L’idéologie, c’est-à-dire la logique d’une idée, est souvent séduisante, mais la réalité ne plie pas devant elle. Celle-ci doit donc s’imposer par la violence. Elle a, pour cela, besoin de relais et de bras armés. Il est une officine qui n’a eu de cesse de promouvoir l’idéologie mondialiste, en favorisant notamment la destruction de l’ordre social traditionnel. C’est la Franc-maçonnerie. Le thème est abordé lors d’une émission sur radio courtoisie :
lobby - Page 2397
-
Le rôle de la Franc-maçonnerie dans la réalisation de l’idéologie mondialiste…
-
Syrie : violence, pauvreté, enlèvements…et l’aide de l’AED
« Nous nous sommes habitués à l’horreur du quotidien ». C’est ainsi que l’archevêque d’Alep des Arméniens catholiques, Mgr Boutros Marayati, décrivait à l’Agence Fides la situation vécue par les habitants d’Alep. « Et nous percevons qu’il existe une déformation de toutes les informations », continuait-il, devant les renvois de balle permanents entre les forces de l’ordre et les rebelles armés.
Les chiffres, signes des effets collatéraux du conflit, sont dramatiques:
- 700 000 émigrés (principalement Turquie, mais aussi Liban, Egypte, Jordanie, Irak)
- 3 millions de réfugiés à l’intérieur du pays (la plupart ont tout perdu )
- 80% de la population dans l’incapacité d’aller travailler.
- 70% de la population vivant sous le seuil de pauvreté.
- manque de pétrole, de mazout, de pain, d’eau, de couverture etc…Le 19 février 2013, un chrétien arménien a été abattu à bout portant par des terroristes qui, l’ayant arrêté et fouillé pour son nom de famille, l’ont criblé de balle à l’endroit de la croix qu’il portait autour du cou.
Le 9 février, trois prêtres ont été séquestrés à Alep et Damas. En date du 21 février 2013, nous sommes toujours sans nouvelle. Il s’agit du prêtre arménien-catholique Michel KAYAL, du prêtre grec-orthodoxe Ishaac MAHFOUD et du prêtre grec-catholique Hassan TABARA.
La suite sur le site de l’AED -
Florian Rouanet & André Frament - La culture de mort II (07.02.13)
-
Au programme de Méridien Zéro : “La Tyrannie médiatique” de Jean-Yves Le Gallou
PARIS (NOVOpress) – Ce dimanche à 23 heures, Méridien Zéro reçoit Jean-Yves Le Gallou, directeur de la fondation Polémia pour son dernier ouvrage “La Tyrannie médiatique”. A la barre, le Lt Sturm assisté de PGL et Jean-Louis Roumégace. A la technique Lord Tesla.
À écouter sur les sites :
- http://meridienzero.hautetfort.com/
- ou http://www.radiobandieranera.org/
- ou http://europaradio.hautetfort.com/ -
Rap anti-blancs : 10 ans de retard pour Copé et Nathalie Goulet
PARIS (NOVOpress) - Il y a plus de dix ans, les militants des Jeunesses Identitaires avaient souhaité briser un tabou en montrant la réalité de cette haine antiblanche s’exprimant impunément dans notre pays. Ils avaient, pour cela, cherché, compilé et diffusé une liste de textes de rap explicites, s’en prenant ouvertement aux Blancs et à la France.
Succès garanti ! De multiples fois reproduites sur les blogs et forums, cette liste finira à l’Assemblée nationale en 2006 lorsque le député UMP François Grosdidier s’appuiera sur celle-ci pour proposer un texte de loi visant à condamner pénalement les auteurs de chansons incitant « à la discrimination, à la violence où à la haine” “anti-blancs“ ».
Sept ans plus tard, cette liste de textes de rap fait une entrée fracassante au Sénat avec la sénatrice de centre gauche, Nathalie Goulet, s’appuyant intégralement sur cette liste pour demander, lors des questions orales au gouvernement, au ministre de l’Intérieur Manuel Valls, d’agir contre « ces chansons, entendues sur les radios » appelant « à la violence et à la haine contre les autorités publiques et la police qui s’efforcent de faire respecter la loi, notamment dans ces zones grises où le risque de perte de contrôle n’est pas exclu, ce que la Représentation nationale ne peut tolérer. »
Moralité de l’histoire : bien avant Jean-François Copé, François Grosdidier ou Nathalie Goulet, les Jeunesses Identitaires avaient, déjà à l’époque, 10 ans d’avance sur les politiques de ce pays. Dernier point pour les mauvais copieurs : le nom exact du groupe de rap lyonnais n’est pas Smala mais Bougnoul Smala….
