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  • Le retour de Syrie de djihadistes français accroit la menace terroriste en France

    Le retour de Syrie de djihadistes français accroit la menace terroriste en France

    PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – Selon la Lettre d’information stratégique et de défense TTU, les services de renseignement français dénombrent 120 djihadistes français partis se battre en Syrie depuis deux ans. Ils représentent ainsi 60 % des ressortissants français engagés dans les rangs d’Al-Qaïda. Si actuellement environ 10 sont au Mali (ou ils se battent contre l’armée française), cinquante en Syrie et quarante en transit, trente sont rentrés en France.

    C’est ce retour qui laisse penser à une augmentation de la menace terroriste sur le territoire national. Les renseignements soupçonnent aussi la création de cellules terroristes sur les modèles de celles présentes en Bosnie lors de la guerre. Peut-être est-il temps de revoir le modèle d’intégration à la française et de surveiller les frontières ?

    Crédit photo : Magharebia, via Flickr (cc). http://fr.novopress.info/

  • C’est beau, c’est grand, c’est impartial, la justice ! Mais est-ce utile ?

    Décidément, la réalité de la politique française rejoint la fiction des séries télévisées… Corruption à tous les étages, règlement de comptes maffieux, ces choses sont dites, c’est chaque jour une valse de mises en examen, suivies souvent, plus moins rapidement, de non-lieux…
    Aujourd’hui, on annonce que Jean-Noël Guérini, sénateur socialiste de Marseille, se voit à nouveau mis en examen et ce coup-ci pour « association de malfaiteurs, prise illégale d’intérêt, trafic d’influence, corruption passive, détournement de fonds publics et favoritisme »… après que sa camarade députée à la rose Sylvie Andrieux ait été déclarée coupable, le 22 mai dernier, de détournement de fonds publics par le tribunal correctionnel de Marseille, condamnée à trois ans de prison dont deux avec sursis, 100 000 euros d’amende et cinq ans d’inéligibilité…
    La semaine dernière, c’était l’ancien haut magistrat Pierre Estoup – l’un des trois juges du tribunal arbitral qui décida, en 2008, d’octroyer 403 millions d’euros à Bernard Tapie dans le litige l’opposant au Crédit lyonnais – de l’être pour « escroquerie en bande organisée » par les juges chargés du volet non ministériel de l’affaire.
    Qu’on soit donc président de la France (Chirac, Sarkozy), ministre (Cahuzac), députés, sénateur, simple maire ou juge, voire ancien ou ancienne président(e) du FMI, personne ne semble échapper à la justice française, quelle que soit son étiquette politique.(1)
    C’est beau, c’est grand, c’est impartiale, la justice !
    Oui, mais est-ce utile ? That is the question…
    Car la question, justement, n’est désormais plus de savoir qui sera le prochain mis-en-examen ou si telle formation politique est plus pourrie que telle autre, mais si l’action de la justice, suivie ou non de condamnations, sert à quelque chose.
    Citons deux cas.
    Celui d’Alain Juppé, condamné en 2004, par le tribunal correctionnel de Nanterre  à dix-huit mois de prison avec sursis dans l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris et à une peine de dix ans d'inéligibilité. Le tribunal avait alors notamment jugé qu’« Alain Juppé a, alors qu’il était investi d’un mandat électif public, trompé la confiance du peuple souverain…  »…  Ce qui ne l’a pas empêché d’être élu, puis réélu Maire de Bordeaux et nommé en 2007 ministre d'État, ministre de l'Écologie, du Développement  et de l'aménagement durables,  puis en 2010 ministre d’État, ministre de la Défense et des Anciens Combattants et enfin, toujours restant ministre d’État, ministre des Affaires étrangères et européennes  jusqu’en 2012.
    Le cas, encore plus symbolique, de Gaston Flosse, Premier président du gouvernement de la Polynésie française,  réélu à de nombreuses reprises malgré sa mise en cause dans plusieurs affaires, ses innombrables non-lieux, sa radiation des listes électorales, le bénéfice d’une amnistie dans une affaire de déclaration de patrimoine dans laquelle il était poursuivi pour « faux et usage de faux »,  la privation de son immunité parlementaire, son placement à deux reprises en détention provisoire à la prison de Nuutania… Chaque fois, parvenant à faire annuler ses peines d’inéligibilité, il a conservé son mandat de sénateur. Il est redevenu le 15e président de la Polynésie française  le 17 mai dernier.
    Par ailleurs, on envisage le retour éventuel de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République « malgré son parcours d’obstacles judiciaires », tandis que Bernard Tapie, malgré ses dénégations, envisage, lui, de l’avis de tous, de se présenter à la Mairie de Marseille et que Jérôme Cahuzac n’entend pas quitter la scène publique sans s’être « expliqué devant les électeurs qui lui avaient fait confiance par le passé » : pas tout de suite, certes, mais plus tard, « quand les esprits se seront apaisés…», c’est-à-dire quand bien d’autres scandales politiques auront fait oublier sa petite indélicatesse fiscale, tout autant que son gros mensonge devant l’Assemblée nationale.
    Quant à Dominique Strauss-Kahn, il attend sans doute de revenir, lui aussi, sous les feux de la rampe politique, en faisant don de sa personne à la France, sans cesser pour autant de faire celui de son corps aux dames.
    Croire en la justice de son pays, pourquoi pas ! Mais pourquoi ?
    Philippe Randa www.francephi.com
    Note
    (1) On prendra connaissance avec stupéfaction de la longue liste des députés UMP confrontés à la justice (http://aqni.forumactif.org/t3528-la-liste-des-deputes-ump-confrontes-a-la-justice)… et de celle, toute aussi longue des députés socialistes, communistes et écologistes (http://pierre.parrillo.over-blog.fr/article-liste-des-elus-ps-et-de-gauche-condamnes-98170356.html)… La liste des sénateurs et maires UMPS, Centristes et autres condamnés peut aussi se découvrir sur (http://grosseimposture.over-blog.com/article-les-elus-et-la-justice-la-liste-noire-s-allonge-97122589.html).
    En ce qui concerne les membres ou élus du Front national, il y en aussi, certes, mais si quelques-uns l’ont été pour des délits dignes des autres élus de la République, dans l’écrasante majorité des cas, il s’agit de condamnations politiques, généralement d’« incitation à la discrimination raciale » pour avoir prôné la préférence nationale.

