace privé de plus en plus confiné et surveillé, le christianisme est-il à la veille d’un « nouveau martyre », selon l’expression de Jean-Paul II ? Depuis une douzaine d’années, certains signes des temps sont inquiétants.
Ce fut l’ancien « Panzerkardinal » Ratzinger caricaturé en Hitler par les Guignols de l’Info et victime de l’hostilité sourde des médias. Ce furent les colonnes de Libération qui accueillirent régulièrement des diatribes christianophobes, en appelant même à une « opération chirurgicale antichrétienne » ! [...]
Falk Van Gaver - La suite sur Causeur
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[Vidéo] Notre accord de fond (presque toujours) ... avec Eric Zemmour
S'il est un blog auquel l'on aura toujours profit à se référer, c'est bien celui d'Eric Zemmour; une personnalité avec qui nous pouvons, presque toujours, être d'accord, c'est bien Eric Zemmour lui-même. (Cf. le lien, en fin de note).
Il se trouvera bien, dans notre mouvance intellectuelle quelques puristes pour relever dans les écrits d'Eric Zemmour, ou dans ses paroles, tel ou tel point de désaccord jugé rédhibitoire. Voire nous révéler qu'il roule pour tel ou tel.
L'important, c'est la chose même, ce sont les analyses de Zemmour, sur l'actualité, mais aussi sur les perspectives à long terme pour notre pays, pour notre civilisation, notre société. Et, sous cet angle, dans 90% des cas, nous ne dirons pas que nous faisons nôtres les idées d'Eric Zemmour. Non, nous dirons que, fondamentalement, ce sont les nôtres. Zemmour est familier de l'école d'Action française, dont la réflexion politique s'étend sur tout un siècle et remonte au tout début du XXème. Et nous, nous retrouvons, dans les propos de Zemmour, les analyses que nous avons faites, ou, parfois, que nous aurions du faire ... et qu'il fait tout aussi bien, à sa place.
Nous mettons, aujourd'hui, en ligne deux vidéos passionnantes, où il se "dispute" brillamment avec Nicolas Domenach, sur I Télé. Qu'on les écoute. Elles ne sont pas très longues (environ 11'' et 8''). Et elles se suffisent à elles-mêmes. Pour l'essentiel, ce qu'y dit Eric Zemmour concorde, nous l'avons déjà dit, avec nos propres positions.
Florange : Le chemin de croix de Lorraine
Logements : Cécile Duflot se raccroche à DieuLien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, l'emploi, social 0 commentaire -
Massacre des Pieds-noirs et Harkis : un “devoir de mémoire” à géométrie variable ?
Bruno Gollnisch n’a jamais oublié la très dure campagne de terrain qu’il mena en 1985 à Vaulx-en-Velin (Rhône) avec des harkis militants du FN. Il a constaté, comme tout à chacun, l’adoption jeudi dernier par le Sénat d’une proposition de loi visant à pénaliser la diffamation et l’injure envers les harkis. Dans sa déclaration de candidature à la présidence du FN, il notait qu’il « (fallait) que ceux qui ont combattu pour la France, cessent d’être méprisés ou insultés, et qu’ils soient au contraire honorés moralement et matériellement, y compris lorsqu’ils sont les ressortissant d’Etats de notre ancien Empire devenus indépendants. » Car ce vote des sénateurs ne suffit pas à contrebalancer les insultes et les injustices dont sont victimes combattants et Français d’Algérie depuis des décennies. Pas plus que le geste de Nicolas Sarkozy qui, à des fins électoralistes, a remis en novembre dernier à Hélie Denoix de Saint Marc, grand résistant, grand soldat, officier du 1er REP qui rallia le putsch de généraux à Alger en 1961, les insignes de grand-croix de la légion d’honneur. Cela suffira-t-il à faire oublier la « trahison gaulliste » ?
Le site du magazine Le Point rendait compte hier d’une étude de l’Ifop, « une analyse du vote pied-noir pour la prochaine élection. » « Le panel interrogé englobe non seulement des rapatriés, mais aussi des descendants de cette communauté, qui, dans son ensemble, représente le chiffre non négligeable de trois millions de votants. »
« Comme pour les élections précédentes, est-il indiqué, le Front National confirme son attractivité, se plaçant au-dessus de sa moyenne nationale (28 % et 24 % pour les descendants), mais c’est le score de Nicolas Sarkozy qui est le plus révélateur : à égalité avec François Hollande pour les rapatriés (26 %) – contre 31 % en 2007 -, il s’effondre dès lors qu’il s’agit des fils et des filles de pieds-noirs : 15 % contre 31 % pour François Hollande. »
« On ne peut s’empêcher de rapprocher ces résultats du très fort ressentiment exprimé par les associations de pieds-noirs contre Nicolas Sarkozy (…) en 2007, le candidat Sarkozy avait promis la reconnaissance de la responsabilité de l’État français de 1962 dans les crimes et les préjudices moraux et matériels subis par les harkis et les rapatriés. Aux yeux des pieds-noirs et des harkis (qui, avec leurs descendants, représentent 800 000 votants), il n’a pas tenu ses promesses. »
C’est en effet le moins que l’on puisse dire et Bruno Gollnisch, pour qui les évènements d’Algérie eurent un fort impact dans l’élaboration de sa conscience politique, était notamment présent, le 15 septembre 2010, à la manifestation des harkis et de leurs familles devant l’Assemblée nationale. Ils entendaient rappeler les engagements pris par Nicolas Sarkozy le 31 mars 2007, au nom de revendications légitimes appuyées depuis toujours par le Front National.
Le Point rapporte encore que Marine Le Pen a été la seule personnalité en lice pour la présidentielle –avec Jean-Marc Governatori, le candidat de l’Alliance écologiste indépendante- et comme l’ont demandé plusieurs associations, dont JPN (Jeune Pied-Noir), à signer la convention Candidat-Rapatriés, reconnaissant le « crime d’Etat » commis contre les pieds-noirs et les harkis
« Nulle présence, par contre, des autres candidats dans ce palais du Luxembourg, qui, comme l’ont rappelé les organisateurs, avait voté hier la loi sur le déni du génocide arménien (…). Les pieds-noirs, qui ont l’impression de s’être fait abuser, sont donc fermement résolus à passer à l’heure des comptes et à peser plus que jamais dans une élection qui coïncide avec le 50e anniversaire des accords d’Évian (19 mars 1962) et de l’indépendance de l’Algérie (5 juillet 1962). Deux événements que l’État français s’est engagé, en revanche, à célébrer en grande pompe avec l’Algérie, ce qui, bien sûr, meurtrit les pieds-noirs. »
Enfin cet article conclut sur l’indignation de l’historien Guy Pervillé, professeur à l’université de Toulouse et spécialiste de la guerre d’Algérie , « invité à rédiger pour le livre des commémorations nationales l’article concernant la guerre d’Algérie ». Or, M Pervillé « crie à la censure », « car la partie concernant la période des accords d’Évian a été amputée des quatre cinquièmes. Sur son blog, il restaure la version intégrale, qui évoque les enlèvements de Français, les massacres des harkis ainsi que le rôle du général De Gaulle. Autant d’éléments qui ont disparu du livre publié par les Archives de France et le ministère de la Culture… »
Bruno Gollnisch note également que l’Etat UMP, a mis la main à la poche (dans les faits dans celles des contribuables français) pour financer le film Hors La Loi, une nouvelle provocation anti-française sur la guerre d’Algérie. Et que ce gouvernement persiste donc à ne rien faire pour lever le voile sur les drames de l’après 19 mars 1962 et sur les dizaines de milliers de Pieds-Noirs et Harkis victimes de la haine du FLN. Sa responsabilité dans ce massacre est pourtant avérée…le « devoir de mémoire » serait-il à géométrie variable ?
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Prix de la Carpette Anglaise 2012
L’Académie de la Carpette anglaise vient de décerner son prix annuel dit d’« indignité civique ». Cette académie parodique réserve son prix à un membre des élites françaises qui, selon le jury, s’est distingué par son acharnement à promouvoir la domination de l’anglais en France et dans les institutions européennes au détriment de la langue française. Toujours selon l’Académie de la Carpette anglaise, ce prix « distingue plus spécialement les déserteurs de la langue française qui ajoutent à leur incivisme linguistique une veule soumission aux puissances financières mondialisées, responsables de l’abaissement des identités nationales, de la démocratie et des systèmes sociaux ». (Source Wikipedia)
En 2011, le prix a été décerné à Jean-François Copé, à l’époque secrétaire général de l’UMP, pour promouvoir avec vigueur l’usage de la langue anglaise de la maternelle aux grandes écoles et pour faire de la télévision publique en anglais aux heures de grande écoute (sous-titré en français) un des enjeux de son parti et de la prochaine élection présidentielle.
L’Académie nous prie de publier le communiqué diffusé au lendemain de l’événement. Polémia accède volontiers à cette requête.
PolémiaPRIX 2012 DE LA CARPETTE ANGLAISE
COMMUNIQUÉ DE l’ACADÉMIE DE LA CARPETTE ANGLAISE
L’académie de la Carpette anglaise* s’est réunie le 12 décembre 2012. Le jury, présidé par Philippe de Saint Robert, était composé de représentants du monde associatif** et littéraire. Au premier tour de scrutin, par cinq voix sur neuf, la Carpette anglaise 2012 a été décernée à M. Frédéric Cuvillier, ministre délégué chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche, pour avoir déclaré, selon Le Parisien, que, dans le domaine du transport, « l’anglais devrait être la langue et de rédaction des documents officiels harmonisés ».
Le prix spécial du jury à titre étranger*** a été décerné au premier tour de scrutin, par cinq voix sur neuf, à l’Agence française pour les investissements internationaux (AFII) et l’Institut national de la propriété industrielle (INPI) pour la campagne publicitaire « Say oui to France – say oui to innovation », qui promeut la France à l’étranger en utilisant l’anglais comme seul vecteur de communication, au lieu de s’adresser dans la langue des pays visés par cette campagne.
Anne Cublier, Hervé Bourges, Benoît Duteurtre, Alain Gourdon, Yves Frémion et Dominique Noguez sont membres de cette académie.
Notes :
* La Carpette anglaise, prix d’indignité civique, est attribué à un membre des « élites françaises » qui s’est particulièrement distingué par son acharnement à promouvoir la domination de l’anglo-américain en France au détriment de la langue française.
** Association pour la sauvegarde et l’expansion de la langue française (Asselaf), Avenir de la langue française (ALF), Cercle des écrivains cheminots (CLEC), Courriel (Collectif unitaire républicain pour la résistance, l'initiative et l'émancipation linguistique), Défense de la langue française (DLF) et Le Droit de comprendre (DDC).
*** Le prix spécial à titre étranger est attribué à un membre de la nomenklatura européenne ou internationale, pour sa contribution servile à la propagation de la langue anglaise.Contact : Marc Favre d’Échallens, secrétaire de l’académie de la Carpette anglaise.
Courriel : parlerfranc@aol.com
Académie de la Carpette anglaise, chez Le Droit de Comprendre, 34 bis, rue de Picpus, 75012 Paris. -
Aubry et la « préférence étrangère » (arch 2009)
La pseudo-fermeté gouvernementale en matière de politique d'immigration n'est qu'un trompe-l'œil En réalité, tout est est mis en œuvre pour faciliter et encourager l'arrivée de nouveaux étrangers dans notre pays. La preuve ...
Si Martine Aubry impose 2,7 milliards de francs d'économies aux professions de santé, surtout aux pharmaciens et aux radiologues, c'est parce qu'il lui faut bien financer les mesures prises en faveur des étrangers, notamment celle qui consiste à les faire bénéficier de l'allocation d'adulte handicapé (AAH), jusque là exclusivement réservée aux ressortissants français.
Ainsi le 10 juin dernier, une lettre de la caisse nationale des allocations familiales, avisait les services régionaux que la loi n° 98-349 du 11 mai 1998, étend le droit de l'allocation d'adulte handicapé à l'ensemble des personnes de nationalité étrangère.
D'un montant de 3471 francs mensuels, cette allocation pourra, désormais, être versée à tous les étrangers : travailleur, ancien travailleur, simple membre de la famille d'un travailleur ou d'un ancien travailleur, isolé, oisif, étudiant, pensionné, retraité, etc.
« Ces dispositions, précise la lettre, s'appliquent à compter du mois de juin 1998, sans rétroactivité" sauf dans le cas des « Maghrébins, voire des Turcs, (travailleurs, anciens travailleurs ou membre de la famille) qui se seraient vu opposer un refus dans le cadre des accords de coopération CEE Maghreb et Turquie. »
Seule condition exigée, qu'ils soient en situation régulière et qu'ils puissent produire l'un des titres de séjour suivants : - carte de résident, - carte de résident privilégié, - carte de séjour temporaire, un simple récépissé de demande de renouvellement de l'un de ces titres peut suffire : - récépissé de demande de titre de séjour valant autorisation de séjour d'une durée de six mois renouvelable portant la mention « reconnu réfugié ». - récépissé de demande de titre de séjour portant la mention : « étranger admis au titre de l'asile » d'une durée de validité de six mois renouvelable. etc
Les mêmes, peuvent faire valoir leurs droits au Fonds de solidarité vieillesse ou à l'allocation supplémentaire du Fonds de solidarité vieillesse, etc.
Ainsi, des étrangers réfugiés bénéficiant du droit d'asile seront mieux traités qu'un grand nombre de vieillards français, qui ont travaillé toute leur vie mais que leur modeste retraite ne permet pas de vivre décemment.
Par ailleurs, toujours dans l'optique de rendre notre pays toujours plus attractif aux immigrés, le ministère de l'Emploi et de la Solidarité a décidé de favoriser les étudiants étrangers en leur permettant de trouver plus facilement un emploi.
Une circulaire du ministère de l'Emploi et de la Solidarité, datée du 9 juillet, les autorise à travailler dès leur première année d'études en France, quel que soit le niveau du cursus suivi. Jusqu'à présent, ils devaient attendre leur deuxième année d'études avant de pouvoir réclamer une autorisation de travail. Dans les faits, cette autorisation peut être refusée par les directions départementales du travail et de l'emploi « si la situation de l'emploi dans la profession et dans la zone (...) y fait obstacle ». Mais Martine Aubry invite ses services à faire preuve « d'une extrême bienveillance », précisant même que les refus devront être «exceptionnels».
On n'en attendait pas moins d'elle !
Jean ROBERTO national Hebdo -
Amnesty International, arme de destruction massive du monde blanc
Soit. L'opposante birmane Aung San Suu Kyi a passé 15 des 21 dernières années en résidence surveillée. Mais cela ressemblait si peu à une prison ou à un goulag qu'en 1997 son mari, le distingué extrême-orientaliste Michaël Aris, étant atteint d'un cancer en phase terminale, les autorités birmanes lui proposèrent de le rejoindre à Londres. Ce qu'elle refusa. Néanmoins, depuis des années Suu Kyi appartient à la cohorte des « héros » des Droits de l'Homme Sélectionné qui forment le cœur de résistance de l'humanisme médiatique. Leur fonction, on commence à bien le comprendre, est d'imposer insensiblement, sur la destruction des règles traditionnelles, la nouvelle doxa mondialiste derrière laquelle avance camouflée la tyrannie globale uniformisante.
Il n'est pas anodin que Suu Kyi soit lauréate du prix Nobel de la Paix 1991, du prix Rafto pour les Droits de l'Homme, du prix Sakharov pour la Liberté de Penser, du prix Jawaharlal Nehru pour la Compréhension Internationale, du Prix Simon Bolivar du Gouvernement vénézuélien pour un monde métissé. Comment l'imaginer rebelle à une pensée unique qui la comble de tant d'honneurs ?
Bien entendu parmi les plus empressés à voler à son secours, il y aura eu Amnesty International. Pourtant très occupée, ces derniers temps, à remuer le monde autour des quelques 2 200 prisonniers politiques birmans internés pour délit d'expression, d'association ou de réunion. Volant ici au secours d'un ancien militaire marocain, emprisonné pour divulgation de secrets militaires, là d'un Chinois Prix Nobel de la Paix, Liu Xiabo, depuis onze ans derrière les barreaux. Soutenant deux activistes arrêtés en Azerbidjan, un manifestant Kashmiri de 14 ans interné par les Indiens, une Colombienne enceinte de 8 mois arrêtée en raison de son appartenance aux FAR, des Rroms victimes de discrimination en Hongrie, un avocat syrien condamné à trois ans de prison pour délit d'opinion, un syndicaliste ukrainien harcelé par le gouvernement, un écrivain de Singapour accusé de diffamation envers un tribunal, Sakineh Ashtiani, l'Iranienne condamnée à mort pour complicité d'assassinat de son mari, 68 "boat-people" refoulés sur l'Egypte par l'Italie, trois syndicalistes vietnamiens condamnés à 9 ans de prison, une Sri lankaise condamnée à mort en Arabie séoudite pour assassinat, un Américain blanc... Tiens !... Jeffrey Landrigan, exécuté pour deux meurtres et de nombreux crimes (Ah, Ah, AI soutient donc un assassin... blanc) des Rroms expulsés de Belgrade, Birtukan Medeksa, « la Mandela éthiopienne », chef de l'opposition condamnée à la prison à vie pour avoir tenté de renverser la constitution, puis amnistiée, à nouveau condamnée à perpétuité, et définitivement relaxée le 6 octobre 2010... Mais si vous espérez trouver un seul blanc victime de racisme ou d'exclusion, passez votre chemin ce n'est pas la bonne adresse. Des dizaines d'autres cas semblables, au cours des deux derniers mois, n'ont pas échappé à la vigilance sourcilleuse des flics pénaux d'Amnesty. L'aide apportée à Aung San Suu Kyi ne s'est jamais démentie. Ne fut-elle pas une des grandes causes médiatiques qui ont fait la renommée de l'ONG ? Avec bien entendu saint Nelson. Et Birtukan Medeksa. De celle-ci d'ailleurs un porte-parole de l'Association précisa : « Birtukan, prisonnière "de conscience " a été emprisonnée uniquement pour l'exercice pacifique de son droit à la liberté d'expression et d'association ».
LE TERRORISTE MANDELA « AMBASSADEUR DE LA CONSCIENCE » D'AI
Suu Kyi elle aussi s'est bornée à une lutte pacifique. On est loin de Mandela, condamné à mort pour terrorisme, dirigeant du Parti Communiste sud-africain, responsable de « l'aile militaire de l'ANC, Umkhonto We Sizwe » (MK) menant une guérilla dont la plupart des victimes furent des civils. Bombes, mitraillages, assassinats que continuent à célébrer les actuels dirigeants. L'icône humaniste de la planète intervint-elle jamais auprès de son épouse Winnie, afin qu'elle cesse de faire brûler vifs par le « supplice du pneu » des milliers d'opposants africains à l'ANC ?
Néanmoins, périodiquement, tel ou tel « Prisonnier de Conscience (POC) » est désigné comme un « nouveau Mandela ». En 1962, l'ONG balbutiante n'avait-elle pas fait de lui l'un des premiers « POC » ? Las, deux ans plus tard, lors du procès de Rivonia, Mandela lui-même admit être le chef terroriste qui à la tête du MK avait organisé une campagne destinée à renverser par la violence le « Régime blanc ». Deux thèses s'affrontèrent à l'intérieur d'Amnesty. Entre ceux qui voulaient faire de Mandela une exception et ceux pour lesquels on ne pouvait soutenir un terroriste. Ces derniers l'emportèrent et il cessa d'être considéré comme un « prisonnier de conscience ». Ce qui n'empêcha pas le Comité Nobel d'en faire une icône mondiale du pacifisme et les analphabètes médiatiques de continuer à le présenter comme l'archange de la fraternité. Si la Commission « Vérité et Réconciliation » de l'évêque Tutu n'avait été une farce sinistre, elle aurait dû entendre Mandela sur les centaines de victimes dont il fut responsable.
Or, en 2006, effaçant d'un trait de plume ce que leurs prédécesseurs avaient dû convenir, les dirigeants d'Amnesty Inter national lui décernaient leur plus haute récompense, le « Prix Ambassadeur de la Conscience ». Geste par lequel l'organisation confirma qu'elle était bien spécialisée dans l'imposture et le mensonge.
Il suffit de consulter le rapport 2010 d'Amnesty pour en mesurer l'étendue. Depuis des années des dizaines de milliers de blancs ont été assassinés en Afrique du Sud dont plus de trois mille fermiers. La plupart dans des attentats racistes et d'un sadisme rare. Le rythme n'a fait qu'empirer en 2010. Et pourtant on n'en trouve pas trace dans la partie générale du Rapport. Non plus que des centaines de blancs maltraités dans les prisons de l'ANC. Pour ne rien dire des centaines de milliers d'autres victimes de l'Empowerment qui est une politique officielle de discrimination raciale à l'embauche. Dans les trois pages et demie consacrées à l'Afrique du Sud, pas une ligne non plus. Et pourtant on y dénonce la discrimination et la violence exercée contre les immigrés, « la pauvreté persistante », l'effondrement du système de santé, les tensions à l'intérieur et à l'extérieur de l'ANC, la corruption jusqu'au sommet de l'État, la surpopulation carcérale, les violences domestiques, l'explosion du Sida. Le chômage décuplé, la torture et les mauvais traitements exercés contre les suspects de crimes, les violences policières, les crimes inter-ethniques ne sont mentionnés que lorsqu'ils ne concernent pas les blancs. En fait à lire ce Rapport, il n'existe pas de minorité blanche en Afrique du Sud. Pour les mystificateurs d'Amnesty International, sans doute s'est-elle évaporée le jour où son pouvoir légitime lui a été confisqué par un pouvoir illégitime venu d'ailleurs.
Piqûre de rappel : Amnesty International a été créée au début des années 1960 par des communistes, pressés de venir en aide à d'autres communistes emprisonnés. On ne se défait jamais totalement de ses vieilles manies...
Jim REEVES. RIVAROL du 23 DÉCEMBRE 2010Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, international, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire -
« Manif pour tous » ? Là, ça va trop loin !
Pourra-t-on défiler contre le « mariage » des homosexuels le dimanche 13 janvier sans marcher en même temps « contre l'homophobie » ? Frigide Barjot, grande coordinatrice de la marche qui annule et remplace la marche pour la vie (les enfants à naître aux oubliettes…) a clairement fait savoir que non. « Comment vous prémunir contre les homophobes ? », lui demandait-on sur RMC jeudi. En faisant applaudir les rainbow flags… Et les gens de Civitas ? « Civitas, c'est clair et net, ils viendront, et ils seront obligés de défiler contre l'homophobie, et d'enlever leurs bannières. »— Ça va être compliqué pour eux, quand même…— Voilà ! (sur un ton triomphant. L'air de dire : tant mieux, ils seront bien obligés de s'en aller…)Contre l'homophobie ? Contre un concept inventé par les plus durs des lobbies gays pour empêcher tout jugement de valeur non sur les personnes qui se trouvent avoir des attirances homosexuelles, mais sur le comportement homosexuel ? Contre un instrument juridique qui, dans de nombreux pays du monde déjà, permet l'inculpation de personnes qui se réclament de la Bible pour porter ce jugement moral ? Contre un sentiment subjectif de répugnance, aussi, qui est désormais interdit, alors qu'on imagine les homosexuels répugnés par l'idée de relations charnelles avec les personnes du sexe opposé et que tout le monde doit apparemment trouver que dans ce sens-là, il n'y a pas de problème ?Oui, là, cela va trop loin. Cela va trop loin d'avoir prévu, au cœur de la « manif pour tous » (c'est toujours dans l'interview précitée) un « char des homos » : « J'appellerai tout le monde à venir danser sur le char gay ! »Mais c'est quoi, ce détournement ? 99 % des personnes qui viendront défiler à Paris le 19 janvier ne demandent pas cela, ils demandent le retrait du projet. Rien de moins. Et surtout, rien de plus. Pas sa suspension en attendant la tenue d'« états généraux de la famille ». Pas une discussion sur « la place de l'homosexualité dans notre pays ».Et encore moins une revendication qui est très exactement à l'opposé de ce que demandent les honnêtes gens. Pourtant elle y est, régulièrement mise en avant par Frigide Barjot : l'amélioration du contrat d'union civile ouverte aux couples homosexuels. Elle l'a dit lors de sa conférence de presse mercredi, et j'en atteste puisque j'y étais : « Nous travaillons à un projet alternatif qui assure les droits sociaux, civils, patrimoniaux des familles homoparentales, sans bouleverser les principes du droit civil. »Et voilà que l'absurdité de la « famille homoparentale » devrait être entérinée par les centaines de milliers de personnes qui manifesteront contre le « mariage » des homosexuels ? C'est ainsi qu'on se fera entendre des médias, qu'on explosera les idées préconçues, nous dit-on. Mais oui : en brouillant le message jusqu'à le rendre incompréhensible. Car s'il est bon d'aménager des droits parentaux pour les partenaires de même sexe, s'il faut réfléchir à l'« homo-éducation » comme le propose Frigide Barjot, si les enfants peuvent « absolument » très bien grandir dans un foyer homosexuel, on se demande pourquoi on se donnerait la peine de se déranger le 13 janvier.C'est la même raison pour laquelle il n'est pas question de parler des « souffrances » des homosexuels, et tant pis pour ceux qui vivent douloureusement leur condition. « L'homosexualité n'est pas une maladie », comme l'a martelé Frigide Barjot.Car dire cela, c'est déjà être « homophobe », n'est-ce pas ? Puisque l'homophobe est celui qui « discrimine » à l'égard des homosexuels en émettant des critiques, fussent-elles vraies, sur leur mode de vie ou leur capacité à tout faire comme les « hétéros », voire mieux… Tout cela est d'une logique totale : on cherche à plaire aux médias, on adopte le langage et les concepts de l'adversaire, on s'y soumet, et on fuit comme la peste ceux qui ne sont pas disposés à s'incliner devant le politiquement correct. Tout comme nombre d'évêques de France ont longtemps mis sous le boisseau l'enseignement de l'Eglise sur l'avortement, de peur de se voir assimilés à l'« extrême droite » qui seule portait le respect de la vie sur la place publique.Non, là je cale vraiment. Pour le bien de la cause, il me semblait jusqu'ici qu'on pouvait faire avec les consignes souvent décalées, sans portée réelle, ou du moins je l'imaginais, données par Frigide Barjot (applaudir les « kiss-in », se dénuder pour se retrouver à égalité avec les Femen…). J'étais irritée par le « dress code » imposant aux gens de venir autrement qu'ils ne sont, par le refus des slogans et affiches non lus et approuvés par les organisateurs (mais qui représentent-ils ?). Mais ce n'étaient pas des raisons suffisantes pour prendre l'affaire bille en tête.Avoir radicalement inversé les objectifs de la marche, c'est autrement plus grave.Question : les nombreux évêques qui, courageusement, ont appelé les Français et les catholiques à manifester leur opposition à la légalisation du « mariage » des homosexuels, partagent-ils l'idée selon laquelle il faut marcher « contre l'homophobie » et pour un super-pacs, danser sur un char façon Gay Pride et réclamer une nouvelle forme d'« autorité parentale » pour les « homo-éducateurs » ? Un catholique peut-il participer à cela sans rien dire ?Désolée, mais il va falloir qu'ils s'expriment. Ils sont au pied du mur.