La France est à l’image du pont de Baltimore (Etats-Unis), qui s’est effondré mardi sous le choc d’un porte-conteneurs. Un demi-siècle d’idées tordues ont amené le pays à s’autodétruire. L’endettement de la nation à plus de 3000 milliards d’euros n’est qu’un élément de sa désagrégation, qui touche également à la cohésion et à la sécurité. « Le pays tient ! », a cru pouvoir affirmer Alain Minc, auteur de La mondialisation heureuse (1999), samedi dernier sur France Culture (Répliques, d’Alain Finkielkraut). L’enfant gourmand de la finance croyait se rassurer en observant le pays résister plus que d’autres au nouvel antisémitisme islamique et à ses assauts contre la laïcité. Le constat a, il est vrai, sa part de vérité : les manifestations pro-Hamas et anti-juives ont été plus discrètes en France qu’en Grande-Bretagne, minée par le communautarisme institutionnalisé.
l'information nationaliste - Page 673
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Effondrement de la France : en finir avec ses maltraitants
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Yann Barthès interrogé à l’Assemblée sans oreillette ni prompteur
Dans Quotidien, Yann Barthès va pouvoir se moquer de Yann Barthès :
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Quand les marins de l’Egypte ancienne ont découvert que le monde n’était pas plat, personne n’a écouté
Le premier navire à faire le tour de l’Afrique est parti d’Égypte vers 600 avant JC. Leur seul but était de trouver un autre chemin vers le détroit de Gibraltar. Mais en regardant le ciel, ils ont découvert quelque chose qu’ils n’avaient jamais imaginé : les premiers indices que le monde n’était pas plat, mais rond.
Lorsqu’ils ont atteint la pointe sud de l’Afrique et ont commencé à naviguer vers l’ouest, les marins ont rapporté chez eux qu’ils avaient remarqué que la position du soleil avait changé dans le ciel. Il se leva et se coucha au nord plutôt qu’au sud.
C’était un petit détail – mais pour une civilisation qui croyait que le monde dans lequel elle vivait était plat, c’était une découverte qui remettait en question tout ce qu’elle croyait comprendre de son monde. Et c’était une découverte si radicale que la plupart des gens refusaient d’y croire.
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Carhaix. Plus d’un an après, toujours pas de trace de « la menace d’extrême droite », après l’alerte à la bombe qui aurait visé le journal « Le Poher »
Source Breizh-Info cliquez ici
La fin d’année 2022 et le début d’année 2023 avaient été agités dans le Centre-Bretagne autour de l’affaire Callac notamment. Le journal local Le Poher, dirigé par le militant breton de gauche Erwan Chartier, avait d’ailleurs été au centre de l’actualité, puisque le journal avait indiqué avoir reçu de nombreuses menaces et avait même été évacué suite à une alerte à la bombe que les journalistes prétendaient avoir reçu, dans les locaux de Carhaix, en février 2023.
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Attentat au Crocus. Le vrai Nord
Il semble que la Russie navigue point à point.
Non pas vers un refuge, mais plutôt sur la voie du châtiment.
Et son « vrai nord » est le même que celui des terroristes.
L'Ukraine.La navigation point à point décrit l'art perdu depuis longtemps de la navigation céleste, la capacité d'utiliser les étoiles pour tracer une route à travers les mers à l'époque d'avant les boussoles. La clé pour réussir une navigation point à point résidait dans la détermination de sa position par rapport à l’étoile polaire. Ne pas le faire signifiait risquer de naviguer sans but sur une mer sans points de référence fixes, un acte qui conduisait à la mort ou à devenir un naufragé sur un point inexploré de la planète.
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Thomas Joly répond à vos questions - Mars 2024 - Partie 1
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Le général Magowan avertit que l’armée britannique ne pourrait pas tenir plus de deux mois face à l’armée russe
Le général britannique Rob Magowan a admis lors d’une réunion de commission le 26 mars que l’armée britannique “ne pourrait pas combattre la Russie pendant plus de deux mois parce que nous n’avons pas les munitions et les réserves d’équipement pour le faire”.
Cet aveu frappant est le nouvel avertissement des responsables de la défense et de l’armée britanniques, informant que le pays n’est pas préparé à un conflit armé. Les responsables d’autres pays de l’OTAN ont réitéré des préoccupations similaires.
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Mort de Marczak
par Patrick Reymond
Personne ne connait Marczak, c’était un général polonais. Il est mort naturellement, nous dit-on. Il est vrai qu’il est naturel de mourir quand on se reçoit un Iskander sur la tronche, en Ukraine.
Ce qui ne serait pas naturel, c’est d’y survivre.
On peut penser que d’autres morts, d’autres généraux, dont des français, sont sur le même registre de «mort naturelle» ou «accidentelle». Ces généraux courtisans plus courtisans que généraux d’ailleurs, étaient plus à l’aise à Bruxelles, Paris ou tout autre lieu, surtout dans les salons, que sur le champ de bataille.
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CETA : Quand la Macronie se moque de l’avis des Français
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Pourquoi la France, la Pologne et la Roumanie ont été choisies pour la guerre avec la Russie
par Sergueï Marzhetsky
Les déclarations du président Macron sur la possibilité d’une entrée des troupes françaises en Ukraine sont prises plutôt à la légère par l’opinion publique patriotique russe. Une fois que les contingents de l’OTAN seront sur le territoire de l’Ukraine, non seulement de facto mais aussi de jure, cela signifiera le début de la partition du territoire dans des conditions extrêmement défavorables à la Russie, ce qui signifie une défaite stratégique dans la réalisation des buts et objectifs de l’opération militaire spéciale.