
Si l’institution ne souhaite pas faire de commentaire officiel, un gradé de la gendarmerie qui a officié sur l’enquête confie cependant à Marianne sous anonymat :
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Si l’institution ne souhaite pas faire de commentaire officiel, un gradé de la gendarmerie qui a officié sur l’enquête confie cependant à Marianne sous anonymat :
(Chronique à lire dans Causeur d’avril)
Claude Malhuret est rigolo. Derrière le pâle sénateur centriste s’épanouit le blagueur de banquet. Il n’a pas son pareil pour faire glousser l’hémicycle du palais du Luxembourg. « Les formules, ça me vient comme ça ! », a-t-il expliqué après le succès de son discours du 4 mars, repris jusqu’aux Etats-Unis. En huit minutes, l’amuseur des notables avait torpillé Donald Trump (« Néron, empereur incendiaire ») et Elon Musk (« bouffon sous kétamine »). Déjà, le 10 avril 2019, il avait ravi son auditoire compassé quand, parlant des Gilets jaunes et de leurs « gouverneurs de ronds-points autoproclamés », il avait lancé devant ses pairs hoquetant de plaisir : « J’ai entendu plus d’âneries en six mois qu’en trente ans de vie publique ». Malhuret, c’est la banalisation du mépris pour la piétaille. C’est la morgue arriviste des puissants qui ridiculisent les faibles et ceux qui leur prêtent attention. Malhuret symbolise la caste accrochée méchamment à son rang : un monde trop vieux, menacé par les humiliés.
Roumanie, Moldavie, France, maintenant Hongrie : après Georgescu, Le Pen, c’est au tour d’Orban d’être, à nouveau, dans l’œil de l’Union Européenne. Il faut punir Orban est le mot d’ordre bruxellois.
« Il faut régler le problème Orban »
L’UE fait face au Premier ministre hongrois : « Il faut régler le problème Orban » est le mot d’ordre de von der Leyen & Co. Le nouveau chancelier allemand, ancien de Black Rock, sera l’agent batailleur.
MàJ 03/04/2025
Aucune condamnation à l’issue du procès. La chambre correctionnelle de Rennes spécialisée dans le crime organisé a prononcé la relaxe des six personnes qui étaient soupçonnées d’être liées à une fusillade mortelle à Nantes, en 2019, sur fond de narcotrafic.
La bagarre sur la suppression des zones à faibles émissions illustre à merveille le processus à cliquets de la machine européenne dont la fonction principale ces dernières années est celui de la contrainte maximum, par la norme, des populations européennes, jusqu’à l’établissement d’une forme de codage permanent des comportements tenant de la dictature rouge/verte. Ces zones rappelons le, sous couvert de tri des voitures polluantes, sont en réalité un tri des populations avec deux objectifs, l’un de gentrification des hypercentres urbains, qui vont rester à ceux qui ont les moyens de se payer une voiture, laquelle a pris en moyenne 12 000 euros d’augmentation sur les dix dernières années. L’autre de rejet des populations moyennes dans les zones périurbaines, avec obligation de mixité sociale, en réalité mixité ethnique et rationnement de la place, le tout aux titres écologiques, celui du carbone et l’autre des espaces naturels préservés. Sauf que le carbone n’a jamais été un polluant et en plus, les particules issues des pneus et des freins sont au moins aussi nombreuses que celles des pots d’échappement, quelles que soit le mode de propulsion. Les premières conclusions ne montrent en plus pas d’améliorations très significatives dans les zones déjà mises en place.
par Jean Chapoutier
Le quotidien The New York Times vient d’avouer l’implication directe des États-Unis contre la Russie dans la guerre en Ukraine.
Le Times a confirmé ce qui est un secret de polichinelle pour nombre d’entre-nous : les États-Unis étaient bien en guerre contre la Russie sur le territoire ukrainien et sur le territoire russe.
Dimanche, le New York Times a publié un long article démontrant l’implication des États-Unis dans la guerre en Ukraine.
(le texte en gras italique est tiré du Times)
Cet article, titré «L’histoire secrète de la guerre en Ukraine», relate que : «l’Amérique a été impliquée dans la guerre bien plus intimement et largement qu’on ne le pensait auparavant» et a été «impliquée dans le meurtre de soldats (et de civils) russes sur le sol russe souverain».
02/04/25
Le mis en cause a déjà été condamné… 24 fois. Après la mort d’une femme âgée de 73 ans, dont le corps a été retrouvé le 26 mars dernier à son domicile de Rennes «largement dénudé », le parquet de la ville a annoncé ce mercredi 2 avril dans un communiqué parvenu au Figaro que le principal suspect, un homme âgé de 40 ans et condamné à 24 reprises, a été mis en examen et placé en détention provisoire.