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  • Unité SGP Police FO amalgame LMPT et les émeutiers de Trappes

    On croit rêver :

    "Faisant le lien entre les violences de la nuit à Trappes et les opposants au mariage homosexuel, la police "ne doit pas être le bouc-émissaire d'extrémistes religieux", a estimé samedi 20 juillet le principal syndicat des gardiens de la paix. "La police nationale doit appliquer la loi en tout temps et en tous lieux", a ainsi expliqué dans un communiqué Henri Martini, secrétaire général d'Unité SGP Police FO, en qualifiant d'"intolérable et inquiétant" les affrontements de la veille à Trappes (Yvelines).

    Environ 250 manifestants ont jeté des pierres vendredi soir contre le commissariat de cette banlieue populaire, pour protester contre la garde à vue d'un homme interpellé lors du contrôle de son épouse intégralement voilée. "Contestation de la loi sur le voile, contestation de la loi sur le mariage pour tous. Autant d'actions plus ou moins violentes auxquelles nos collègues doivent faire face depuis plusieurs mois, avec à chaque fois des volontés de s'opposer à la loi au nom de convictions religieuses", regrette le syndicat.

    "Notre organisation syndicale ne peut tolérer que les policiers soient les boucs-émissaires et les victimes d'activistes religieux de tous bords", ajoute-t-il. Les manifestations contre la loi ouvrant le mariage aux personnes de même sexe avaient été émaillées de violences et avaient conduit à des dizaines d'interpellations.

    De son côté, le syndicat Synergie-Officiers a également rappelé que "la Loi de la République s'appliquait partout, pour tous et en tous temps" et dénoncé "la stigmatisation des policiers et les procès d'intention à leur encontre orchestrés par des fondamentalistes".

    Avec un communiqué de ce genre, il n'y a pas besoin de procès d'intention : la répression à l'égard des défenseurs de la famille a abaissé les forces de l'ordre au rang de police politique.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Crédit à la consommation : Les ménages qui s’endettent sont de moins en moins européens

    Entre 2009 et 2012, le montant global des crédits à la consommation a crû de 15% dans le monde. Mais c’est surtout dans les banques des pays émergents que la demande progresse.

    Le marché mondial du crédit à la consommation ne connaît pas la crise. Le volume des encours mondiaux est passé de 5.523 milliards d’euros en 2009 à 6.383 milliards fin 2012, soit une progression de 15% en trois ans, selon l’étude annuelle du Crédit Agricole Consumer Finance.

    Les encours de crédits à la consommation dans l’Europe des 27 accusent une baisse de plus de 100 milliards d’euros sur 4 ans

    Dans le détail, la situation entre les pays est assez disparate. L’essentiel de la croissance du marché est porté par les pays émergents. Ainsi la Russie, l’Argentine, la Thaïlande et l’Azerbaïdjan ont rencontré des progressions supérieures à 30% des encours durant l’année 2012. La Chine et l’Inde voient le nombre d’adeptes du crédit à la consommation fortement augmenter avec le développement d’une classe moyenne avide de pouvoir consommer “à l’occidentale”.

    Dans le même temps, les pays développés ont connu pour leur majorité une stagnation voire une baisse du volume des crédits contractés par les ménages. Parmi les pays “riches”, seuls les États-Unis et le Canada connaissent des progressions significatives, respectivement +5,8% et +2,8%.

    Répartition des encours de crédit à la consommation fin 2012

    Malgré cette poussée des pays émergents, les États-Unis conservent leur position de 1er pays consommateur de crédit à la consommation (2.162 milliards), loin devant le Japon (714 milliards) et la Chine (433 milliards).

    Une baisse quasi-généralisée en Europe

    En ce qui concerne la France, les ménages ont contracté fin 2012 environ 149 milliards de crédit à la consommation. Un montant qui permet à la France d’arriver à la troisième place du classement européen des pays les plus friands de crédit à la consommation, juste derrière le Royaume-Uni et l’Allemagne. Un résultat qui s’explique par l’importance de ces trois marchés intérieurs dans l’Union Européenne. A l’échelle mondiale, la France est le 9ème pays le plus adepte du crédit à la consommation.

    Mais la France pourrait rapidement se faire dépasser dans ce classement par les pays émergents. En effet, les encours français ont diminué de 0,3% entre 2012 et 2011. Sur 4 ans, la baisse atteint même 5% dans l’Hexagone. Une tendance que l’on retrouve dans 21 pays d’Europe. La faute à la période d’incertitude dans laquelle sont plongés de plus en plus de foyers européens. Pour le seul mois de juin, le crédit à la consommation a reculé de 7% en France par rapport à juin 2012 selon l’Association française des sociétés financières.

    “On le voit le moral des ménages en Europe est au plus bas avec la montée du chômage et la précarisation de l’emploi. Or, on ne contracte pas un crédit lorsque l’on ne sait pas de quoi sera fait l’avenir”, explique l’auteur de l’étude. Mais également plus directement à cause de la crise économique et de la baisse du pouvoir d’achat : “Les courbes de consommation et du crédit à la consommation se suivent. Comme il n’y a pas de consommation, les foyers ne contractent pas de crédit”.

    910 euros de crédit à la consommation en moyenne

    Au niveau des sommes empruntées par les ménages, les montants varient dans un rapport de 1 à 55. Les foyers nord-américains contractent un crédit de 5.620 euros en moyenne contre 96 euros en Afrique. La moyenne mondiale s’établissant à 910 euros fin 2012.

    En Europe, le montant moyen demandé aux établissements de crédits atteint 2.094 euros. Mais là encore les différences sont importantes. Les Lituaniens ont un crédit à la consommation de 186 euros en moyenne contre 3.984 euros chez les Britanniques. Les Français se situent légèrement au-dessus de la moyenne, à 2.267 euros.

    Challenges.fr  http://fortune.fdesouche.com/

  • Lutte des classes

    Il suffit de partir du 12e arrondissement pour se rendre dans le 7e avant de rejoindre le 18e pour constater les conséquences des inégalités sociales sur la beauté féminine. Il y a bien évidemment le facteur platement pragmatique de l'attirance féminine pour les ors et dorures et le goût des hommes riches pour les jolis objets, mais ceci ne joue finalement qu'un rôle d'appoint et est bien trop banal pour qu'on y revienne . Plus profonde est la façon dont la modestie sociale et la plus ou moins grande précarité économique abîment l'esthétique et le charme féminins. Mauvaise nourriture, maquillage bas de gamme, vêtement grossiers, métiers éprouvants, manque de soins dentaires... dans les HLM et les deux-pièces cuisine, les années comptent triple ou quadruple...

    Et quand vient l'été, alors que les coquettes des rues bourgeoises affichent la rayonnante fraîcheur de leurs élégantes et suggestives tenues estivales, les filles à Bts et Cap se transforment en cagoles directement sorties des Marseillais à Cancun, toutes débordantes de leurs mini shorts fushia et exhibant des ongles de pieds peinturlurés agrippés à leurs tongs à paillettes.

    Les nouvelles Fantines ne vendent plus leurs cheveux, elles les brûlent avec des colorations bon marché, elles ne négocient plus leurs dents mais les gâtent à coups de soda, d'alcool et de tabac (toutes choses vendues comme « libératrices », bien entendu). A défaut de bijoux et de parures, elles se couvrent le corps de tatouages qui affichent leur condition plus sûrement qu'un CV ou un prénom tiré d'une série américaine. Ce sont doublement des victimes, puisque, au lieu de se défendre et se consolider dans la simplicité, la pudeur et le naturel qui firent longtemps la dignité et la beauté des pauvres, elles se soumettent servilement, et même avec enthousiasme, à une propagande cosmético-vestimentaro-publicitaire qu'elles n'ont pas les moyens de suivre et dont elles ne peuvent incarner qu'une version caricaturale et grotesque les transformant peu à peu en mauvaises et piteuses copies des coruscants et clinquants épouvantails qu'on leur agite cyniquement sous le nez à longueurs de pages et d'écrans. Non contente de les maintenir dans la siccité économique, l'hyper-classe sa plaît à les humilier... On imagine sans difficulté la réunion des connards cokés en costumes Smalto ricanant à l'idée de la prochaine ridiculité qu'il vont parvenir à faire acheter en masse aux péquenaudes des bas quartiers... Ils ont déjà réussi à leur faire se mettre des os dans le nez, la porte de tous les possibles est donc largement ouverte.

    On ne croise finalement pas moins de jolies filles dans les quartiers populaires mais ce sont des types de beauté dégradées, altérées, éreintées par une existence « low-cost », par les milles petites blessures et salissures qui constituent les journées des gens qui n'ont pas les moyens de ne s'occuper que d'eux-mêmes et pas le courage, ou les armes, pour rompre avec les modèles imposés par ceux qui l'ont.

    Source: A moy que chault

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Trotskisme et pédophilie, quand les amis d’Olivier Besancenot aimaient les jeunes enfants…

    En 1978, parut à Paris, une brochure au titre explicite : Homosexualité et pédophilie. Publiée dans la collection Débats et documents des éditions La Commune, elle était l’œuvre de militants des Comités communistes pour l’autogestion, une organisation trotskiste issue de la fusion, en 1977, de groupes scissionnistes de la Ligue communiste révolutionnaire (l’ancêtre du NPA d’Olivier Besancenot) et du Parti socialiste unifié.
    S’agissait-il d’une dénonciation de ces perversions au nom de la pureté marxiste ? Pas le moins du monde. À cette époque, via la tendance Politique et quotidien au sein des Groupes de libération homosexuels, les trotskards draguaient les activistes gays. S’agissait-il alors d’une distanciation ? D’un texte visant à montrer qu’il ne fallait pas confondre l’un et l’autre, et que si une de ces pratiques était acceptable l’autre ne l’était pas ? Que nenni ! L’opuscule tout au contraire affirmait que l’homosexualité et la pédophilie étaient liées et que l’intérêt du texte - destiné à « éduquer les militants et sympathisants des CCA, afin de faire disparaître dans nos rangs les préjugés » - était qu’il constituait la première « réflexion théorique et politique sur la pédophilie élaborée par des pédophiles ».
    Le chapitre central de la brochure était constitué par un travail de synthèse rédigé par le Front d’action et de recherche pour une enfance différente qui dressait un bilan de « la réalité et de l’actualité des pratiques pédophiles. » On y apprenait que la situation faîte aux pédophiles dans les sociétés évoluées d’Occident s’apparentait… à l’esclavage et que « les amoureux des enfants [étaient] victimes d’un génocide, c’est-à-dire d’une destruction en masse. » La pédophilie y était considérée comme révolutionnaire car « la pratique amoureuse avec les enfants, défi permanent à l’autorité de la famille, est réellement déstabilisante » en constituant une « transgression des rapports sociaux dominants », et l’on assurait les pédophiles que leur seule solution était la révolution car « l’option révolutionnaire est un outil précieux » permettant qu’ils comprennent « leur aliénation par les mécanisme sociaux », et car « la pensée matérialiste est la seule à même d’offrir à l’amoureux des enfants les moyens de sa propre démystification ».
    On pourrait estimer que cette brochure ne porte pas à conséquence et qu’elle n’est qu’un texte délirant d’un groupuscule marginal. Mais ce serait bien mal connaître la mouvance trotskiste. Aucun texte n’y est publié s’il ne représente la position officielle de l’organisation qui l’édite et les CCA furent une structure qui eut une vie courte mais par laquelle transitèrent nombre de cadres importants du trotskismes que l’on retrouva par la suite à Libération, comme Maurice Najman, au Parti socialiste comme Gilles Casanova, à la LCR comme Robi Morber; Patrick Worms, Christophe Ramaux ou Didier Leschi. Il se peut d’ailleurs que ce soit à l’influence de ces dernier que l’on doive, en février 1981 ; la publication dans le n°114 de L'Etincelle, le bulletin intérieur de la Ligue communiste révolutionnaire, d’une motion dénonçant la répression des « désirs réciproques » des adultes et des enfants et prônant un « accord aussi bien dans le mouvement homosexuel que dans le mouvement révolutionnaire sur la suppression de toute loi réprimant une relation adulte-enfant réciproquement consentie et donc sur la suppression de la notion de majorité sexuelle. »
    A ce qu’on sait, le parti du facteur de Neuilly, issu en droite ligne de la Ligue communiste révolutionnaire, n’est jamais revenu sur cette motion ni n’a critiqué l’engagement de certains de ses anciens dans les très pro-pédophiles Comités communistes pour l’autogestion. Il a préféré oublier…
    Il est vrai que faire autrement aurait nécessité trop de reniements tant le trotskisme est étroitement lié à la promotion en France, à partir des années 1960, de toutes les perversions et inversions. L’individu qui joua alors un rôle central dans cette opération de pourrissement était un bisexuel avoué du nom Boris Fraenkel. Ayant participé à la fondation de l'Organisation communiste internationale, il rejoignit par le suite la LCR. En 1995, il connut une brève notoriété en révélant qu’il avait été « l’officier traitant » de Lionel Jospin dans la période où celui-ci était un trotskiste infiltré dans l’appareil du Parti socialiste. Dans les années 1960, Boris Fraenkel fut, en France, dans le cadre des Centres d'éducation pédagogiques, l'un des premiers militants pour l'homosexualité et la liberté sexuelle. Collaborateur de l'éditeur François Maspero, que l’on retrouvera lui aussi par la suite à la LCR, il animera la revue Partisans et traduira en français les oeuvres de Wilhelm Reich dont, en 1966, La Lutte sexuelle des jeunes. En 1967, il sera l’organisateur, à l'Université de Nanterre, d'une conférence intitulée « Jeunesse et sexualité » qui eut un fort retentissement et que l’on considère habituellement comme constituant les prémices de la révolution de Mai 1968…
    Son compère en édition, François Maspéro, ne s’arrêta pas en si bon chemin et fut aussi l’éditeur des livres d’un certain Daniel Guérin, qui avait été, à la fin des années 1930, très proche de Léon Trotski avec lequel il eut une longue et fameuse correspondance. Passé du trotskisme au communisme libertaire notre homme eut la plume féconde. Il doubla ses livres Homosexualité et révolution et Essai sur la révolution sexuelle, de multiples articles parmi lesquelles nous retiendrons, dans les colonnes du n°39 de L'Etincelle, « Le mouvement ouvrier et l'homosexualité » et surtout dans le n°4 de Marge (novembre 1974) « Pour le droit d'aimer un mineur ». Ce même Daniel Guérin fut, en 1971, un des fondateurs du Front homosexuel d’action révolutionnaire. Un des principaux faits d’armes de ce groupuscule fut la publication, en mars 1973, d’un épais numéro spécial de la revue Recherches titré « Trois milliards de pervers ? » L’ouvrage est si scandaleux que sa réédition en version numérique, effectuée en 2003, est précédée de cette mise en garde : « Vous entrez dans un espace de publication aux limites, dont la lecture est fortement déconseillée aux mineurs et aux personnes sensibles. Nous prions les adultes de tenir les enfants et adolescents à l'écart de ces pages. » et expurgée de son chapitre IV, consacré… à la pédophilie dont l’auteur principal était un certain Guy Hocquenghem. Lui aussi avait été, un temps, militant trotskiste au Jeunesses communistes révolutionnaires… Il décéda du Sida en 1988. Une maladie qui vient d’emporter, le 12 janvier dernier, Daniel Bensaïd, un autre ancien membre des Jeunesses communistes révolutionnaires et de la Ligue communiste révolutionnaire qui était devenu un théoricien de premier plan du mouvement trotskiste mondial, le stratège principal du Nouveau parti anticapitaliste et le mentor de Daniel Krivine et d’Olivier Besancenot.

    Lionel Placet http://www.voxnr.com

  • Valls a de l’affection pour l’islam, malgré les émeutes de Trappes

    Le 18 juillet dernier, Valls rompt le jeûne à la mosquée de Lyon

    La période du ramadan pour la plupart des hommes politiques français est un grand moment d’islamophilie. C’est à qui manifestera le plus, par les mots et par les actes, son amour pour cette religion, en ne perdant, naturellement, jamais de vue que les musulmans français sont aussi des électeurs et que les municipales se dérouleront dans quelques mois.

     

    Manuel Carlos Valls, né le 13 août 1962 à Barcelone (Espagne), naturalisé Français en 1982. Donc, Français depuis seulement 31 ans, ce « petit monsieur » a la prétention de transformer la France, son Histoire,   sa culture, ses Traditions. Au temps d’une juridiction plus saine, cela lui aurait valu la déchéance de nationalité et le bannissement. Et il ne serait pas le seul : aujourd’hui, accompagné de ses acolytes, cela ferait un peu de monde sur les routes. Une vraie transhumance !...

     

    La gauche pourrait être un peu moins dévote de l’islam puisque 90% des musulmans ont voté Hollande ; elle ne devrait donc point être trop inquiète.
    Le PS se borne à redouter, dans les banlieues, des listes communautaristes musulmanes qui, au premier tour, le priveraient de quelques voix.

     

    Manuel Valls, ministre de l’Intérieur et des cultes est le plus islamophile. Il va, vis-à-vis de cette communauté, bien au-delà de ce que réclament les devoirs de sa charge.

     

    Mercredi dernier, à la Mosquée de Lyon, il a voulu « adresser des regards d’affection aux musulmans de notre pays ». Il n’a évidemment pas à témoigner de l’affection pour une communauté religieuse ! Ou alors qu’il la manifeste pour tous. Mais jamais nous n’avons entendu ce « frère » dire son affection pour les Catholiques ; il a eu aussi des paroles louangeuses pour les Protestants, mais rien, non jamais rien pour les Catholiques. Il est vrai que c’est contre nature pour un franc-maçon d’aimer l’Église catholique.

     

     
    Un peu plus tôt, le recteur de la Mosquée de Paris avait été reçu par le président de la République, toujours pour célébrer l’ouverture du ramadan. Jamais, le chef de l’État n’a invité en son palais le président de la Conférence épiscopale au début du Carême. Le chef de l’État en a profité pour stigmatiser, une nouvelle fois, une islamophobie qui serait galopante.
    La vérité est qu’il y a plus d’églises et de cimetières chrétiens profanés que de mosquées ou de carrés musulmans, mais des premiers on ne parle jamais ! De même, la religion la plus persécutée dans le monde, aujourd’hui, comme elle l’était hier, c’est le catholicisme et plus particulièrement dans les pays musulmans.

     

     

    Mercredi soir, Manuel Valls a néanmoins renchéri en assurant « Le ramadan, comme les autres grandes fêtes religieuses, fait partie de notre calendrier commun. » Cela annonce-t-il que, comme nos fêtes catholiques (établies depuis des siècles, elles !) celles de l’islam seront fériées et chômées ? Car si elles font partie de « notre calendrier », ce serait logique, n’est-ce pas ? Ce que ne vont pas manquer de réclamer une nouvelle fois les dévots de Mahomet. Et d’ajouter : « C'est ma responsabilité de veiller à ce que les musulmans de France puissent vivre dans la sérénité ce grand moment de l'année. Islam et République peuvent et doivent avancer ensemble » ; d’ailleurs «s’attaquer à un musulman, c’est s’attaquer à la République.»

     

     

    Et les musulmans qui attaquent la République en la personne de ceux qui sont là pour faire respecter ses lois ? Qu’en dit Manuel Valls ?

     

     

    La nuit de vendredi à samedi dernier a été marquée par des manifestations violentes à Trappes dans les Yvelines. Entre 200 et 400 musulmans se sont rassemblées devant le commissariat. Ils « exigeaient » la libération d’un de leurs « frères » qui s’était opposé au contrôle d’identité de sa femme entièrement voilée ; l’homme avait tenté d’étrangler un des policiers. Pendant la nuit, les manifestants ont mis le feu à des poubelles et ont détruit des abribus.

     

     

    Sofiane, interviewé sur Itélé : « On ne peut pas accepter qu’un frère soit en garde-à-vue pour rien, surtout le mois du ramadan. C’est un petit avertissement. » En attendant un plus grand ?

     

     

    Ce qu’ils veulent, c’est que la loi islamique remplace celle de la République. Réaction de Manuel Valls qui s’est rendu sur place : « Il faut trouver des emplois pour ces jeunes désoeuvrés.»

     

     

    À l’évidence l’émeute n’a pas ôté chez lui un seul gramme d’affection pour l’islam…

     

     

    Le Bulletin d'André Noël http://www.francepresseinfos.com/
  • Pourquoi une ville française ne peut pas être déclarée en faillite ?

    La ville de Detroit est en faillite. La municipalité a demandé à se placer sous la protection du chapitre 9 du «Banruptcy code», une mesure qui lui éviterait de rembourser son énorme dette, qui l’asphyxie, de 18,5 milliards de dollars. Dans trois mois, un tribunal décidera si la ville, berceau de l’industrie automobile américaine, y est éligible. Si c’est le cas, sa dette sera restructurée, négociée avec les créanciers, et au final étalée dans le temps et le montant probablement abaissé.

    Pour autant, cette décision n’est pas sans conséquence. Par exemple, les salaires des employés municipaux seront probablement baissés, tout comme le niveau des retraites des anciens employés. Les investissements seront au point mort, les services publics réduits à leur plus simple expression, etc. Comment la ville en est-elle arrivée là? «Pour Detroit, c’est la double peine: la ville a subi de plein fouet la désindustrialisation et la crise du secteur automobile et du coup, en soixante ans, elle a perdu la moitié de sa population (passant de 1,8 million d’habitants en 1950 à 700.000 aujourd’hui), diminuant les impôts et autres taxes perçues par la municipalité», explique le professeur à Sciences-Po, Thomas Snégaroff. Et c’est bien connu, la dette, «c’est exponentiel: on emprunte encore plus pour rembourser, et à des taux plus importants vu que sa note est dégradée», ajoute-t-il.

    «Il n’y a pas de droit des faillites en France»

    Une telle situation est-elle possible en France? «Non», tranche Olivier Langer, délégué général de l’Association des communautés urbaines de France. «Non seulement il n’y a pas de droit des faillites pour les collectivités locales en France, mais arriver à un tel niveau de dette est impossible en France en raison de tous les pare-feu en amont», explique-t-il.

    En effet, les mairies doivent voter chaque année un budget obligatoirement en équilibre, c’est-à-dire que le total des dépenses doit couvrir le total des recettes. «Il ne peut donc y avoir de cessation de paiement» comme à la municipalité de Detroit, fait valoir André Laignel, maire d’Issoudun et vice-président du comité des finances locales.

     

    Quant aux emprunts, ils ne peuvent concerner que l’investissement et non des dépenses de fonctionnement. Et ils sont limités selon les capacités de la commune. En moyenne, les villes empruntent pour 25% de leurs investissements. Ces règles expliquent que «les collectivités locales ont une santé financière solide», explique Olivier Langer. «Avec tous ces filtres, nous avons un des systèmes les plus vertueux», confirme André Laignel.

    Pourtant, des communes se sont toutefois retrouvées en difficulté lorsqu’elles ont contracté des emprunts toxiques, en voyant leurs intérêts augmenter de manière exponentielle. Par exemple, la ville d’Argenteuil s’est retrouvée en 2011 avec une dette de 200 millions d’euros pour un budget de 50 millions d’euros annuel. «Mais le problème n’est pas le stock de la dette. C’est le budget annuel qui est consacré à cette dette, l’annuité de la dette», insiste Olivier Langel.

    Comme le budget est en équilibre forcément, si les intérêts augmentent, la ville devra rogner sur d’autres dépenses, mais elle ne sera pas en faillite. «On peut être très endetté mais tout ce qui compte, c’est la capacité à rembourser», ajoute Olivier Laignel. Et pour les communes qui ont des emprunts toxiques, 200 à 300 sur 36.000 communes selon André Laignel, un fonds spécifique a été créé, abondé par l’Etat et les banques.

    Mise sous tutelle de la préfecture

    Et il est impossible que la ville ne vote pas son budget en équilibre, car dans ce cas-là, c’est «le préfet, donc l’Etat, qui prend la main», rappelle le délégué général de l’Association des communautés urbaines de France. En fait, chaque année, «il y a un contrôle préfectoral des budgets et des comptes administratifs de chaque commune, au centime prêt. Et si une collectivité s’endette de manière accélérée, une procédure d’alerte est lancée», explique André Laignel. Et si vraiment les comptes de la commune dérapent, la chambre régionale des comptes impose la mise sous tutelle par le préfet.

    C’est à ce moment que les mesures radicales peuvent être prises pour obtenir ce budget en équilibre: hausse des impôts locaux de 15 à 20%, arrêt de certains travaux ou investissements, renégociation de la dette. C’est souvent douloureux pour les habitants.

    20 minutes   http://fortune.fdesouche.com

  • Bordeaux : Plusieurs responsables du DAL placés en garde à vue

    BORDEAUX (Infos-Bordeaux) – Ce sont nos confrères de Sud-Ouest qui ont donné l’information. Suite à l’occupation organisée par le DAL du domicile d’une personne âgée par des immigrés Rom en situation irrégulière, quatre militants de l’association Droit au Logement, âgés de 39 à 55 ans, membres du bureau du DAL33 et donc responsables légaux, ont été interpellés jeudi matin. Ils ont été placés en garde à vue dans les locaux de l’unité de police administrative de la sûreté départementale.

     

    Les enquêteurs cherchent à faire la lumière sur les circonstances de cette occupation illégale. En clair, ils veulent savoir qui a dégradé et changé la serrure. Les policiers ont également perquisitionné les domiciles des gardés à vue et le local du DAL33 de la rue de la Course à Bordeaux.

    Ordinateurs, téléphones et documents ont été saisis et seront analysés. Les enquêteurs y trouveront peut-être des renseignements précieux sur les méthodes de travail du DAL et la façon dont les militants cherchent et repèrent des logements vacants pour les redistribuer aux familles dans le besoin.

    Dans un communiqué de presse, le syndicat d’extrême gauche SUD, qui héberge dans ses locaux de la rue de la Course le DAL, dénonce “cette politique répressive systématique envers ceux qui luttent pour une justice sociale et dénonce le maintien et l’accroissement de la politique de criminalisation de l’action syndicale et d’inculpation des militants”.

    http://fr.novopress.info

  • On a aboli l’esclavage, et bientôt, on abolira le mariage gay

    Fabien, porte-parole officiel des Hommen, déclare :

    "Le groupe s’est monté après le 24 mars, quand on a entendu Manuel Valls parler de casseurs et de débordements". "On a compris que malgré 1,4 million de personnes dans la rue, on n’aurait aucune réponse à part celle de la violence, que François Hollande n’en avait rien à faire de la démocratie". 

    Les Hommen revendiquent leur "totale indépendance". Une équipe de coordination s'occupe d'éplucher les profils internet des volontaires afin d'empêcher toute participation de personnes "marquées par un mouvement politique de gauche ou de droite, par La Manif pour tous, le Printemps français et autres veilleurs".

    "Nous nous battrons jusqu’à ce que la loi Taubira ne soit plus qu’un mauvais souvenir pour la France".

    "Ce n'est pas extrémiste mais réaliste". "Quand un gouvernement n’écoute pas son peuple, on glisse vers le totalitarisme, c’est comme ça qu’ont commencé l’URSS et l’Allemagne d’Hitler, dont je rappelle qu’elle était nationale socialiste". "On a aboli l’esclavage, on a aboli la peine de mort, et bientôt, on abolira le mariage gay, c’est ça la marche de l'histoire."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/