-
La mutuelle étudiante LMDE et le syndicat gauchiste UNEF voguent en eaux troubles
PARIS (NOVOpress via le Kiosque courtois) - La LMDE n’est pas seulement une mutuelle, c’est l’une des deux caisses de sécurité sociale à laquelle les étudiants doivent adhérer. Elle est donc incontournable. Ce qui est surprenant, c’est la façon dont les cadres issus de l’UNEF gèrent la LMDE.
D’après le rapport du commissaire aux comptes, 250.000 euros ont été distribués à la vingtaine d’étudiants issus de l’UNEF qui administrent la LMDE, certains touchant jusqu’à 2.200 euros par mois. La LMDE a aussi financé le congrès de l’UNEF, le festival étudiant contre le racisme organisé par le même syndicat, ou encore la branche lycéenne de l’UNEF, l’Union nationale lycéenne, pour un total de 200.000 euros.
Toutes ces activités partisanes n’ont rien à voir avec la mission d’une caisse de sécurité sociale ! Et ce n’est pas tout. Plusieurs rapports sont unanimes pour critiquer la mauvaise qualité des services rendus par la LMDE. Sans compter une dette de 65 millions d’euros. Les adhérents apprécieront.
-
Les Rothschild (Jean Bouvier) (archive 2009)
Professeur d’histoire économique à la Sorbonne, Jean Bouvier a consacré une étude aux Rothschild. C’est une chronique sans parti pris de l’une des plus grandes familles du capitalisme bancaire européen, chronique centrée surtout sur les origines, de 1770 à 1914.
Mettons nos pas dans ses traces.
Zoom sur les Rothschild, pour comprendre d’où ils viennent.
Du XVI° siècle au milieu du XVIII° siècle, les Rothschild sont des négociants de moyenne envergure, résidant dans la rue aux Juifs, à Francfort sur le Main. Leur habileté dans les affaires leur permet progressivement de s’installer comme « Juifs de Cour », c'est-à-dire négociant juif qui tire profit des réseaux du commerce juif, à travers l’Allemagne morcelée du XVIII° siècle, pour se rendre indispensable aux princes locaux. En l’occurrence, dans le cas des Rothschild, les voilà chargés de fournir l’intendance aux troupes et à la Cour du prince de Hesse. Les Rothschild amarrent ainsi leur destinée à un prince retors, connu pour vendre ses hommes au roi d’Angleterre (les mercenaires hessois pendant la guerre d’indépendance américaine), et même pour pousser les généraux à les faire tuer – parce qu’il empoche une prime, pour chaque soldat hessois mort à l’ennemi. C’est cet esprit brutal, un esprit de caste combiné avec la passion de l’argent, qui va bercer l’enfance de la dynastie Rothschild.
C’est peut-être aussi l’origine de la première fortune : les Rothschild, qui disposaient de numéraire et d’un savoir-faire comptable indiscutable, acceptèrent sans doute à l’escompte les lettres de change venues d’Angleterre, et qui payaient les Hessois tombés pour que meure la libre Amérique. Cependant, nous ne disposons pas de leur comptabilité à l’époque, et nous en sommes donc réduits à des supputations sur ce point… Quoi qu’il en soit, en 1780, les Rothschild de Francfort sont devenus les partenaires rhénans de référence pour les négociants britanniques. Les produits de l’empire colonial affluent en Allemagne, et c’est Meyer-Amschel Rothschild qui se charge de les écouler.
En 1789, les Rothschild forment une dynastie commerciale et bancaire aisée, mais qui n’a rien d’exceptionnel. Leur véritable fortune naît ensuite, lorsqu’en épousant le parti de la contre-révolution, ils deviennent les financiers de la lutte menée par l’empire britannique contre la France révolutionnaire, puis impériale. Comme d’autres familles de la haute bourgeoisie, par exemple les Seillière de Paris, les Rothschild sont donc d’abord des profiteurs de guerre.
Au tournant du XIX° siècle, les Rothschild se scindent en deux : une partie de la famille reste en Allemagne, où elle va s’engraisser copieusement sur les fournitures de guerre. Une autre partie file en Angleterre, où elle va devenir, grâce à ses réseaux sur le continent, le banquier/ exportateur de référence du capitalisme britannique alors tout juste entré dans la révolution industrielle.
Ce positionnement permet à la famille de devenir une des meilleures armes de la Grande-Bretagne : les Rothschild sont, pour Londres, une filière permettant de contourner le blocus continental mis en place par Napoléon. Obséquieux en Europe face aux conquérants français, dont la corruption les favorise et à qui ils laissent croire qu’ils sont soumis, les Rothschild le sont tout autant face aux Anglais – alors qu’en réalité, ils profitent de leur position pour spéculer sur la Livre Sterling, faisant constamment le lien entre l’aristocratie allemande et son homologue britannique, et prélevant leur commission sur chaque transfert de fond. Leur véritable fortune va naître de cette duplicité : se faire passer pour de bons Allemands en Allemagne, de bons Français en France, de bons Anglais à Londres – et, en réalité, ne servir que leur propre cause.