  • C'est le destin de l'Humanité, au sens le plus profond du terme, qui est en jeu

     

    C'est le destin de l'Humanité, au sens le plus profond du terme, qui est en jeu
    Très récemment, un ouvrage intitulé «Le totalitarisme économique » vient d'être publié. On trouvera ici en fin d'article, l'entretien qu'a effectué Philippe Randa avec l'auteur de l'ouvrage, qui est Christophe Poitou. On peut se procurer le livre (1), justement sur le site dirigé par notre ami Philippe Randa.
    Si je puis me tromper, il me semble que la mouvance très progressivement prend connaissance des méfaits de l'économisme. Alain Soral, avec l'impact médiatique qu'il a eu à une époque, a joué son rôle. Il semblerait que depuis déjà pas mal de temps les journalistes le considèrent comme physiquement mort puisqu'il n'est plus invité. Voilà qui me rappelle la candidature Coluche, appréciée du pouvoir giscardien au motif qu'elle prenait à l'origine, beaucoup de voix à gauche. Au final, cela s'est terminé par l'assassinat de son directeur artistique... Il ne faut dans le système actuel pas prendre trop d'ampleur sous peine d'être sanctionné.
    Les lecteurs de Voxnr savent depuis bien longtemps la tutelle qu'exerce l'économie sur le fait politique. A cet égard, je suis un précurseur comme l'indique (2) la liste de mes articles publiés sur le sujet par Voxnr. C'est ainsi que dès le 16 mai 2005, j'effectue déjà une mise en garde dans le cadre d'un article intitulé «Le piège économique se referme.». J'y écrivais dès cette époque:
    «Ainsi comme nous l'avons dénoncé depuis longtemps, l'immigration n'est pas un phénomène strictement politique dont le but serait la déstabilisation de l'occident judéo-chrétien resté fondamentalement sain par des " termites " venues désagréger cette pieuse civilisation, mais bel et bien un phénomène d'ordre économique. Ainsi les vagues d'immigration circonstanciées comme ce fût le cas pour les polonais, les italiens ou les maghrébins étaient elles aussi liées à des facteurs économiques.».
    Mais aussi:
    «A long terme et n'en doutons pas non plus le nivellement se fera à la mode capitaliste c'est à dire par une baisse progressive des salaires. Cela a déjà commencé indirectement par le passage à l'euro avec une augmentation non contestable des prix. Cela se traduira aussi et assez rapidement dans le cas d'un oui au référendum par la suppression du Smic qui est un frein au développement capitaliste. De la même manière une baisse des allocations est à prévoir, notamment pour le logement, afin de désengorger les villes et de mettre les populations indésirables à distance, la bourgeoisie cosmopolite se réservant les lieux culturels et le petit café en terrasse.»
    J'évoquais donc dès le 16 mai 2005, la suppression à venir du Smic. Or, en date du 6 décembre 2012, on apprend via le journal Marianne (3), que The Economist s'interroge sur la pertinence du Smic. Ce ne serait pas par trop grave s'il ne s'agissait que d'un journal, surtout britannique. Mais en France même, un groupe d'experts dont les membres furent nommés par l'arrêté du Premier ministre du 23 mai 2009, ne venait de publier un rapport (4). Voici la composition de ce groupe:
    Président: Paul CHAMPSAUR, Président de l’Autorité de la statistique publique.
    Membres:
    Martine DURAND, Directrice des statistiques, OCDE.
    Gilbert CETTE, Directeur des études microéconomiques et structurelles, Banque de France, professeur associé à l’Université d’Aix-Marseille.
    Francis KRAMARZ, Directeur du Centre de recherche en économie et statistique(CREST), professeur chargé de cours à l’Ecole Polytechnique.
    Etienne WASMER, Professeur à Science-Po, co-directeur du Laboratoire interdisciplinaire d’évaluation des politiques publiques (LIEPP), membre du Conseil d’analyse économique.
    Rapporteurs:
    Sévane ANANIAN, Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES).
    Pierre LEBLANC, Direction générale du Trésor.
    Le lecteur m'accordera bien volontiers qu'au vu des titres détenus par ces personnages, on ne peut douter que ce ne sont pas des révolutionnaires de type bolchevik ou fasciste. Pourtant, la lecture du rapport est éclairante et … révolutionnaire.
    Par exemple:
    « Il n’est pas souhaitable de baser la revalorisation automatique du SMIC sur de nouveaux indicateurs qui seraient issus de la comptabilité nationale, notamment ceux faisant référence à la croissance du PIB. Les révisions à la hausse ou à la baisse de ces indicateurs soulèveraient en effet de grandes difficultés au moment de leur prise en compte dans la fixation du SMIC. Or ces révisions peuvent à la fois intervenir tardivement et être de grande ampleur. Les chiffres du PIB sont en effet susceptibles d’être révisés pendant trois années après la période de référence et ensuite périodiquement à l’occasion des changements de base des comptes nationaux. Des révisions de l’ordre de 1 point sur le taux de croissance annuelle du PIB ont été observées »
    Mais aussi, ils font remarquer:
    « l’homogénéité géographique du Smic, alors que les niveaux de prix différent fortement entre régions »
    Il sera en cas de régionalisation du Smic, beaucoup plus facile de le supprimer région par région progressivement plutôt que de le faire à l'échelle nationale, ce qui engendrerait une réaction, justement nationale.Et de spécifier dans le rapport:
    « Le Smic n’est pas un instrument efficace de lutte contre la pauvreté et les bas revenus ».
    Conclusion logique: pourquoi dès lors le maintenir ? Assurément, chez ces gens là (5), on s'exprime à l'aide de formulations pudiques et tempérées en utilisant de doux euphémismes. Mais pour qui sait lire les nuances, dignes de la période de la préciosité qui elle, avait son charme., le constat est limpide. Le Smic a vocation à disparaître et bien sur, à long terme, le Rsa aussi.
