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Tuerie à Washington : la « résistance » passe à l’acte
Trump fait, depuis novembre, l’objet d’une campagne de déshumanisation. Le passage à l’acte était à attendre : celui d’un « échappement » intrinsèquement raciste. Car Trump n’est pas un homme, et ne peut en revendiquer la dignité. Il est la monstruosité réincarnée, le mal absolu. On l’attaque depuis dix mois en son essence, en sa nature, pour ce qu’il est et ce qu’il représente, et non ce qu’il fait, ou ce qu’il veut. Et, par extension, mort à ceux qui le soutiennent ! C’est la voie choisie par le militant pro-Sanders James T. Hodgkinson, incarnation et prodrome d’une ère nouvelle. Celle du génocide politiquement correct…
Cette campagne de déshumanisation – rampante – avait été jusqu’ici ignorée, du fait de la divertissante médiatisation du coup d’État en douceur inauguré par la classe politico-bureaucratique : un changement de régime sur leur propre sol. Et là, les choses se mettent en place. Personne ne croit, bien sûr, que Trump est un agent « soviétique », ou que la main de Vladimir était dans les urnes, mais on fait semblant, espérant que le harcèlement poussera l’histrion à la faute et terrorisera suffisamment d’élus républicains pour qu’ils se dissocient et lui ôtent les moyens de faire passer son programme législatif.
Alors Trump démissionnera, et l’imperium reprendra son avance en Eurasie. À moins qu’il ne soit sage et fasse ce que lui disent les néocons…
Depuis 1968, les États-Unis n’avaient pas connu autant de manifestations aussi haineuses et violentes. À force de côtoyer les fondations « philanthropiques » et de fournir du carburant aux forces militantes des communautarismes ethno-sexuels, le Parti démocrate a perdu son âme, devenant subrepticement le parti de la haine, les républicains, certes, demeurant celui de la veulerie matérialiste.
Autres mauvaises fréquentations alimentant cette « résistance » du marécage : les morts-vivants du virtuel. Trois exemples récents, symptomatiques d’une attitude largement répandue : la mise en scène, à Broadway, d’un Jules César shakespearien où Trump est assassiné sous les applaudissements du public. La pose photos d’une actrice en déclin (Kathy Griffin) brandissant par les cheveux, « à la Daech », une tête de Trump ensanglantée. Et, enfin, un article du Huffington Post invoquant, ce week-end, la nécessaire exécution de Trump… pour trahison. L’article a été retiré à l’annonce de la fusillade de Washington…
James T. Hodgkinson avait un compte Facebook intéressant, haineux pour Trump et les républicains, ne reflétant que trop l’actuelle hystérie américaine, celle d’un corps en quête de raison d’être, perdu de constater que ses parasites en sont à s’incorporer ailleurs – mondialisme oblige. Victime du système, Hodgkinson aurait aussi bien pu devenir trumpien.
Il va de soi que le pays a entamé sa phase petites bougies. Madame Pelosi, leader démocrate de la Chambre (elle avait lancé, avec Soros, la « résistance » dès le 13 novembre dernier), a affirmé, remarquée, devant le Congrès réuni qu’elle « prie pour Donald Trump et le succès de sa présidence, autant que pour sa sécurité et celle de sa famille ».
En attendant, félicitations aux deux policiers qui, blessés, ont su prévenir le carnage… cette fois-ci.
http://www.bvoltaire.fr/tuerie-a-washington-resistance-passe-a-lacte/
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Google échappera t il au fisc français ?
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Sommée en février 2016 par Bercy de payer 1,6 milliard d’euros d’arriérés d’impôts, la firme américaine Google pourrait bien ne rien avoir à payer du tout, après avoir vu sa facture réduite une première fois à 1,115 milliard. Dans un avis consultatif, le rapporteur public du tribunal administratif de Paris s’est rangé du côté du géant américain et a conclu hier que Google ne devait subir aucun redressement fiscal en France. Pour ce magistrat, Google France ne disposait pas d’un « établissement stable » dans le pays.
Sur quelle notion juridique se fonde le magistrat ? C’est la notion juridique « établissement stable » qui pose problème, car comme l’a tout de même souligné le magistrat, « la présente affaire révèle les carences de la base juridique actuelle ». Pour le rapporteur, le géant américain exerce ses activités de vente de publicité sur le marché français via sa filiale irlandaise Google Ireland Limited (GIL) et estime ne pas devoir déclarer ses bénéfices en France, une pratique d’optimisation fiscale maintes fois dénoncée.