Au début du XIX° siècle, les Rothschild sont implantés à Londres, à Paris, à Vienne et à Francfort. Ils ont constitué un réseau qui, entre les quatre principales puissances européennes (Angleterre, France, Prusse, Autriche), peut faire circuler le capital presque sans aucun contrôle possible de la part des autorités. Par rapport à leurs concurrents locaux, ce sera, constamment, un avantage décisif. Fondamentalement, les Rothschild mènent leurs affaires comme les autres dynasties de la haute banque. Mais ils le font à plus grande échelle, et en jouant sur une implantation internationale parfaite.
En 1815, les Rothschild profitent de la rapidité de leurs réseaux d’échange d’information pour spéculer sur la bourse de Londres : ils font croire à la défaite anglaise, alors qu’ils savent déjà qu’à Waterloo, Napoléon a été défait. Après 1815, ils encaissent d’énormes bénéfices sur le paiement des indemnités de guerre par la France. Ils organisent l’ingénierie financière (pour l’époque très innovante) des emprunts d’Etat de la Restauration. Dans une Europe tiraillée désormais par l’explosion latente de la Sainte Alliance, entre les vieilles monarchies immobiles et une Angleterre redevenue le camp du mouvement, ils profitent de leur positionnement à cheval sur les deux blocs pour se rendre indispensables à chacun.
Ces années du XIX° siècle naissant sont aussi celles où les Rothschild, de dynastie bourgeoise juive, s’affirme de plus en plus clairement comme une sorte de monde clos sur lui-même, doté d’une puissance autonome, qui traverse les espaces nationaux sans se mêler à eux, pour constituer un réseau homogène en parfaite affinité avec la dynamique du capitalisme industriel naissant. L’homogénéité de ce monde est d’autant plus parfaite que la « tribu » Rothschild est largement endogame : James, par exemple, épouse Betty, la fille de son frère Salomon. On s’échange les enfants d’un bout à l’autre du continent, mais si l’on se marie entre londoniens et parisiens, entre rhénans et viennois, toujours on reste à l’intérieur du groupe – Rothschild ou familles israélites apparentées. Les Rothschild deviennent en quelque sorte un véritable monde en soi – un monde qui ne s’ouvre à l’extérieur que pour commercer, et quand il le décide.
C’est aussi un monde secret : les Rothschild, à l’époque, ne publient jamais de bilan exhaustif, le bilan complet, dressé chaque année à Francfort, sert de base à une ventilation des capitaux entre les diverses branches nationales – mais ce bilan-là n’est guère détaillé. Tout ce qu’on sait, c’est que la fortune totale des Rothschild ne cesse de croître. Et le secret, la solidarité garantie par l’endogamie, font partie intégrante du fonctionnement de ce monde désormais richissime, greffé sur l’Europe des cours et des affaires, se nourrissant d’elle parce qu’il a su se rendre indispensable auprès de ses composantes éparses.
Les Rothschild forment un principe d’unité, dans un monde divisé : c’est le premier secret de leur puissance.
En 1830, les Rothschild aident à la captation de la révolution par les milieux bourgeois. Cette fois, ils sont du côté de la paix : pour l’instant, ils ont plus à craindre de la guerre qu’à gagner grâce à elle, et c’est ainsi qu’ils exploitent leurs capacités d’influence pour éviter une conflagration entre les vieilles monarchies d’Europe et la France de Louis-Philippe.
Il semble toutefois qu’ils n’aient pas directement joué en faveur de ce dernier : en l’occurrence, la révolution les a étonnés, et le tour qu’elle prit les laissa stupéfaits. C’est que s’ils sont remarquablement renseignés sur tout ce qui se passe dans les allées du pouvoir, les Rothschild sont aussi, à l’époque, mal informés sur les mouvements de l’opinion et les sentiments du peuple.
Cependant, dès l’arrivée du roi bourgeois au pouvoir, ils le voient comme un rempart contre la menace républicaine, et s’appliquent à le servir pour se faire bien voir de lui. Si l’on en croit Bouvier, donc, la légende des Rothschild faiseurs de gouvernement est, en 1830, erronée : leur influence ne va pas si loin. Ce sont encore, fondamentalement, des suiveurs, à la remorque d’un capital qui reste dominé, globalement, par les bourgeoisies nationales.
Cette position de suiveur, habilement exploitée, va toutefois leur permettre de se hisser progressivement dans la hiérarchie des affaires et de la politique, sous la monarchie de Juillet. En 1840, James, le chef de la branche française, est en position de visiter le roi quand il le désire, pour lui faire connaître les desideratas de la famille Rothschild, à laquelle Louis-Philippe n’a rien à refuser.