    Toute structuration économique a des conséquences aussi dans les autres domaines. A titre d'exemple, certains se plaignent des lenteurs de certains secteurs administratifs de la fonction publique, oubliant que ceux qui disposent de ce statut «montent» surtout à l'ancienneté. Pourquoi dans de telles conditions se presser ? L'homme est ce qu'il est, et sachant cela et en fonction de cela, il faut construire, à posteriori donc, la Cité. Si tous les hommes d'une société étaient rémunérés de la même façon, à quoi bon assumer des responsabilités au travail puisque c'est prendre des risques, par exemple le fait de se faire morigéner. Autant être préposé à la surveillance de la pendule, sonnant la pause où la fin du travail, le moment venu. L'autre erreur, opposée cette fois, consiste à libéraliser à outrance, nous rapprochant de l'idée de nature; comme la nature humaine n'est pas bonne (on trouve à ce sujet des propos de moralistes déjà chez certains présocratiques, ce jusque notre contemporain Cioran, et ils sont unanimes: l'homme n'est pas bon !) l'échec est prévisible. Pourquoi donc aujourd'hui payer quelqu'un au Smic s'il accepte le même travail rémunéré à hauteur de 500 euros ? Si ce montant semble de prime abord bas au lecteur, je lui demande de s'interroger si le Français aura t-il le choix si Smic et Rsa sont supprimés ?
    Nous sommes en train de reculer au dix neuvième siècle et Marx, assez souvent lucide, remarquait que «la tutelle du bourgeois était autrement plus lourde que celle du noble». D'ailleurs, pour ouvrir une parenthèse, l'image que l'on se fait de l'ancien régime, plus exactement de ce que les Français s'en font, est erronée. Le noir Moyen âge n'est qu'un mythe même si la peste fut: qu'en pouvaient au demeurant les Rois ? Le droit de cuissage, dont nous devons l'invention aux républicains, ne fut pas: existait alors le droit de cuisage dont le terme fut détourné à des fins de propagande. La Renaissance, si célébrée comme lumière après l'obscurantisme supposé du Moyen Age (Lorsque dans leurs écrits, les hommes des Lumières évoquent «les lumières», c'est à la Renaissance qu'ils font référence.) fut la période où les élites intellectuelles se passionnaient aussi pour l'alchimie et l'astrologie: le lecteur jugera donc de la flamboyance de la Renaissance. L'idée que se faisaient nombre des philosophes des Lumières, que le commerce mondial, par exemple, allait supprimer les guerres au motif que les hommes allaient dialoguer plutôt que de se battre, est fausse. C'est Lenine, écrivant «L'impérialisme, stade suprême du capitalisme.», qui fut dans le vrai. Nous pouvons aujourd'hui le constater. Malheureusement pour le genre humain...
    Un de mes amis, s'il aime savoir et culture, déteste l'Université, au motif qu'elle serait complice du pouvoir en place. Mis à part quelques interdits dans des domaines bien spécifiques, la recherche en France est libre, même dans les disciplines non scientifiques. C'est ainsi que la lecture des mémoires de second cycle ou les thèses que chaque Français peut aller consulter, apporte son lot de vérités, avec une mise en cause radicale de nombre d'idées reçues, à commencer par celles que j'ai mentionnées dans le paragraphe précédent. La vérité est déjà en partie écrite. Pour autant, et c'est le grand problème, elle est méconnue du grand public. On sait désormais ce que furent par exemple réellement l'attentat contre les paras français d'octobre 1983 (le drakkar), l'affaire Greenpeace ( «Touché, coulé.») ou le nuage de Tchernobyl (à l'époque, d'après les officiels, le dit nuage est passé sur l'Espagne, mais bizarrement pas sur la France: x-files, un nouvel épisode ?). Simplement les «gens» (une des expressions favorites de Georges Marchais) ne savent pas. Et bien entendu, on se garde bien de leur dire...
    Que le lecteur me pardonne cette digression, j'avais cela sur le cœur et il fallait que cela sorte...
    Nous sommes, pour revenir au sujet, en tant que Français de culture européenne, de troisième voie: nous ne pouvons apprécier les totalitarismes, qu'ils soient soviétique ou capitaliste. Ces formes de pouvoir sont contraires à notre raffinement originel. D'ailleurs, rappelons que les Rois sont partis d'un lambeau de terre sis non loin de Paris, pour repousser les frontières de la France jusqu'aux limites naturelles. Qui ignore la notion bien française de colbertisme ? L'Etat se doit d'être régulateur face à un marché devenu complètement fou. Ni les délocalisations (6), ni la tutelle de la bourse ne sont acceptables pour un Français digne de ce nom. Je crains que la spirale dans laquelle nous sommes entraînés, nous conduise à la plus extrême des barbaries. Quand, à nos lointaines origines, c'est à dire à l'époque où la Loi n'était pas, un groupe d'hommes tombait sur un délice, le partage ne se faisait pas, n'en déplaise aux tenants du communisme originel: les plus costauds se servaient très probablement d'abord. D'ailleurs depuis l'élaboration de cette idée saugrenue, par l'intermédiaire des fouilles archéologiques, on a découvert des charniers bien antérieurs à l'apparition des classes sociales, dont certains nous avaient pourtant affirmé, qu'elles étaient la cause de tous les maux...
    Le libéralisme ambiant va finir par nous faire reculer à l'époque où il n'y avait pas de civilisation. Ce n'est pas une histoire de droite ou de gauche, de France ou d'ailleurs. C'est le destin de l'Humanité, au sens le plus profond du terme, qui est en jeu.
     