Qu’en est‑il dans le reste de l’Europe ? En mai dernier, en Italie, Google a été reconnu comme un établissement stable et a été sommé de payer ses impôts. Il a accepté de verser 306 millions d’euros pour mettre fin à ses contentieux fiscaux. Google a également versé quelque 168 millions au Trésor britannique l’an dernier dans le même but. Reste à attendre le jugement final mi‑juillet.
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Philippe Forget : l'Identité en Politique
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Au Forum #7 : Les Rapatriés | Le mythe Gaullien en Algérie | Macron soumis au FLN ?
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La seule triangulaire est serrée avec un candidat LREM hors sol
Il y a une seule triangulaire en France, elle est dans l’Aube entre le candidat En Marche Grégory Besson-Moreau (29,86 %) le LR Nicolas Dhuicq (25,68 %) et le FN Bruno Subtil (24,89 %). Ce dernier répond à Caroline Parmentier dans Présent :
"Votre adversaire LR Nicolas Dhuicq est bien aimé de nos milieux où il a la réputation de ne pas être loin de nous à la fois dans ses positions sur la vie, sur la famille, sur les chrétiens d’Orient ou contre le Pacte budgétaire européen en 2012, etc. Il n’y a aucun accord possible avec lui ?
Nicolas Dhuicq est le moins gauchiste des trois députés LR du département. Mais on ne peut pas manger à tous les râteliers. Il est chez les Républicains, il a été le seul soutien départemental de François Fillon, lequel a appelé à voter Emmanuel Macron dès 20 h 05 le soir du premier tour de la présidentielle. C’est un opportuniste. Nicolas Dhuicq a fait contacter Bruno Gollnisch pour que je me désiste en sa faveur. Mais la seule alternative c’est nous contre les deux autres.
[...] La clé de la réussite réside comme partout en France chez les abstentionnistes. Si on regarde la typologie de cette circonscription, le député sortant LR Nicolas Dhuicq a perdu dix points par rapport à 2012, il est discrédité et à mon avis c’est mort pour lui. Le candidat En Marche Grégory Besson-Moreau a cinq points d’avance sur moi. Si l’on se fonde sur le nombre de voix obtenu par Marine Le Pen aux premier et second tours de la présidentielle nous avons beaucoup plus de réserve que les LR. Il y a un gros potentiel. Notre seul ennemi c’est l’abstentionnisme. Que veulent les Aubois ? Un candidat anti-système implanté chez eux ou un candidat parisien qui est le dernier avatar du système à l’image de son mentor Macron ? Il était prévu deux débats télévisés ici. L’un organisé par France 3 Champagne-Ardennes et l’autre par la télé locale. Le candidat de Macron qui n’a sans doute pas grand-chose à dire sur sa circonscription, a préféré se défiler. Il s’est aussi fait remarquer récemment sur le marché d’Arcis-sur-Aube où personne ne le connaît et où il serrait des mains au hasard des commerces. Il est passé sans le reconnaître devant celui qui est le maire de la commune depuis trente ans, Serge Lardin, qui était furieux ! Il ne voyait pas du tout qui c’était. Ça ne passe pas très bien par ici. Ce candidat est complètement hors-sol. Les électeurs n’ont plus que quelques jours pour ne pas laisser faire ça. J’en appelle à eux. Bruno Gollnisch me fait l’honneur et l’amitié de venir soutenir ma candidature et celle de mon suppléant jeudi 15 juin à Troyes. J’ai la chance d’avoir comme suppléant Jordan Guitton, jeune étudiant en droit qui m’a remplacé au bout de trente-trois ans de secrétariat départemental et qui est un co-équipier de grande qualité. Nous sommes confiants !"