D’autant moins, d’ailleurs, que les Rothschild viennent de prendre un virage décisif : jusque là, ils se limitaient à la finance pure, affermant les emprunts d’Etat, spéculant sur la rente. Soudain, ils mettent leurs énormes capitaux au service de l’industrialisation – et la France, justement, a besoin de ce capitalisme de haut vol, capable de mobiliser des sommes colossales, pour rattraper l’Angleterre sur le plan industriel. Les Rothschild, à ce moment-là associés avec les Péreire (Juifs bordelais, une des grandes familles du capitalisme national français), inventent donc un modèle économique nouveau : l’adossement de la haute banque (qui joue avec ses propres capitaux) à la banque commerciale (qui mobilise l’épargne publique pour l’industrie), la première servant de noyau dur à la seconde, qui en retour lui sert de levier.
L’utilisation rationnelle de ce levier permet aux Rothschild de s’arroger des postes d’administrateur dans pratiquement toutes les compagnies ferroviaires de l’époque. Et pour garantir leurs intérêts, les Rothschild pratiquent la corruption à très grande échelle, « offrant » des paquets d’action (payées en réalité indirectement sur l’épargne publique) à des politiciens de tous les camps.
Exactement comme 1830 avait surpris les Rothschild, 1848 les stupéfie. C’est toujours le même mécanisme : l’endogamie des Rothschild, leur caractère de monde clos, en symbiose avec le monde aristocratique et bourgeois, a ses avantages immenses, mais aussi ses inconvénients. Un de ces inconvénients est qu’ils sont totalement coupés des peuples, dont il ne discerne pas les mouvements profonds.
Fondamentalement, les Rothschild d’alors sont des opportunistes greffés sur un vieux monde aristocratique largement parasitaire, et n’ont qu’entamé leur mue pour se greffer sur le nouveau monde bourgeois. D’une certaine manière « parasites des parasites », les Rothschild ont donc, dans tous les cas, partie liée au destin des milieux dominants dont ils sont les auxiliaires. C’est pourquoi, entre 1848 et 1851, pendant ces années où l’Europe vacille au bord de la révolution, ils sont constamment du côté de la réaction, et mettent toutes leurs ressources au service des classes supérieures menacées. Il ne faut pas voir là, de leur part, l’expression d’une préférence idéologique quelconque : il s’agit, tout simplement, de sauver la boutique.
Cette entreprise de sauvetage est conduite, en France en particulier, avec l’aide des milieux israélites, très implantés dans les nouvelles institutions républicaines. Ainsi, la force des Rothschild apparaît en pleine lumière : ils constituent une intersection parfaite entre tous les réseaux oligarchiques de l’époque, à la fois amis des aristocrates, des bourgeois et des élites juives. Les Rothschild, en 1848, vont ainsi échapper à la réquisition publique des chemins de fer, et faire échapper avec eux la haute banque toute entière, grâce à leur aptitude à construire, presque instantanément, un réseau d’influence à l’intérieur du nouveau pouvoir, sitôt l’ancien mis à bas. Même mécanique en 1851, quand le coup d’Etat prépare le Second Empire : à nouveau, les Rothschild se sauvent en assurant le nouveau pouvoir de leur soutien, et en faisant jouer les solidarités d’affaires, confessionnelles ou personnelles qui leur permettent, dans tous les cas, de participer à n’importe quelle oligarchie, dès qu’elle émerge.
Au fond, la grande force des Rothschild, outre leur unité dans un monde divisé, c’est leur extraordinaire capacité à ne s’occuper que des affaires. Ils n’ont pas d’opinion politique, pas de projet transcendant. Pour Bouvier, ceux qui prêtent à la dynastie une sorte de mystique illuministe mondialiste sont, en tout cas s’agissant des Rothschild du XIX° siècle, totalement à côté du sujet. Les Rothschild, alors en tout cas, ne s’intéressent rigoureusement qu’à la finance – et c’est précisément la raison pour laquelle ils font d’excellents politiques : quel que soit le pouvoir, ils le servent parce que ça leur rapporte, point final. Du matin au soir, ils s’occupent de la bourse, et uniquement de la bourse. Et le soir venu, quand ils reçoivent, c’est toujours, immanquablement, en vue de la bourse. La substance du monde clos formé par l’internationale Rothschild, c’est l’argent, et rien que l’argent. A la différence des Péreire, influencés par le saint-simonisme, les Rothschild n’ont rigoureusement aucun projet de remodelage de la société par l’action financière qu’ils opèrent : leur seul objectif, c’est le profit.