    Philippe Delbauvre http://www.voxnr.com
    Notes :
    (1) http://francephi.com/boutique/le-totalitarisme-economique/
    (2) Le piège économique se referme: 16 Mai 2005 http://www.voxnr.com/cc/politique/EEEykVlEFADIWgLmBo.shtml
    L'isf et la solidarité... : 21 Août 2005 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEkuykpEkldSqQZFIa.shtml
    Vers un totalitarisme soft : 30 Septembre 2005
    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EEklpZEFkVtVmbsphw.shtml
    OPA et patriotisme économique : 14 Février 2006 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEFAlAAllluiCvAcXC.shtml
    CPE les nervis du système reprennent du service: 22 Mars 2006 :
    http://www.voxnr.com/cc/politique/EEuFpVlkpZqEMxVUdT.shtml
    Du capitalisme en général et de son mondialisme en particulier : 1 Avril 2006 : http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EEuFAEVuZpvTFxTdZD.shtml
    Un sophisme économique : 13 Septembre 2006 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEVlEZpAykwUOlMKOV.shtml
    La mort annoncée de la Sécurité sociale : 19 Septembre 2006 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEVlyypVlVQxviaChg.shtml
    Airbus ou la défaite emblématique des nationaux-libéraux : 20 Octobre 2006 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEyEFkkVFASsNhjakG.shtml
    Des libéraux : 30 Novembre 2006 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEyuAEAklVZFkUlybe.shtml
    Meilleurs vœux économiques : 6 Janvier 2007 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEylpypAkyNnEiPAQG.shtml
    Au sujet d’Airbus : 22 Mars 2007 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEZuVFuuEkDddJZutq.shtml
    Le don et le vol : 30 Mars 2007 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEZVklVAkZyKIzSlCt.shtml
    Moins d’Etat, plus de profit :19 Avril 2007 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEZyAVEkAphRKffJqp.shtml
    De la TVA sociale : 25 Juin 2007 : http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EElkZyFVpFWMZsZpqD.shtml
    Marxisme et mouvance nationale :28 Juin 2007 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EElFpkZkAuFQSyPQCL.shtml
    Les méfaits ont la même origine : 2 Août 2007 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EElypFFlFVijBGVEzT.shtml
    Un nouveau décalogue : 3 Octobre 2007 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEAEFAZylFqnfYFrIC.shtml
    Des heures en plus :11 Octobre 2007 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEAkpyypFEDAspeHlW.shtml
    Les vices privés font les vertus publiques :6 Novembre 2007 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EEAuFykAkZecvlyQCP.shtml
    Les Français ont-ils bien compris ce qui les attend ? 22 Mai 2008 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EkEEuupuElliIllgEY.shtml
    Vive la crise : 9 Octobre 2008 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EkkFVkuZlkpKQiEUOb.shtml
    La retraite à 70 ans : 23 Novembre 2008 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EkkZuVVlAuPtVmtysa.shtml
    Réflexions sur l'économie :21 Novembre 2009 : http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EkVlZAFZEEWvqDpazw.shtml
    Retour sur une grève déjà oubliée : 3 Décembre 2009 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EkVAlkEZZAXLmPhfQW.shtml
    Changer le système et non le réformer : 6 Mai 2010 : http://www.voxnr.com/cc/politique/EkZFEVkyVARQiZtVPo.shtml
    J'épargne au lecteur la liste des articles consacrés à l'involution totalitaire de notre société. Le dernier en date est celui ci :
    Ce danger qui vient: http://www.voxnr.com/cc/politique/EFyZplFFylVgEQJbpb.shtml
    (3) http://www.marianne.net/Il-faut-baisser-le-SMIC-de-300-euros-_a224940.html
    (4) http://fr.scribd.com/doc/116406308/Smic-le-rapport-du-groupe-des-experts
    (5) Les amateurs de la chanson française ont perçu la référence.
    (6) A ceux qui croient que le capitalisme peut être national: « La patrie d'un cochon se trouve partout où il y a du gland. » Fénelon.
  • Marchés, machines, mafias

