Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Là je peux m’en donner à cœur joie tant l’actualité nous donne des exemples truculents de la bêtise de nos dirigeants qui se sont lancés dans la foire à la saucisse de la taxation du méchant riche.
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Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Là je peux m’en donner à cœur joie tant l’actualité nous donne des exemples truculents de la bêtise de nos dirigeants qui se sont lancés dans la foire à la saucisse de la taxation du méchant riche.

Un an après, les parents de Philippine ne veulent pas polémiquer. «Ce n’est pas notre état d’esprit. Ce que l’on veut c’est rendre hommage à Philippine», explique Loïc. Une colère sourde, teintée de découragement, est pourtant bien présente.

Nous avons peu de données sur les raisons de l’effondrement systématique des civilisations à un moment où à un autre. Seule la réflexion permet d’essayer d’y voir clair sans prendre les acteurs de ces moments clés pour des imbéciles. Il est raisonnable de penser que seul l’inconscience du problème létal qui les minait, a permis à ce problème non affronté de tellement les affaiblir que la première armée de Vandales venue les a abattues.
C’est une étude très intéressante et qui devrait faire la « une » de tous les journaux du BJM Médecine et sur laquelle tous ceux qui pensent que penser aux autres est l’objectif de la politique et de l’économie car cette étude (source BJM Médecin ici) démontre sans ambiguïté que le taux de mortalité infantile n’augmente pas chez les « riches » mais augmentent uniquement chez les pauvres.

C’est l’œuvre soigneusement orchestrée d’Evanne Jeanne-Rose sur le site Sidaction.
Dans un article, celui-ci, prétend « déconstruire » les opposants, tout en expliquant que l’on parlera aux enfants du « genre assigné » par les autres.
Chez les wokes, en effet, ce n’est pas la nature qui fait de nous ce que nous sommes, mais les autres…

Depuis 2 mois, les manifestations sont incessantes, partout en Angleterre. Le pays est au bord de l’explosion, principalement à cause de l’immigration et de toutes les injustices qu’elle engendre.
Les mots d’ordre entendus sont simples : « Send them home »… renvoyez-les ! Ou encore celui là « Nous ne sommes pas l’extrême droite, nous sommes des mères anglaises ».
Sans le moindre doute, l’assassinat de Charlie Kirk montre une fois de plus que déshumaniser un adversaire conduit inéluctablement à user de la violence à son encontre lorsque celui-ci refuse de se taire ou de disparaître. Ce n’est malheureusement pas la première fois, ni certainement la dernière, que le rappel de cette réalité sera fait.
Cependant, on lit ici ou là que cette rhétorique déshumanisante est un poison qui rongerait nos sociétés démocratiques.

Panique à gauche ! Les rappels à l’ordre des « humanistes » et des « antiracistes » n’intimident plus. La nazification des nationaux connait son effet boomerang. Derrière les postures progressistes, apparaissent les débordements de haines, d’intolérances. Les « antifas » sont les fascistes. C’est un antifasciste revendiqué, qui vivait en couple avec un transsexuel, qui a tué par balle l’américain Charlie Kirk, 31 ans, le 10 septembre. L’influenceur conservateur et soutien de Donald Trump débattait devant 3000 personnes sur le campus universitaire de l’Utah. Présenté en France, par les médias de gauche et les dénonciateurs sur X, comme « influenceur conspi d’extrême droite », Kirk avait construit sa renommée sur le dialogue avec ses contradicteurs.