C’est donc par l’exigence du profit, encore une fois, qu’on peut expliquer la guerre financière que pendant 15 ans, les Rothschild firent aux Péreire autour de l’affaire du Crédit Mobilier. La haute banque, pendant le Second Empire, est menacée par la puissance de la banque commerciale. L’ancienne alliance est maintenue, mais elle est traversée de crises violentes. Les Rothschild, qui ont partie liée avec l’Empire britannique, ne veulent pas d’une économie qui découple implicitement la masse monétaire de l’étalon-or. Pendant 15 ans, de 1852 à 1867, ils feront la guerre aux Péreire et donc, indirectement, à Napoléon III, pour les empêcher d’émanciper la monnaie française. Ils soutiennent l’opposition libérale, libre-échangiste et anti-dirigiste, mais on aurait tort d’y voir une adhésion de fond à l’idéologie de l’Empire britannique : il se trouve simplement que la branche française des Rothschild, en l’occurrence, défend les intérêts de la branche anglaise (prépondérante), et d’une manière générale les intérêts d’une famille transnationale, qui prospère d’autant plus que les affaires sont dépendantes du numéraire détenu par la haute banque. Ce n’est de la politique que par accident : fondamentalement, il s’agit des affaires.
Pourtant, nul n’arrête le cours de l’histoire…
A partir des années 1870, les Rothschild deviennent moins importants dans le capitalisme européen. Non que leur fortune soit réduite, mais tout simplement parce qu’en dépit de leurs tentatives pour enrayer le mouvement, la banque commerciale mobilise l’épargne publique massivement, et le poids relatif de la haute banque commence à diminuer significativement.
Rassurés par l’écrasement de la Commune (à leurs yeux une sorte de condensé du Mal absolu), les Rothschild se rallient sans difficulté à la République de Thiers, en 1871. Il faut dire qu’ils y ont intérêt : en se portant garantie des emprunts lancés par le gouvernement français pour paiement des indemnités de guerre (moyennant une commission colossale), les Rothschild ont lié leur destin à celui de ce gouvernement. Plus il apparaîtra stable, plus les épargnants prêteront. Plus les épargnants prêteront, moins les banquiers auront à assumer leur garantie… Et c’est ainsi que la famille Rothschild, née de sa collaboration avec l’Ancien Régime, devint le bailleur de fonds de la République bourgeoise – et s’en trouva très bien financièrement (des dizaines de millions de francs de gains sur commissions et escompte, somme énorme à l’époque).
Ce fut probablement le dernier grand « coup d’éclat » des Rothschild. Par la suite, appuyés sur une puissance financière colossale dans l’absolu, mais soudain dominée par les capitaux issus de la banque commerciale, les Rothschild se positionnèrent à nouveau en suiveurs. Leur prédominance légendaire sur le monde des affaires n’aura donc duré que fort peu : de 1840 à 1875, en gros.
On les voit glisser leurs capitaux dans toutes les grandes affaires, de 1875 à 1914, et s’arroger toujours, grâce à la concentration de leur capital, une position d’observateur précieuse. Mais l’époque où la haute banque menait le jeu est révolue, et les Rothschild s’adaptent : désormais, ils ne « font » plus les affaires, ils y participent. Leur force, désormais, réside dans leur capacité, toujours grâce à leur fonctionnement de monde endogame, secret, solidaire par delà toutes les frontières, à constituer un réseau d’influence et de pouvoir qui n’est ni central, ni réellement dominant, mais cohérent dans l’incohérence générale, unifié dans la désunion générale, et concentré à proximité du centre, sans être tout à fait au centre, d’un capital mondialisé dont ils ne détiennent qu’une fraction minime – mais stratégique.
Que conclure en refermant l’histoire des Rothschild historiques, ceux du XIX° siècle, racontée par Bouvier ?
Il faut reconnaître tout d’abord que cette histoire est objectivement répugnante. Enrichis par la vente des mercenaires Hessois au roi d’Angleterre, par un double jeu cynique entre Grande-Bretagne et France, par un fabuleux délit d’initié (la fausse nouvelle de la victoire de Napoléon à Waterloo), par la captation cynique des commissions sur les indemnités de guerre, par la corruption des dirigeants, par le financement des forces les plus réactionnaires, les Rothschild de la légende durent leur fortune à la malhonnêteté, au mensonge, à la perfidie, et par-dessus tout à leur opportunisme sans foi ni loi. Il est absolument impossible de justifier l’ascension historique de cette famille sous l’angle de l’utilité sociale. Historiquement, les Rothschild du temps jadis apparaissent comme des parasites, qui ont prospéré sur la misère du petit peuple en s’associant aux anciennes aristocraties dépravées et aux oligarchies bourgeoises nationales les plus féroces. On peut les trouver habiles, mais on ne peut pas les trouver beaux, nobles ou constructifs au regard de l’histoire des hommes. Ils ont été, globalement, une force très négative.
Pour autant, faut-il le leur reprocher ?