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Perceval, Le Conte du Graal - Le Cycle Arthurien #4
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Le vote Macron et la bêtise du François de souche
Le Français de souche (vivement son Grand Remplacement !) qui vient d’élire Macron et sa clique est impardonnable. Jusqu’à François Hollande même, on avait de bonnes raisons d’aller voter pour virer Sarkozy et son cirque hyper-présidentiel et belliciste par exemple. On était encore un peu de gauche ou de droite. Maintenant on a quoi ? Un banquier aux ordres qui va nous dépouiller pour le capital mondial et appliquer une dictature anarcho-totalitaire bonne à satisfaire le Qatar et les cathos zombies qui se disputent sa couche. Et ce n’est pas faite d’avoir tenté de le lui expliquer, moi, mille autres, sur ce site et ailleurs. Mais rien n’y fait, ce peuple reste prodigieusement imbécile (Léon Bloy, dont on fête le centenaire), il fait du bouche à putsch.
L’antisystème se montre inconsolable, je vais le consoler. Pas besoin en effet de neuro-piratage, le crétinisme du Français de souche est un fait avéré par l’histoire. Que la plupart des retraités comme on dit aient oublié pour se rassurer que Macron était ministre de Hollande – et une nullité de ministre de notre ex-économie – est un détail, vu ce que ce peuple a essuyé comme coups de pied au derrière durant des siècles. Relisez Rabelais et ses moutons de Panurge (nous on est des Mouton-Rothschild !) et, si vous avez le courage lisez Jules César sur les Gaulois (VI, 13) et la manière druidique ou cavalière de traiter le populo. Pas besoin des Bilderbergs et du neuro-piratage.
Lisons Hippolyte Taine cette fois. Lui (enfin, une anglaise) parle de notre révolution française, bien chaotique, bien sanguinaire et bine ratée, et qui donnait tant plaisir aux gouvernements prussiens et aux britanniques :
« Dans ces douze mois, le gouvernement de la France a été renversé, son commerce est détruit, les campagnes sont dépeuplées par la conscription, le peuple est privé du pain qui le faisait vivre. On a établi un despotisme plus absolu que celui de la Turquie, les mœurs de la nation sont corrompues, son caractère moral est flétri aux yeux de toute l’Europe. Une rage de barbares a dévasté les plus beaux monuments de l’art; tout ce qui embellit la société ou contribue à adoucir l’existence a disparu sous le règne de ces Goths modernes. »
Vous voyez qu’on peut descendre encore plus bas que le Bataclan, le débat de Marine et la prochaine abolition du salaire brut ! Taine continue :
« Même les choses nécessaires à la vie deviennent rares et insuffisantes pour la consommation le riche est pillé et persécuté, et cependant le pauvre manque de tout. Le crédit national est arrivé au dernier degré d’abaissement, et cependant on crée une dette immense qui s’accroît tous les jours; enfin l’appréhension, la méfiance et la misère sont presque universelles. »
La dame qui vit cette époque tragi-comique n’accuse pas la Trilatérale et les Illuminati. Et pour cause :
« Tout ceci est l’œuvre d’une bande d’aventuriers qui sont maintenant divisés contre eux-mêmes, qui s’accusent les uns les autres des crimes que le monde leur impute à tous, et qui, sentant qu’ils ne peuvent plus longtemps tromper la nation, gouvernent avec des craintes et des soupçons de tyrans. Tout est sacrifié à l’armée et à Paris; on vole aux gens leur subsistance pour subvenir aux besoins d’une métropole inique et d’une force militaire qui les opprime et les terrorise… »
Le Français adore son percepteur et le troupeau de commissaires européens ?
Rien de nouveau sous le sommeil :
« Tous les points de la France sont infestés par des commissaires qui disposent sans appel de la liberté et de la propriété de tout le département où ils sont envoyés. Il arrive souvent que ces hommes sont délégués dans des villes où ils ont déjà résidé; ils ont ainsi une opportunité de satisfaire leur haine personnelle contre tous ceux qui sont assez malheureux pour leur avoir déplu. »
Le nouvel ordre mondial, on a déjà donné – au nom de la Liberté comme toujours dans ce pays où « on est conifié par les mots, on croit que le monde est un mot » (Céline) !
La bonne dame britannique prend alors peur du peuple de France qui se laisse traiter comme ça :
« Je crains que vous ne doutiez de ma véracité lorsque je décris l’extrême ignorance et l’inattention des Français pour tout ce qui regarde les hommes publics et les mesures politiques. Ils ne tirent aucune conclusion du passé, ne forment aucune conjecture pour l’avenir. Ils s’écrient : “ Cela ne peut pas durer comme cela ” et ils laissent le reste à la conduite de la Providence avec une résignation qui n’est certainement ni pieuse, ni philosophique. »
Taine lui écrira ailleurs ces lignes presque à se tordre, comme dirait Allais. Ce n’est pas un hasard si depuis Tocqueville et Flaubert la France a dû se contenter des humoristes et des chansonniers.
« La vérité est que l’esprit public ne se montre pas chez nous sous la même forme qu’en Angleterre et aux États-Unis, par l’étude froide et sérieuse des affaires publiques, par l’action locale et journalière, par l’association multipliée, efficace et pratique. On bavarde en phrases générales et vagues, on laisse prendre son argent au percepteur, on marche à la frontière, et on se fait tuer. »
Compris ? Antisystème, ne perds plus ton sang-froid !
Encore un peu de Taine, qui ferait du bien aux vieux abonnés du Figaro ou de Libération :
« Tout dépend, dans un État, du degré et de l’espèce d’impression que la somme des individus reçoit d’un événement donné. Avec l’excitabilité, les inquiétudes soupçonneuses, les prévisions lointaines, la logique immédiate des Français, le gouvernement absorbant et compressif devient nécessaire. — Voyez la terreur produite par le socialisme en 1851 ; ils se sont jetés entre les bras du Président. »
Plus rien ne reste que la tourbe imbécile et canaille dont a parlé Flaubert ; malheureusement, que les abstentionnistes comprennent que « le candidat du marché » ne les épargnera pas.
Sources
- Taine – Un séjour en France de 1792 à 1795. Lettres d’un témoin de la Révolution française (classiques.uqac.ca) ; carnets de voyages (wikisource)
- Nicolas Bonnal – Comment les Français sont morts ; la culture comme arme de destruction massive (Amazon_Kindle) ; Céline, le pacifiste enragé
Les livres de Nicolas Bonnal sont disponibles chez:
- AVATAR Diffusion (lien)
http://www.voxnr.com/10497/le-vote-macron-et-la-betise-du-francois-de-souche
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Marion Maréchal-Le Pen s'active pour les candidats du sud - Journal du jeudi 15 juin 2017
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En Marche vers une nouvelle affaire Ferrand !
Le site d’information Mediapart révèle que Richard Ferrand a revendu en septembre 2016 un bout de sa permanence parlementaire au PS local, alors qu’il venait de rejoindre En Marche. La question se pose de savoir s’il l’avait acquise avec des fonds publics…
Richard Ferrand est impliqué dans plusieurs affaires, sans que cela n’ait empêché le ministre de la Cohésion des territoires de bénéficier de la vague Macron au premier tour des élections législatives. Mais Mediapart révèle ce mardi une nouvelle affaire sur l’ancien député socialiste. Sa compagne n’est pas impliquée, mais il s’agit encore d’une transaction immobilière louche.
“Si c’était le cas, l’actuel ministre de la cohésion des territoires aurait ainsi réussi une sacrée culbute”
En septembre 2016, alors qu’il vient de quitter le PS pour rejoindre le parti d’Emmanuel Macron, le député revend à la section locale du Parti socialiste un bout de sa permanence parlementaire. Prix de la transaction : 40 000 euros. Le site d’information précise qu’une grande partie de la somme lui revient puisqu’il a alors presque remboursé l’intégralité de son emprunt initial. La question se pose alors : pour acquérir cette permanence et rembourser les mensualités, Ferrand avait-il utilisé son indemnité parlementaire pour frais de mandat (IRFM) ? Il se serait alors personnellement enrichi grâce à l’utilisation de fonds publics.
“Si c’était le cas, l’actuel ministre de la cohésion des territoires aurait ainsi réussi une sacrée culbute : acquérir un bien immobilier avec l’aide de fonds publics, en conserver une partie à la fin de son mandat, en revendre une autre à des concurrents politiques, écrit Mediapart. Une opération certes légale mais pas bien éthique”. Interrogé par le site d’information, le ministre n’a pas souhaité répondre. L’article précise également qu’en 2012, l’Assemblée nationale n’interdisait pas aux députés d’utiliser l’IRFM pour payer des remboursements. La règle a changé en 2015. Il est désormais interdit d’utiliser l’indemnité parlementaire pour une “dépense afférente à une nouvelle acquisition de biens immobiliers”.
Source : Valeurs Actuelles
http://www.contre-info.com/en-marche-vers-une-nouvelle-affaire-ferrand#more-45407 |