Assez curieusement, plus aucun parti politique ne soulève le problème de la nuisance de l’euro et le danger que cette monnaie, qui n’est qu’une version « remasterisée » du « dollar AMGOT » présente pour l’économie française.
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Assez curieusement, plus aucun parti politique ne soulève le problème de la nuisance de l’euro et le danger que cette monnaie, qui n’est qu’une version « remasterisée » du « dollar AMGOT » présente pour l’économie française.
Bayrou est l’heureux élu. Macron sans surprise à fait du Macron, en nommant celui que l‘ensemble de la classe politique s’accorde à qualifier de pire de tous. Sans envergure ni charisme, tout juste bon à rester en embuscade pour obtenir un maroquin, c’est l’homme qui est capable de dire des horreurs sur quelqu’un et de l’embrasser sur la bouche l’instant d’après, pour ses besoins de carrière, c’est ce qu’il avait fait avec Macron en 2016. Il se murmure que Bayrou aurait menacé Macron de le priver du soutien du Modem s’il n’obtenait pas le poste… à voir.
Après le plan, le thermomètre. Ou plutôt « la boussole », pour reprendre les mots de la rectrice de Créteil, Julie Benetti. Ce vendredi à La Courneuve, le conseil départemental et l’académie de Créteil ont signé un contrat-cadre pour la création d’un observatoire de l’attractivité et de la mixité sociale et scolaire en Seine-Saint-Denis. Il sera chargé d’évaluer les politiques mises en place pour favoriser cette mixité. En premier lieu, le plan pour l’attractivité des collèges. Lancé en septembre, il comprend une série de mesures censées redonner un pouvoir de séduction aux quarante collèges parmi les plus « évités » du département. Parmi les pistes sur la table, celle de la modification de la carte scolaire.
Thomas Joly, président du Parti de la France
Les jeunes Français - cette jeunesse autrefois vigoureuse et avide de grandeur - semblent aujourd'hui sombrer dans une torpeur inquiétante. Au lieu d'ériger des cathédrales d'idées ou de gravir les sommets de l'âme, ils s’affalent sur des canapés, les yeux rivés à des écrans, ces prisons lumineuses qui enferment l’esprit et atrophient la volonté.
BAYROU LE TRAITRE DANS TOUTE SA SPLENDEUR
Tout le monde sait que Bayrou a d’abord trahi Balladur en 1994, puis qu’il a trahi Sarkozy en 2012, faisant voter Hollande, puis qu’il a trahi encore son camp en 2017, en ralliant Macron, alors qu’il aurait dû être du côté de Fillon.
Si la signature du Mercosur par Ursula Von der Leyen était attendue et continue à montrer la nocivité de l’UE pour notre pays, le choix d’équiper la police municipale de Mandelieu-la-Napoule de Tesla illustre à nouveau en quoi les dirigeants de notre pays et des partis oligarchistes sont nuisibles pour les Français. Sébastien Leroy devrait avoir bloqué un tel choix plutôt que de s’en réjouire publiquement.
Selon www.ouest-france.fr, une femme de 49 ans, salariée du CNAM (Conservatoire national des arts et métiers), son compagnon de 50 ans, et un enseignant de 75 ans ont été mis en examen pour corruption active et passive, escroquerie en bande organisée, blanchiment de fraude fiscale, et aide à l’entrée ou au séjour d’étrangers. Ils sont accusés d’avoir accordé des facilités pour réussir les tests de compréhension du français (TCF) à plus de 250 étrangers, souvent contre des paiements en espèces.
Les États-Unis ont accédé à la requête des Ukrainiens, maintes fois formulée, de les autoriser à frapper des cibles en territoire russe avec les missiles longue-portée de fabrication américaine et européenne que sont les ATACMS, HIMAR, Storm Shadow et Scalp. L’accord obtenu, les Ukrainiens ont attaqué la Russie les 19 et 21 novembre. La Russie a répondu avec force et célérité en ciblant le 21 novembre le constructeur aérospatial ukrainien Yuzhmash sur les bords du Dniepr avec un nouveau missile hypersonique, l’Oreshnik. Surpris, les Occidentaux ont immédiatement accusé la Russie d’escalader la guerre. Leur surprise tient à ce que dans le passé Vladimir Poutine, craignant un emballement du conflit, n’avait pas réagi quand les Occidentaux avaient franchi ses lignes rouges, perçues à l’ouest comme de simples bluffs. Mais cette fois, la ligne n’était pas rouge, mais rouge vif et Putin a réagi. Les évènements des 19 et 21 novembre donnent à réfléchir sur ce que le futur nous réserve d’autant que dans son allocution du 21 novembre, Vladimir Poutine a informé les Occidentaux qu’il n’existait pas de défense aérienne en Occident capable d’arrêter l’Oreshnik et qu’il y aurait une réponse à toute frappe ukrainienne sur le territoire russe. La guerre est perdue sur le terrain. Washington le sait. La raison et la sagesse préconisent donc l’arrêt du conflit et l’amorce de négociations. Encore faut-il au préalable s’interroger sur les motivations américano-ukrainiennes.