Au-delà du jugement moral, qui n’est pas sans objet mais ne doit pas constituer la frontière de notre perception du réel, il faut d’abord resituer l’histoire des Rothschild dans celle du capitalisme. Les Rothschild de la légende apparaissent, avec le recul du temps, comme les sous-produits d’une décadence, celle de l’Ancien Régime, qui sont parvenus à se greffer sur la brutalité d’un monde barbare, celui du capitalisme sauvage. En l’occurrence, leur judéité n’a probablement joué qu’un rôle instrumental : il est exact que la tradition du ghetto, renforcée par l’endogamie, les a placés dans une situation idéale pour devenir les âmes damnées des oligarchies corrompues : monde clos capable de ne s’ouvrir à l’extérieur que pour laisser passer un flux d’information filtré, géré, presque toujours à sens unique, la « tribu » Rothschild possède toutes les caractéristiques qui garantissent le terrain anthropologique le plus favorable à un fonctionnement oligarchique pseudo maffieux. Le réseau des Rothschild historiques, au fond, n’est pas d’une autre étoffe de celui des familles criminelles italo-américaines ; la seule différence, en l’occurrence, est que les Rothschild ont su , au XIX° siècle, attaquer la société hôte par le haut, au lieu que les maffieux siciliens l’ont attaqué par le bas.
Sur le plan sociologique, les Rothschild apparaissent comme un groupe étranger au substrat anthropologique commun, donc isolé mais aussi indépendant, et qui parvient, par ruse, à se faire associer aux classes dominantes en tant que fraction dominée. Groupe qui, ensuite, toujours par ruse, s’impose progressivement d’abord comme une fraction associée aux fractions dominantes de la classe dominante, ensuite comme une fraction dominante spécifique, dotée d’une capacité de domination autonome. L’histoire des Rothschild est fondamentalement celle d’un groupe homogène, qui sut très habilement jouer des affinités électives préexistantes entre son organisation interne, son positionnement spécifique et la dynamique du capitalisme. Il n’y a là rien que de très logique, et même, en un sens, de très banal.
A l’aune de cette lecture rapide, on voit bien l’absurdité des argumentaires antisémites en anti-antisémites qui polluent le débat depuis trop longtemps :
- Absurdité de l’argumentaire antisémite, pour commencer, qui voudrait nous faire croire que parce que la spécificité juive a été instrumentalisée par certains de ses porteurs, elle est par essence réductible à son instrumentalisation par lesdits porteurs (ce qui reviendrait à dire, contre toute logique, que parce que les Rothschild ont utilisé les réseaux juifs pour s’élever de manière immorale, les réseaux en question sont nécessairement constitués de gens malhonnêtes – c’est comme si l’on réputait que puisque la tradition sicilienne a permis le développement de Cosa Nostra, alors c’est que tous les Siciliens sont des maffieux) ;
- Absurdité de l’argumentaire anti-antisémite, ensuite, qui voudrait nous interdire, au motif de lutter contre l’antisémitisme, de relever l’existence d’un lien, pourtant évident, entre la spécificité juive et la trajectoire d’une famille comme les Rothschild. Il n’est nullement raciste, antisémite ou haineux de constater, tout simplement, que les Rothschild sont juifs, et que cela explique en partie leur trajectoire spécifique. Vouloir analyser les Rothschild sans évoquer leur judéité est aussi débile que de prétendre analyser la famille Gambino sans mentionner ses origines siciliennes.
Au fond, la meilleure réponse à ces deux argumentaires fallacieux, c’est tout simplement de connaître et de faire connaître l’histoire des Rothschild : l’ascension d’une mafia.
http://www.scriptoblog.com/ -
Le lobby homosexuel et la tentation totalitaire
De la revendication impérieuse de ses « droits » à la prétention d'empêcher ses adversaires de s'exprimer, le lobby homosexuel soumet la société française à une pression totalitaire.
« Je ne serre pas la main à un pédéraste ", disait mon père (sans se douter qu'il ne faisait que ça toute la journée). » Diable ! Qui est cet « homophobe », dont les propos, aujourd'hui, tomberaient sous le coup de la loi ? Simplement le père de Paul Morand, monsieur brillant, cultivé, passionné d'art. Dans Venises, le grand écrivain poursuit : « Les invertis, "cette partie réprouvée de la collectivité humaine " comme dit une lettre de Proust, formaient une société secrète; on ne saurait comprendre le Temps perdu si l'on oublie que Sodome représentait alors une malédiction. Même à Venise la pédérastie n 'était que le plus discret des beaux-arts. »
Le lobby homosexuel s'est construit dans la mouvance de Mai 68
Ses mœurs n'avaient cependant pas empêché Proust d'être publié, ni Gide, ni Cocteau, ni Montherlant, ni Loti pour ne citer que quelques hommes de lettres, homosexuels notoires. Mal vue, l'homosexualité ? Sans doute, mais elle n'en était pas moins présente au sein de la société. « Le plus discret des beaux-arts », écrit Paul Morand. Un vieux monsieur que j'avais jadis interviouvé pour Minute disait : « l'homosexualité est un jardin secret ». Il s'appelait Pierre Seel et a raconté, dans un livre écrit avec Jean Le Bitoux, comment, jeune alsacien (et donc considéré comme Allemand par le Reich...), il fut déporté pour homosexualité dans un camp de concentration nazi, avant d'être expédié sur le front de l'Est. Ce qu'il ne pouvait raconter dans son livre, c'est la manière dont Le Bitoux, figure du lobby homosexuel, l'avait manipulé et traîné à la Gay pride, dont il était revenu sidéré, choqué par ce qu'il y avait vu. Qu'il soit donc entendu que nous ne confondons pas ici l'ensemble des homosexuels avec le lobby.