    Les oligarques sont hantés par « les marchés ». Que pensent-ils ? Que vont-ils faire ? Les taux d’intérêts, les dettes, les budgets nationaux, tout dépend des « marchés » qui réduiraient à peu de choses les marges de manœuvre des Etats. L’austérité est une contrainte !

    La déflation salariale une nécessité… sauf pour les grands patrons et les banquiers qui touchent des sommes mirobolantes !

    Le discours biaisé sur « les marchés » invoque pour se justifier la théorie économique : les marchés sont efficients, ils sont le thermomètre de l’activité générale, ils adressent les signaux qui permettent les investissements judicieux. Sur « les marchés », les opérateurs sont beaucoup plus pertinents que les régulateurs et la dérégulation maximale est par conséquent la condition de la bienfaisante concurrence. Telle est la vérité que nous devrions accepter, avec enthousiasme ou résignation selon les cas.

    En haut lieu, on est persuadé que « les gens » réagissent simplement aux stimuli des campagnes de communication. Ils ne savent pas que la théorie économique invoquée est comme la lumière d’une étoile morte ? Ils ont oublié que la crise commencée en 2007-2008 a détruit la légende de l’efficience des marchés financiers ? Admettons. Mais il suffit de regarder la télévision pour savoir ce qu’il en est des « marchés ». [...]

    La suite sur le blogue de Bertrand Renouvin

    http://www.actionfrancaise.net

  • 14-18 : vie et mort des Français

    Avec la mort de ses derniers acteurs, la Grande Guerre entre définitivement dans l’Histoire, et devient tout de bon un sujet d’études. Or, tandis que les publications la concernant se multiplient, sa place dans les mémoires et les sensibilités diminue. Et sans doute n’est-ce pas une bonne chose. Voici des livres pour ne pas oublier.
    Affrontement interminable
    Pierre Vallaud consacre son oeuvre aux conflits du XXe siècle. Après plusieurs ouvrages traitant de la Seconde Guerre mondiale ou de l’Indochine, il publie, en deux volumes, un 14-18, la Première Guerre Mondiale, véritable précis qui allie à un récit d’une grande clarté une très abondante iconographie, largement inédite, et de nombreuses cartes.
    Cet ouvrage a beaucoup de qualités ; l’ampleur de la vue d’ensemble proposée, qui ne se cantonne pas, comme souvent, au front de l’Ouest, mais aborde tous les terrains d’opérations, en est l’une des principales. Le front d’Orient, souvent laissé de côté, malgré l’engagement français aux Dardanelles, tient dans ces pages toute sa place, et la vision turque des événements, ignorée, est prise en compte. Le front de l’Est, le rôle des troupes russes, l’effondrement de la Russie tsariste, la Révolution d’octobre et ses conséquences, font l’objet de tous les développements souhaitables, comme, d’ailleurs, l’extension du conflit au Proche-Orient, et le début de la course au contrôle des champs pétrolifères.
    C’est que Pierre Vallaud tient à resituer le premier embrasement du siècle passé dans le contexte d’un affrontement interminable, et à rappeler que rien n’était réglé en 1919, bien au contraire.
    Tous les aspects, toutes les données, pas seulement militaires, du conflit, sont abordés, étudiés, et les prémices, et les aboutissements. Bien. Il faut s’étonner, cependant, que Maurras et l’Action française, sans doute à cause de leur nationalisme, soient classés dans ces pages au nombre des boute-feu qui auraient poussé le pays dans la guerre par esprit de revanche, sans se soucier des conséquences. C’est ignorer l’avertissement terrible du Maître de Martigues, ces « cinq cent mille jeunes Français couchés froids et sanglants sur leur terre mal défendue » qu’il prophétisait, ce qui ne l’incitait certes pas à précipiter la France à l’aveuglette dans un conflit dont il était l’un des rares à prévoir le coût. C’est oublier, même, le prix du sang payé par l’A.F. et les sacrifices que les siens consentirent à la défense de la patrie…
    Plumes illustres
    Le travail des correspondants de guerre et des envoyés spéciaux dans la zone des armées entre 1914 et 1918 fut, en général, sévèrement jugé. Entre la crainte des "ciseaux d’Anastasie" qui incitaient les journaux prévoyants à s’autocensurer et le bourrage de crânes, entre désinformation et discours bravaches rédigés par les planqués de l’arrière, il semblait impossible de rien pouvoir retirer de sérieux ni d’intéressant de l’étude de la presse de l’époque, qu’elle fût française ou étrangère.
    Les historiens reviennent un peu sur cette mauvaise opinion. Outre quelques témoignages de première main, datant pour la plupart du début du conflit, avant que les journalistes se vissent interdire l’accès au front et à ses abords, les articles en tous genres écrits en ces années-là présentent malgré tout quelque intérêt. Littéraire d’abord, car beaucoup furent signés des plus grands écrivains du temps ; historique ensuite, car les non-dit, les outrances, voire les mensonges, sont révélateurs d’une atmosphère, et plus encore des mentalités du moment.
    Voilà pourquoi Alain Quella-Villéger n’a pas perdu son temps, ni celui de ses lecteurs, en se livrant à une quête patiente, à travers les publications françaises et étrangères, de tous les papiers qui pouvaient apporter quelque chose à l’historiographie. 14-18, grands reportages couvre toute la durée de la guerre et rassemble une collection internationale de plumes illustres assez remarquable. L’Américaine Édith Wharton, francophile passionnée, raconte la mobilisation, le quotidien à Paris et son incursion en direction de Verdun avec des accents de ferveur touchants. Le Britannique John Buchan dit l’enfer des Tommies sur la Somme. Albert Londres accompagne quelques Poilus au Mont Athos. Blaise Cendrars réussit à sourire avec tendresse de la petite soeur Philomène et de son chaste émoi devant ce légionnaire blessé, et nu… Myriam Harry, l’arabisante, compatit aux souffrances des spahis et des goumiers blessés. L’Italien Luigi Barzini suit au jour le jour l’agonie de la Belgique envahie. Des textes de Colette, aimablement mondaine, de Pierre Loti, caricatural dans sa haine forcenée et forcée de l’ennemi, d’Arthur Conan Doyle, rejoignent les témoignages et les récits, venus de tous les fronts, de journalistes allemands, russes, turcs, pour la plupart inconnus en France, et peignent, avec des sensibilités différentes, la même fresque tragique de l’héroïsme et de la peine des hommes.
    Au coeur de la détresse
    Tel fut aussi le témoignage de Georges Duhamel dont l’oeuvre romanesque, depuis sa disparition en 1966, n’a guère fait l’objet de rééditions. Médecin mobilisé, en première ligne, Duhamel fut incessamment confronté aux résultats du progrès et de la modernité appliqués à l’art de la guerre. C’est-à-dire à la réalité de blessures abominables telles que la chirurgie militaire n’en avait encore jamais connu. « Il faut ne plus fabriquer d’armes qui infligent des blessures que nous ne savons pas soigner ! » fait-il dire à l’un de ses chirurgiens de fiction, ses porte-parole, impuissants et ravagés. C’est tout le drame, et sans doute la prise de conscience, d’une époque et d’une science trop sûres d’elles que La Première Guerre mondiale arracha à leurs belles illusions. Vie des martyrs, Civilisation, Les sept dernières plaies, réunies en volume Omnibus, complété par quatre ballades et la correspondance de l’auteur, au front, avec son épouse, sont, certes, des oeuvres de fiction.
    Duhamel, par respect du secret professionnel, par pudeur, avait changé les noms des soldats qu’il avait soignés ou accompagnés dans leurs derniers instants ; cette délicatesse lui valut longtemps d’être rejeté du nombre des témoins sérieux, comme si le fond de ses récits, à défaut du détail, n’avait point participé à dire l’indicible, avec le franc-parler et la crudité du médecin qui ne s’encombre pas de raffinements hors de propos.
    Ces instantanés de soldats et d’officiers, saisis au coeur de la détresse et de la souffrance, quand aucun masque poli ne vient plus camoufler la vérité d’un homme ne sont pas uniquement une description sans fard, parfois teintée d’un humour grinçant, de la vie, et surtout de la mort, dans les hôpitaux de campagne pilonnés par l’artillerie, mais une galerie de portraits vrais de gens de tous milieux qui furent, ces années-là, l’âme, le coeur de la France. Et l’on se demande, désolé, comment un peuple pareil a pu, en moins d’un siècle, autant dégénérer …
    L'épreuve de la France rurale
    Yves Pourcher est historien, l’un des meilleurs spécialistes de 14-18, et l’auteur, entre autres, de Jours de guerre (Plon), incontestablement l’un des plus beaux livres écrits sur le quotidien de la tragédie. En fait, trop bien connaître un sujet peut se révéler un handicap lorsque l’on veut passer au roman historique et les échecs sont, en la matière, bien plus nombreux que les réussites. Yves Pourcher, lui, se sort haut la main de la tentative et Le Rêveur d’étoiles, fiction nourrie de son immense connaissance de l’époque et de son terroir de Lozère, est une incontestable et rare performance.
    À travers l’histoire de Jérôme Charbonnel, le fils et l’héritier de la ferme de Coulagnettes, arraché à son foyer et à sa passion pour l’astronomie, qui reviendra une main en moins, mais surtout amputé de ses meilleurs amis, Pourcher communie intimement à la grande épreuve de cette France rurale arrachée à ses traditions, à ses rêves et à ses espoirs pour aller mourir dans la boue des tranchées. Le texte, nourri de documents authentiques, n’ignore ni l’héroïsme des femmes restées seules pour faire tourner les exploitations, ni le désarroi des maires de villages obligés d’annoncer les mauvaises nouvelles, ni l’élan de foi et de patriotisme qui dressa la France et lui permit de tenir.
    Il y a là, outre Jérôme, quelques personnages difficiles à oublier, et surtout celui de Roger, qui écoutait chanter les oiseaux entre les obus. Avec ce beau roman, Pourcher rappelle qu’un historien n’est pas seulement un froid compilateur de paperasses, ni un maniaque de la note de bas de pages, et qu’il a le droit d’aimer, de comprendre, et de compatir.
    Anne BERNET L’Action Française 2000 du 17 au 30 novembre 2005
    * Pierre Vallaud : 14-18, la Première Guerre Mondiale. Éd. Fayard. Deux volumes illustrés de 300 p., 30 euros chaque.
    * Collectif : 14-18, grands reportages. Omnibus-Presses de la Cité. 835 p., 24 euros .
    * Georges Duhamel : Vie des martyrs et autres récits des temps de guerre. Omnibus-Presses de la Cité. 750 p., 25 euros .
    * Yves Pourcher : Le rêveur d’étoiles. Éd. du Cherche-Midi. 190 P, 15 euros.

  • Action des Hommens à Nancy

    1Succès des Hommens lorrains pendant la gay pride samedi dernier sur la place Stanislas à Nancy en début de soirée. Une vingtaine de membres masqués et torses nus ont protesté fièrement et pacifiquement contre la loi Taubira. Des incidents ont surgi juste avant le discours anti-Hollande. Certains membres ont été légèrement blessés suite au lancement de projectiles (bouteilles de verre, chaîne de vélo, ...) et à des affrontements physiques par un groupe anti-fascistes. Mais les Hommens ne lâcheront rien, jamais !

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L’Europe des patries vs l’Europe de Bildelberg

    Nouveau sondage, nouvelle progression des intentions de vote en faveur du Front National. Après l’enquête dont nous rendions compte enregistrant  18% des voix pour les nationaux  lors des élections européennes de juin 2014,  un sondage Ifop pour Valeurs Actuelles publié aujourd’hui donne  cete fois  à la  « liste  FN soutenue par Marine Le Pen »  21% des suffrages, à égalité avec une liste  PS « soutenue par Harlem Désir »  et celle de l’UMP « soutenue par Jean-François Copé ». « Une liste Front de gauche, soutenue par Jean-Luc Mélenchon » obtiendrait 9%, « une liste EELV soutenue par Cécile Duflot » 7,5%, « une liste du Modem soutenue par François Bayrou » 7%, « une liste UDI soutenue par Jean-Louis Borloo » 6,5%, « une liste Debout la République soutenue par Nicolas Dupont-Aignan », 3%, une « liste NPA soutenue par Olivier Besancenot » remporterait 2% des votes.

     Certes,  le PS est plombé par le catastrophique bilan social, économique, sécuritaire du gouvernement  Ayrault, par  son sectarisme idéologique illustré par les attaques  contre la famille, du mariage homo à la baisse   du quotient familial pour les enfants à charge.

     L’UMP est quant à elle déchirée par des guerres intestines,  des orientations antagonistes, et  sort également  affaiblie après dix ans de règne au sommet de l’Etat qui ont vu  la poursuite du déclin français.

     Il n’en reste pas moins qu’il faut remonter à fin 1998 pour trouver un seul et unique  sondage plaçant le  FN à un niveau d ‘intention de vote aussi élevé.

     A l’époque  le  Mouvement  national  était  crédité de 19% des voix , déjà pour  un scrutin  européen, celui de 1999. Mais la scission mégrétiste était passée par là et avait cassé les reins de cette dynamique électorale, le FN parvenant finalement tout juste tout  à passer la barre des 5%.

     Autant dire que le score  enregistré par cette enquête au profit du FN et le plaçant d’ores et déjà au même niveau que le conglomérat euromondialiste UMPS, comporte un risque, celui de tentatives de déstabilisations et d’attaques de toutes sortes. Il faudra être vigilant car si le Système défend mal la France , il  protège formidablement bien et avec férocité  ses intérêts…

     Ceux de la France et des Français résident  incontestablement dans un  changement radical d’orientation de l’Europe. Il faut urgemment mettre en place les conditions de l’avènement de l’Europe des patries, de la collaboration   entre Etats libres et souverains pour laquelle milite  notamment l’Alliance Européenne des Mouvements nationaux (AEMN) présidée par  Bruno Gollnisch.

     Il faut en finir avec l’Europe de la paupérisation et du déclin dans tous les domaines, l’Europe de l’idéologie cosmopolite, du masochisme, de la haine de soi; l’Europe  de l’immigration sauvage et de  l’insécurité; l’Europe des délocalisations, de la crise, du chômage, en un  mot l’Europe de Bruxelles.

     Cette Europe là,  qui comme le rappelait Bruno Gollnisch dans l’hémicycle  européen en février 2012 s’adressant alors à celui qui était   président du Conseil, Mario Monti,  mais aussi au président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, tous deux anciens cadres de Goldman Sachs, est une Europe de la « régression sociale ». MM. Monti et Draghi ayant  été d’ailleurs  comme par hasard « (adoubés) par ces cercles un peu occultes et mondialistes que sont la commission trilatérale, le groupe de Bilderberg. »

     C’est justement demain a rapporté la presse britannique ( The Guardian, the Telegraph…) que débutera jusqu’au 9 juin  la réunion du groupe Bildelberg en Angleterre.  140 représentants de la caste supérieure, ministres, dirigeants de multinationales,  présidents et  directeurs généraux de fonds de pension, représentants de  la politique et de la finance mondiale seront présents , notamment  Valérie Pécresse et François Fillon,  si l’on en croit   la liste des participants disponible sur le site de cette officine…

       Selon des documents mis à jour par  Anonymous,  cette conférence serait financée   par l’Association Bildelberg,  un organisme de bienfaisance  qui  reçoit de  très gros chèques  émanant de British Pétroleum et…de Goldman Sachs.

     Une polémique est née en Angleterre sur l’absence de transparence de cette réunion des « maîtres du monde » et de leurs affidés. Aussi, pour la première fois depuis 1954   un bureau de presse non officiel a été installé sur place…pour amuser la galerie ?

     C’est ce que semble penser   un ancien ministre de l’Environnement de Tony Blair, Michael Meacher, qui estime que cette réunion de Bildelberg  est  « une cabale anti-démocratique de dirigeants occidentaux, réunis en privé pour maintenir leur pouvoir et leur influence en dehors d’un contrôle public. »

     Les Français qui veulent reprendre le contrôle des opérations nous l’avons vu, sont de plus en plus nombreux à savoir pour  qui voter. Cet élan doit se poursuivre et se confirmer, il est d’une nécessité vitale et Bruno Gollnisch jettera de nouveau toutes ses forces dans cette bataille là.

    http://www.gollnisch.com

  • Veaux de Français,

    Vous manifestez, manifestez… et re… re… remanifestez… Et  quoi ?... Plouf ! L’énarque qui se prétend – encore malgré les ¾ de la population qui le désavouent – chef de notre État continue de prospérer avec sa poule sur nos impôts tout en vous  -nous- tenant la dragée haute…  impunément.
    Combien de temps allons-nous encore le tolérer ?
    Les Turcs nous donnent une leçon. Je connais un peu ce peuple, je l’apprécie… Apprenez donc, pour ceux qui n’ont jamais mis les pieds en Turquie, que sa population est pour plus de la moitié laïque et, par Istanbul, européenne.
    Certes, la population de Cappadoce ne l’est guère, elle ; mais à la vérité, elle ne compte pas beaucoup plus dans la politique du pays que nos honnêtes paysans du Cantal… voire de la Corrèze qui ne pèsent guère dans les décisions de leur ex-président de conseil général parachuté pour cause d’ambition personnelle et certainement pas par idéologie et moins encore pour les servir.
    Cappadoce-Corrèze… ! Sauf, sauf que les Turc, eux, ont des « c… », et pas seulement à Istanbul ! Dans tout le pays, y compris vers l’est, proche de la Cappadoce, à Ankara (la capitale, malgré tout), et d’autres villes, même Izmir connue de tous les touristes comme moi, les Turc laïcs font un tel bordel que le gouvernement des « Frères Musulmans » - une autre pointure islamique tout de même que le PS français mondialiste inféodé à l’Europe !  - finit par les entendre. Mieux ! Le chef du gouvernement admet que les forces de police y sont allées un peu fort avec les lacrymos !!!
    Entendez-vous, Valls-le-rose, qui regrettez amèrement dans le secret de votre « moi » de n’être pas  le chef de la police toute puissante d’un parti stalinien ? Pour vous, les lacrymos, ce n’est que le premier degré ; après quoi ?... la gégène ? Et votre Président, votre gouvernement ont l’impudence de critiquer POUTINE ?
    Veaux de Français, les Turcs nous donnent une leçon. Ce n’est pas par des défilés de kermesse – qui font malgré tout sortir de leurs antres 5000 sbires patentés -, que seront éjectés des ors de la République les indignes qui en jouissent en riant de nous dans leurs cocktails pince-fesses !
    1624… 1789… 1830… 1848… Méditez ces millésimes !
    Note
    Veaux : C’est par ce substantif élégant que nous désignait Charles Ier, président de la République Française – de la V° inventée par lui et pour lui –, par dépit de n’avoir pu être Connétable de France.

    Alain de Montere  http://www.francepresseinfos.com/

  • Aux racines du lobby LGBT

    Christien Vanneste dénonce le lobby gay dans Minute :

    M"Le lobby gay est un mouvement qui trouve ses racines aux Etats-Unis dans la pensée de Harry Hay, un intellectuel marxiste et homosexuel. Dès la fin des années 1940, Harry Hay a théorisé le mode de dé veloppement de ce groupe de pression, en identifiant le groupe homosexuel comme étant un groupe dominé et en en faisant une sorte de prolétariat. Selon sa théorie, le groupe homosexuel devait s’engager dans un processus de libération par rapport à l’idéologie excluante de l’ensemble de la société. La différence avec le marxisme, et l’une des aberrations de son raisonnement, est que le prolétariat avait vocation à devenir majoritaire et à constituer la totalité du peuple alors que toute revendication des homosexuels constitués en groupe de pression ne peut être qu’ultra mi noritaire! Sauf à basculer dans une autre dimension, totalement irréelle, et c’est ce qui se passe avec la « théorie du gender », qui, comme le marxisme, est une théorie culturaliste, qui nie l’importance de la nature. On en arrive à dire que l’orientation sexuelle est plus importante que le sexe, ce qui est complètement absurde car il y a bien évidemment, physiquement, une différence entre les sexes. C’est encore Harry Hay qui, dans les années 1970, a apporté sa caution intellectuelle au mouvement LGBT dont je n’ai jamais compris qu’on ne dénonce pas certaines de ses propositions dans un grand éclat de rire."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/