Par Axel Tisserand
Ce texte de Bernanos, trop méconnu, est le dernier du polémiste et romancier : écrit sur son lit d’agonie, la mort en interrompit la rédaction. Bernanos n’a toutefois rien perdu de sa verve : Mauriac n’a fait que remplacer Maurras dans une détestation tous azimuts de ce que représente le personnage.