En France, le lobby homosexuel s'est construit dans la mouvance de Mai 68, avec notamment la constitution, en 1971, du Front homosexuel d'action révolutionnaire (FHAR), puis des « Gouines rouges », créées par des militantes lesbiennes qui jugeaient le FHAR mysogine ! Comme leurs noms l'indiquent, ces mouvements homosexuels étaient politisés, évidemment à l'extrême gauche. Au cours des décennies suivantes, remarque Jean-Claude Guillebaud dans La Tyrannie du plaisir, les revendications sexuelles allaient cependant prendre le pas sur le combat politique, tout en lui empruntant ses méthodes. Ainsi, la lecture des textes, communiqués, pétitions ou tribunes publiés par les mouvements homosexuels - Act up et consorts -, « renvoie irrésistiblement — mais sous une forme transposée — à la virulence des affrontements idéologiques de jadis, qui tournaient quant à eux autour du totalitarisme, des nationalisations, de la guerre froide, de l'impérialisme ou de la guerre du Vietnam », écrit Guillebaud. « Même patriotisme de chapelle, même référence sourcilleuse aux textes fondateurs ou aux luttes des aînés, même lyrisme généreux mais approximatif dans l'argumentation. Le traître à la communauté, le catho-coincé ou l'hétéro-fasciste ont simplement remplacé l'ennemi de classe, le bourgeois et l'exploiteur... »
« Le domaine privé - celui du corps, de l'épanouissement personnel, des relations entre les sexes - est bien devenu, à titre principal, celui des luttes, poursuit Guillebaud. (...) L'apothéose de l'individualisme, précieux héritage de la "révolution dans la révolution "des années soixante-dix, a logiquement désigné cette liberté-là comme l'enjeu principal. »
Un homme se résume-t-il a sa sexualité ?
Pour se structurer, le mouvement homosexuel a eu recours à des méthodes éprouvées : en premier lieu, la victimisation, qui correspond sémantiquement à la diffusion du concept d'« homophobie », calqué sur celui de « raciste ». « Homophobe » égale raciste, égale extrême droite : c'est tout simple.
Pour se défendre contre cette agression « homophobe » omniprésente et résurgente, l'homosexuel trouve un secours auprès du groupe : « C'est d'abord au nom de cette fragilité, qu'on justifie l'existence - et la fonction refuge - d'une communauté aux sens social et culturel du terme », écrit encore Guillebaud, qui en pointe la conséquence : « le repli vers un tribalisme distinct, avec ses quartiers, ses lieux de drague, ses boutiques, ses codes et, au bout du compte, ses revendications identitaires. »
De la communauté au communautarisme, le pas est vite franchi. Mais se pose alors une question que Guillebaud ne manque pas de formuler : « l'homosexualité fonderait-elle, à elle seule, une identité ? » Autrement dit, « Un homme se résume-t-il à sa sexualité ? » Car c'est bien sur la seule pratique sexuelle qu'est fondé le communautarisme homosexuel !
Ce communautarisme favorise une activité de lobbying et une revendication égalitaire qui ne se contredisent qu'en apparence. Le lobbying favorise la cooptation et l'entraide : c'est ainsi que les homosexuels sont traditionnellement très présents dans certains domaines d'activité comme la mode, la culture... Il s'étend aujourd'hui au domaine politique, notamment avec des groupes comme Gaylib à l'UMP(1) ou Homosexualités et Socialisme (HES) au PS, ou encore à travers des personnalités militantes. La revendication égalitaire vise à obtenir des « droits » jusqu'à présent réservés aux « hétérosexuels » (un terme peu usité jusqu'à une période récente...), mais aussi, finalement, à gommer l'idée de norme sexuelle en plaçant sur un même pied les comportements « homosexuel » et « hétérosexuel ».
Avec les années, la pression qu'exerce le lobby homosexuel sur les esprits, sous prétexte de lutte contre « l'homophobie », par le biais des médias, le poids du politiquement correct et même par la loi, est devenue totalitaire, comme celle que font peser les lobbies antiracistes en pratiquant les mêmes méthodes.
