En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Lentement depuis l’an 2000 marchait le dispositif démocratique. C’est-à-dire la pensée dominante de l’« économique d’abord » des libéraux libertaires, appuyée sur le bras du terrorisme intellectuel de ses alliés objectifs, les bourgeois-bohèmes. Rien ne semblait pouvoir entraver cette marche, sauf un éventuel retour DU politique. C’est ce qui se passa par des coups de boutoirs à l’international et à l’intérieur des frontières de la patrie française, tant continentales qu’outre-mer.
Alors que le massacre de la communauté yézidie de Sinjar a souvent été imputé à la collusion des Arabes sunnites avec Daech, les preuves ne cessent de s’accumuler selon lesquelles les dirigeants kurdes ont joué un rôle important dans la mise en place de ces atrocités dans l’objectif de faire avancer leurs ambitions territoriales dans le nord de l’Irak.
Après l’attaque brutale de l’État islamique en août 2014 contre la communauté yézidie dans le nord de l’Irak, un narratif a rapidement émergé accusant les Arabes sunnites de Sinjar d’avoir soutenu le génocide.
Les États européens restent profondément divisés sur le possible déploiement à grande échelle de forces terrestres en Ukraine, qui a reçu un soutien croissant de la part des pays de tout le continent au cours de l'année écoulée. Selon un rapport du Times, bien qu'ayant adopté une des rhétoriques les plus hostiles à l'égard de la Russie, les États baltes et la Pologne ont néanmoins montré des appréhensions à l'égard d'une telle escalade en raison du risque que les retombées puissent les exposer. L'Allemagne, qui a également été parmi les plus proactives dans l'armement de l'Ukraine, a évité d'apporter son soutien en raison des élections imminentes en février, car l'effort de guerre est devenu de plus en plus impopulaire au niveau national. La France, le Royaume-Uni et les États nordiques ont quant à eux été les plus favorables à une telle escalade, même si certains craignent que de telles opérations ne soient pas possibles sans un soutien américain important.
Cachez donc ces migrations qu’on ne saurait voir… Le programme d’accueil et d’hébergement d'immigrés clandestins dans des centres ad hoc fait l’objet d’une véritable omerta. Les services gouvernementaux se gardent non seulement de communiquer sur leurs projets en la matière, mais aussi, le plus souvent, de prévenir les municipalités concernées. En 2022, BV rapportait alors, parmi bien d’autres, le cas de la ville de Saint-Lys (9.500 habitants), située au sud-ouest de Toulouse : le maire (dissident PS) dénonçait le programme d’installation d’un centre d’accueil de migrants, ainsi que l’absence totale d’information et de concertation de la part des pouvoirs publics.
Aux côtés de son invité d’honneur François Seners, du Conseil constitutionnel, Alain Poujade, président du tribunal administratif de Rennes, a fait le bilan des activités de l’année 2024 lors de son audience solennelle de rentrée ce lundi 3 février.
Le 1er février 2025, la Russie a lancé une attaque de missile de précision sur l’hôtel Bristol de la ville d’Odessa en Ukraine, annihilant un QG du renseignement de l’OTAN. La destruction de la cible a éliminé des agents du renseignement français de la DGSE, des membres des forces spéciales et des agents alignés avec l’OTAN engagés dans des opérations secrètes le tout sous couvert de la fonction de «conseillers militaires». Cet évènement a pulvérisé le rôle secret joué par la France en Ukraine, exposant par là même l’étendue de son implication secrète et clandestine.
Nos services publics s’effondrent et ce n’est pas la faute de fonctionnaires. Certes certains ne font pas bien leur travail comme dans toute collectivité humaine, tel n’est pas le problème. Le problème n’est pas les gens.
Le problème c’est le système qui devient fou, et nos fonctionnaires qui vivent dans cette maison des fous, deviennent eux aussi totalement fous.
La France, ce grand corps malade, n’en finit plus de sombrer économiquement, financièrement, moralement, politiquement. Il faut une sacrée dose d’optimisme ou une imagination frôlant la démence pour trouver des sujets de satisfaction dans notre pays aujourd’hui. Bayrou déclenche le 49.3 pour faire passer un budget qui n’apportera que le pâle contentement d’avoir un budget. Les peureux, ceux, comme Jospin, qui pensent que voter la censure « ce ne serait pas responsable », évitent cependant de nous expliquer en quoi cela le serait. Bien entendu les craintifs, ceux qui vont se réjouir d’avoir enfin ce fameux budget, oublieront dans quelques mois qu’ils ont pleuré pour l’avoir et seront vent debout face aux excès et dérapages qu’il engendrera, nécessitant de nouvelles hausses d’impôts et l’établissement de taxes supplémentaires. Car c’est bien ce qui se passe factuellement : ils votent les uns derrière les autres, des budgets qui engendrent de nouveaux déficits qu’il faut combler en levant de nouveaux impôts, dans le pays déjà le plus imposé.
La campagne électorale allemande a sans doute atteint son paroxysme le 27 janvier dernier lorsque Friedrich Merz, tête de liste de la CDU, a indiqué qu’il accepterait le soutien de l’Alternative für Deutschland pour faire passer au Parlement ses mesures anti-immigration. À l’appel des partis de gauche, entre 160 000 et 250 000 personnes – suivant les estimations de la police et des organisateurs – se sont rassemblées à Berlin, dimanche 2 février, pour dénoncer le rapprochement de la droite et de l’« extrême droite » allemandes, à trois semaines des élections législatives anticipées. La foule s’est massée devant le Parlement, en plein cœur de la capitale allemande, avant de défiler jusqu’au siège de l’Union chrétienne-démocrate (CDU). Samedi, plus de 220 000 personnes avaient manifesté dans les grandes villes du pays, comme Hambourg, Leipzig, Cologne ou Stuttgart.