Et le « plan contre l'homophobie » annoncé par Najat Vallaud-Belkacem ne fera qu'aggraver la situation.
Eric Letty monde & vie 5 février 2013
I. Gaylib a quitté l'UMP en janvier 2013 pour protester contre la participation de ce parti à la Manif pour tous du 13 janvier. -
Où est la justice sociale ?
EOù est la justice sociale quand on repousse l'âge légal de la retraite alors que tout étranger de 65 ans n'ayant jamais travaillé ni cotisé en France, a droit à une retraite de 780 euros par mois, 5 ans après son arrivée ?¢EOù est la justice sociale quand une femme de paysan ayant travaillé 50 ans à la ferme n'a pas droit à ces 780 euros au prétexte que son mari et elle dépassent le plafond de 1200 euros de minimum vieillesse pour un couple ?EOù est la justice sociale quand la sécu en faillite continue de payer à l'étranger, sans le moindre contrôle, des retraites à d'innombrables centenaires disparus depuis des lustres ?EOù est la justice sociale quand l'Aide Médicale d'État soigne 220000 sans-papiers chaque année, à raison de 3500 euros par malade, alors que la sécu ne dépense « que » 1600 euros par affilié qui travaille et cotise ?EOù est la justice sociale quand des étrangers bénéficient de la CMU et d'une mutuelle gratuite, alors que 5 millions de Français n'ont pas de mutuelle, trop riches pour bénéficier de la mutuelle CMU mais trop pauvres pour s'en payer une ? 30% des Français avaient différé leurs soins en 2011 !EOù est la justice sociale quand on sait que 10 millions de fausses cartes Vitale sont en circulation et permettent de soigner des milliers d'étrangers sous une fausse identité, au détriment des ayant-droit ?EOù est la justice sociale quand la France entretient des milliers de polygames, certains d'entre eux percevant plus de 10 000 euros par mois sans travailler, alors que la polygamie est interdite et que nos comptes sociaux sont dans le rouge ?EOù est la justice sociale quand une famille nombreuse étrangère est prioritaire pour un logement social, alors qu'un jeune couple français doit attendre sept ou huit ans son premier logement pour avoir un enfant ?EOù est la justice sociale quand on sait qu'un million de faux passeports, donnant droit à la manne sociale, sont en circulation sur les sept millions de passeports biométriques soi-disant « infalsifiables » ?EOù est la justice sociale quand un Français né à l'étranger doit prouver sa nationalité à l'administration, ce qui se traduit souvent par un véritable parcours du combattant, alors qu'on brade chaque année la nationalité française avec des milliers de mariages blancs ?EOù est la justice sociale quand on veut donner le droit de vote aux étrangers, alors que nos élus ont confisqué aux citoyens leur « non » au référendum sur la Constitution européenne et que des millions d'électeurs, de droite ou de gauche, ne sont pas représentés au Parlement ?EOù est la justice sociale quand on accueille chaque année plus de 200000 étrangers non qualifiés, dont notre économie n'a nul besoin, alors que la pauvreté augmente, que nous avons près de 5 millions de sans-emplois et que le chômage atteint déjà 40% chez la population immigrée ?EOù est la justice sociale quand le contribuable finance des associations qui ne combattent que le racisme à sens unique alors que le racisme anti-français est systématiquement ignoré et les plaintes classées sans suite ?EOù est la justice sociale quand on condamne un journaliste pour avoir énoncé une vérité sur la délinquance étrangère, alors que des rappeurs incitant à la haine ne sont jamais inquiétés au nom de la liberté d'expression ?EOù est la justice sociale quand la délinquance explose et que les droits des voyous passent avant ceux des victimes ?Car si l'intégration a totalement échoué, c'est tout simplement parce que nos dirigeants ont confondu antiracisme et acceptation de l'autre avec le renoncement à nos valeurs. Il ne fallait rien changer au « moule » qui a permis depuis des siècles à des millions d'immigrés de devenir des citoyens français. Les règles d'intégration qui ont fait leur preuve avec des générations d'immigrés, étaient la force de la France. La faute majeure de nos élus est de les avoir ignorées.
-
Norvège : le documentaire qui a sonné le glas de la théorie du genre !
Les pays scandinaves, et particulièrement la Norvège, ont été pendant des années les pays les plus progressistes en matière religieuse, comme en matière de mœurs, et notamment d’égalité des genres. L’idéologie du gender s’y était enracinée. Mais voilà…
Le documentaire ci-dessous, réalisé par un journaliste norvégien auprès de spécialistes des deux camps, a eu des conséquences radicales : suite à sa diffusion, fin 2012, le gouvernement a suspendu toutes les subventions aux recherches scientifiques sur la théorie du genre. Un document d’une quarantaine de minutes qui laisse en effet laisse peu de place au doute… et qui a détruit la théorie du genre en Norvège :
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, international, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire