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Europe et Union européenne - Page 574

  • Bruxelles ma belle ? NON, Bruxelles poubelle !

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    Pieter Kerstens

    Il ne se passe plus une semaine, sans que la capitale de l’Eurabia ne soit le théâtre d’émeutes. Elle est fort lointaine l’époque où Jacques Brel chantait « c’était au temps où Bruxelles brusselait …»

    Ce samedi 25 novembre les casseurs, racailles et autres beurs ont choisi l’avenue Louise et le quartier Matongé pour détruire tout ce qui n’est pas à leur goût.

    Le gouvernement belge pour sa part persiste dans le déni des réalités et semble ignorer les leçons à tirer des émeutes qui, depuis 1995, se multiplient au grand bonheur des complices de l’Islam conquérant. Parce qu’il ne faut pas porter les lunettes roses des politiciens socialo-écolo-marxistes pour constater que ces répétitions de déprédations gratuites ne sont pas l’œuvre de mécontents ardennais, flamands ou expatriés français.

    Une responsable élue écolo de la commune de Molenbeek vient de découvrir l’eau chaude. Ce week-end elle déclarait aux médias : « C’est hallucinant de se dire que la plus grande mosquée de Bruxelles était aux mains du pays(l’Arabie Saoudite) qui défend l’Islam le plus rigoriste. » Cette idiote réclame en outre « encore plus de mixité », alors qu’à l’inverse les musulmans mettent tout en œuvre pour chasser les derniers blancs des quartiers qu’eux-mêmes occupent. Il suffit de circuler dans les zones de non-droit, non seulement à Molenbeek, mais aussi à Bruxelles, à Schaarbeek, à Forest ou à Anderlecht. Et lorsque les classes moyennes foutent le camp, les recettes fiscales diminuent.

    FAIRE FACE !

    Malgré les ravages économiques, sociaux, culturels et financiers, la secte socialo-écolo-libéro-capitaliste, au pouvoir de l’Agglomération de Bruxelles depuis bientôt 30 ans, refuse d’appliquer l’Ordre et la Loi sur son territoire et autorise, par laxisme et complaisance, toutes les dérives de la communauté maghrébine. Tous ont estimé que ces immigrés pouvaient s’intégrer ou s’assimiler à la société et aux mœurs des Bruxellois. Erreur ! C’est l’inverse qui s’est imposé avec la multiplication des mosquées, des boucheries hallal, des cantines sans cochon, des babouches, des kamis chouars et des burqas.

    En conséquence et pour ne pas choquer la susceptibilité de ces « nouveaux Belges » les bourgmestres (maires) et les politicards à la tête des 19 communes bruxelloises interdisent à la police d’appliquer la loi envers la racaille et les délinquants qui, semaine après semaine, testent la résistance du Pouvoir à leurs débordements. Il ne faudrait quand même pas mécontenter ces électeurs potentiels … qui crachent sur notre civilisation.

    QUAND CE N’EST PLUS SUPPORTABLE, ON NE SUPPORTE PLUS !

    De nombreux électeurs bruxellois blancs en ont ras-le-bol de la mansuétude des élus vis-à-vis des exactions commises par des délinquants immigrés. En octobre 2018 de nouvelles élections communales auront lieu en Belgique. Mais face à l’immobilisme et à la lâcheté des édiles locaux, il est fort probable qu’une partie du corps électoral exprime son exaspération dans les urnes et que l’on assiste au renouveau des partis nationalistes et identitaires, les seuls ayant dénoncé au fil des ans le danger de l’immigration/invasion et de ses corollaires d’insécurité, de baisse du niveau scolaire, du chômage endémique, de la haine de l’Europe, de trafics divers ou du terrorisme. Même les touristes étrangers dénoncent la décrépitude de la capitale de l’Europe.    

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  • JEAN-PAUL GOURÉVITCH : « D’AUTRES ROUTES DE MIGRATION SE SONT OUVERTES… »

    Jean-Paul Gourévitch revient de Moscou, où s’est tenu un colloque international, organisé par l’Institut d’Europe de l’Académie des sciences de Russie et rassemblant des spécialistes des questions migratoires. L’occasion de dresser un état des lieux mais aussi de faire des propositions.

    Vous revenez de Moscou après deux jours passés à réfléchir avec d’autres confrères européens sur un moyen efficace de juguler les vagues migratoires. Racontez-nous !

    C’est un rendez-vous rituel organisé par l’Institut de l’Europe de l’Académie des sciences de Russie.
    Il rassemble des chercheurs venant d’Allemagne, d’Italie, de Russie, de France, de Grande-Bretagne et d’un certain nombre d’autres pays.
    Ce rendez-vous a pour but de faire un état des lieux des constats généraux et de proposer des solutions.
    On s’est tous accordés sur un certain nombre de constats. Le premier est l’augmentation du nombre de mineurs non accompagnés. On retrouve ce phénomène dans tous les pays représentés.
    Le second est la baisse de l’acceptabilité de l’arrivée des migrants. En effet, les autochtones, mais aussi un certain nombre d’immigrés, ont peur de subir le contrecoup des nouvelles vagues.

    Toutes les nations représentées se sont-elles accordées ?

    Certains Italiens ont mis en avant le devoir humanitaire. Celui-ci consiste à accueillir au maximum les migrants qui commencent leur traversée en Méditerranée ou qui sont déjà arrivés. Ils avaient initialisé l’opération Mare Nostrum, qui consistait à sauver les migrants.
    Certains admettent qu’aller chercher les migrants directement sur les côtes libyennes n’est pas une solution idéale.
    Le troisième constat est nouveau pour nous. Il consiste en l’ouverture de nouvelles routes de migration. On nous a parlé de cette route allant de la Turquie à la Roumanie et la Bulgarie en traversant la mer Noire. Les passeurs se sont déjà installés pour pouvoir convoyer les migrants qui sont en Turquie et qui vont vers la Roumanie et la Bulgarie dont les frontières ne sont pas sûres.
    Ce constat général est partagé par tout le monde, y compris par les Italiens. Il est très difficile, pour les migrants arrivés ces dernières années, de trouver du travail. L’accueil est plus ou moins bien fait dans les différents pays.
    On se heurte à des tas de difficultés en voulant leur fournir un travail.
    Parmi ces difficultés, nous trouvons des difficultés de formation, de compétence et parfois de discrimination. Il ne faut pas le cacher. Certains restent réticents à embaucher des migrants, surtout dans l’économie formelle. En revanche, dans l’économie informelle, les migrants trouvent plus facilement du travail.

     

    Après le constat commun, quelles solutions avez-vous retenues ?

    Nous avons fait des propositions dont certaines ont recueilli une adhésion.
    La première consiste à trouver des moyens techniques pour diminuer le temps entre le dépôt d’une demande d’asile et la réponse. Chez nous, ce temps est en moyenne de dix-huit mois et, dans les autres pays, de six à neuf mois. La solution que nous avons proposée est de faire en sorte que les migrants qui font appel paient une caution. Il faut rappeler que, chez nous, on peut faire appel au tribunal administratif, à la CNDA (Cour nationale du droit d’asile), à la Commission européenne des droits de l’homme ainsi qu’au niveau de l’Europe. Cette caution leur est remboursée si l’appel a été accepté, elle n’est pas remboursée si leur appel n’a pas été accepté. Cela va diminuer notablement le nombre de personnes qui font appel et réduire le nombre de demandes ainsi que le temps.
    Le deuxième point consiste à faire en sorte que les gens qui ont été déboutés du droit d’asile puissent revenir dans leur pays d’origine. C’est toujours difficile, car pour revenir dans son pays d’origine, il faut un laissez-passer que certains consulats refusent de délivrer. La proposition que nous avons faite était très précise. Si un consulat d’un pays refuse d’accueillir ses ressortissants déboutés après avoir épuisé tous les recours possibles, alors il n’y a aucune raison de continuer à donner à ce pays une aide. On la retire jusqu’à ce que le consulat accepte d’accueillir ses déboutés.
    La troisième proposition renvoie au problème du suivi des aides médicales données aux personnes en situation irrégulière. En France, nous dépensons un milliard d’euros pour 300.000 personnes. Nous ne sommes pas les seuls. L’Allemagne, la Suède et d’autres pays sont concernés. Nous constatons un manque de suivi. Il n’y a pas d’inscriptions ni de cotisations données au départ. L’idée serait d’avoir une cotisation symbolique qui permettrait d’établir un dossier et d’avoir un suivi de ces personnes. L’État a choisi de donner une aide à ces personnes en faisant en sorte qu’elles ne paient pas les prestations médicales qui leur sont fournies.

    Pour le cas de la France, ne craignez-vous pas que ces mesures soient irréalisables ?

    C’est un sujet difficile. Il touche à la fois des problèmes humanitaires, financiers et économiques. Ces problèmes divisent la population française. C’est pourquoi nous constatons un silence assourdissant de certains médias.
    Quand Lionel Jospin et Martine Aubry ont établi l’aide médicale d’État, ils l’avaient programmée pour 75 millions d’euros. On a multiplié ce chiffre par 12. Ce n’est plus gérable.
    D’autre part, il y a des abus. Ce n’est certes pas une raison pour refuser l’aide médicale d’État à des gens qui en ont besoin. Il faut faire en sorte d’avoir un suivi de ces personnes. D’abord pour éviter la fraude, puis pour faire en sorte que des gens qui peuvent contracter des épidémies n’en constituent pas des viviers ou des vecteurs de propagation.
    Je suis conscient de la difficulté de ce problème et du clivage que cela créerait dans la population française. Le gouvernement n’a pas trop envie de se saisir de ce problème extrêmement sensible, mais il faudra bien y arriver.
    Il n’est pas possible de faire comprendre à certaines personnes ayant du mal à se soigner que d’autres en situation irrégulière peuvent se soigner gratuitement.

    http://www.bvoltaire.fr/dautres-routes-de-migration-se-ouvertes/

  • Politique & Eco n° 150 : Le rêve européen de Macron fracassé

  • Ukraine scoop: des snipers de Maïdan témoignent à la TV italienne que les commanditaires de la tuerie étaient dans le camp américain

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    C’est un scoop international, un documentaire à couper le souffle, diffusé sur la chaine italienne Canale 5 en novembre 2017: Gian Micalessin a retrouvé trois tireurs d’élite, trois responsables du massacre de la place Maïdan, qui, - vous le verrez dans le documentaire -, loin d’être pro-russes étaient au contraire sous autorité pro-américaine. Ce documentaire exceptionnel le démontre: En Ukraine la tuerie du Maïdan qui a fait 80 morts et d’innombrables blessés, et qui a renversé le pouvoir légitime du président Ianoukovytch a bien été commandité par les services spéciaux Américains via leur homme de Géorgie, Mikhaïl Saakachvili.

    Un grand reporter de guerre Gian Micalessin a obtenu le témoignage détaillé de trois des nombreux snipers (tueurs en fait) qui ont été engagés en Géorgie pour se rendre en Ukraine renverser le pouvoir au profit des intérêts occidentaux. Ce sont des témoignages du massacre, -et de son déroulement-, abondamment  illustré en fond par les nombreux enregistrements vidéo d’époque, caméras de surveillance et reportages divers. D’autres documents accablants démontraient déjà ce scénario abominable, mais ces trois témoignages concordants et amplement argumentés ne laissent plus subsister le moindre doute. Les spectateurs attentifs seront alertés par ce document emblématique des diverses révolutions de couleurs qui ont frappé les pays d’Europe central, emblématique aussi des différents printemps arabes qui ont servi à renverser certains chefs d’Etat du Moyen-Orient inaugurant le terrorisme islamique actuel, jusqu’à la volonté aujourd’hui des Américains de saboter les négociations de paix de Genève sur la Syrie ainsi que le révèle notre précédent article.

    Au cours de son reportage, Gian Micalessin donne alternativement la parole à ses trois témoins en fonction de la chronologie des événements, chacun les ayant vécu de son côté:

    Ci-dessous l’enregistrement de la conversation  captée, 5 jours après les massacres de la place Maïdan, entre le ministre d’Estonie, Urmas Paet et Catherine Ashton, ministre des Affaires étrangères de l’UE; Urmas Paet revenant de Kiev après le massacre a été le premier a contester la version officielle et obligatoire diffusée jusqu’à aujourd’hui par les médias occidentaux. Micalessin fait référence dans son reportage ci-dessus, à cette conversation accablante pour la version officielle :

    Ci-après le script intégral du documentaire de Gian Micalessin diffusé en novembre 2017 sur la chaine de TV italienne Canale 5, suivi du témoignage de Vladimir Poutine sur le sujet :

    http://www.medias-presse.info/ukraine-des-snipers-de-maidan-temoignent-a-la-tv-italienne-que-les-commanditaires-de-la-tuerie-etaient-dans-le-camp-americain/83986/

  • Notre Europe enracinée… ou leur terrain vague mondialisé?

    Oui à « l’Europe des nations européennes », « Ils sont européistes, nous sommes européens ! »: les cadres et élus du  Front National étaient en réunion de travail vendredi à l’Assemblée nationale autour de Marine Le Pen  et  de députés  - Bruno Gollnisch,  Nicolas Bay, Gilles Lebreton, Bruno Bilde, Gilbert Collard… Ils ont traité de leur vision de l’Europe, de la façon par laquelle nous pourrions recouvrer notre indispensable souveraineté. Ce  que Gilles Lebreton a expliqué en soulignant  qu’il existe des alternatives  moins brutales et anxiogènes pour nos compatriotes   que l’article 50 du traité de Lisbonne -qui a  permis dernièrement le Brexit- et qui stipule que « Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union. » Il existe en effet une possibilité offerte aux Etats de faire évoluer le traité. Cela est précisé notamment dans le second alinéa de son article 48 : « Le gouvernement de tout Etat membre, le Parlement européen ou la Commission peut soumettre au Conseil des projets tendant à la révision des traités. Ces projets peuvent, entre autres, tendre à accroître ou à réduire les compétences attribuées à l’Union dans les traités. Ces projets sont transmis par le Conseil au Conseil européen et notifiés aux parlements nationaux. »

    Marine a  plaidé pour la « transition séquencée » que rend possible cet article 48 qui « délie (les) liens les uns après les autres » en lieu et place du « passage en force», du « big bang institutionnel » de l’article 50. Et dans un souci d’aller au fond des choses, de faire aussi  notre mea culpa, elle a  rappelé les ambiguïtés de ces derniers mois: « nous avons pensé que seule l’élection présidentielle pouvait réorienter l’Europe, laissé penser qu’on voulait en sortir seuls, avec une vision trop franco centrée »;  or  « nous  sommes européens, pas antieuropéens, même si nous avons entretenu cette idée par maladresse sémantique. »

    L‘Europe du FN  n’est pas en effet  celle du père fondateur Jean Monnet tel que le décrit Christophe Baudouin dans son livre  Le grand malentendu:  « Monnet vit entre avions et hôtels, se pense en nomade attalien et rêve l’Européen du futur – vous, moi – à son image : déraciné, désaffilié, pacifié. Il aime la France comme l’aime de nos jours la classe politique : il a le patriotisme paysager. Il rêve d’un monde sans frontières, sans nations et sans Politique, où les gouvernements cèdent la place à une administration rationnelle. Monnet est à la géopolitique ce que Le Corbusier est au même moment à l’urbanisme : un architecte de la table rase habité par une vision glacée, géométrique et fonctionnelle du monde futur.  »

    Une journée de réflexion qui a délivré un message d’espoir que doivent entendre  tous les patriotes de notre continent: l’Union européenne bruxelloise, dont les tendances  liberticides, mondialistes et  totalitaires n’ont  cessé de se renforcer en  profitant des   démissions et/ou des  soumissions idéologiques de nos gouvernements,   n’est pas une fatalité. Les nationaux le savent, eux  qui défendent  (depuis toujours)  son alternative , l’Europe enracinée, de  la libre coopération,  de nations capables de s’unir autour de grands projets scientifiques, culturels, économiques… celle qui fonctionne! Bref une Europe  respectueuse de nos identités, de nos traditions, de nos  souverainetés, une Europe qui en  suivant ce modèle-là,    comme n’a cessé de le proclamer Bruno Gollnischserait conforme au véritable  génie de notre civilisation. 

    « Entre les mondialistes et nous, il n’y a rien ni personne » notait aussi la présidente du FN et le spectacle offert actuellement par LR confirme singulièrement ce jugement. Les ex cadres sarkozystes et/ou fillonistes effrayés par la reprise des thématiques frontistes par Laurent Wauquiez,  rallient officiellement le parti d’Emmanuel Macron (Thierry Solère, Gérald Darmanin, Sébastien Lecornu…) ou clament leur volonté de travailler encore plus étroitement avec LREM. C’est le cas des autres   élus  LR dits constructifs que sont la sénatrice Colette Mélot, le député  Franck Riester, le maire de Verdun Louis Vogel  qui viennent d’annoncer  avec une quinzaine de leurs collègues  la création d’Agir, un micro-parti au sein de LR qui se veut totalement macrono-compatible…  

    Une droite courbe, couchée, faillie qui n’a pas le courage de celle qu’incarne Nicolas Dupont-Aignan qui lui,  ne baisse pas l’échine devant le premier  lobby venu et dénonce les oligarchies financières. Invité de France 3 hier, le président de Debout la France a réagi aux dernière attaques en date subie par le Front National. Il a  jugé «  très choquant qu’une banque essaie de mettre à mort un parti politique. Il y a un vrai problème de financement de la vie politique… »

    Une droite antinationale qui est aussi à l’oeuvre en Espagne et qui souffre de la même débilité intellectuelle, de la même capacité aussi  à atteindre le point Godwin  en un temps record. Nous en voulons pour nouvelle preuve cette saillie au cours d’une conférence de presse,  cette fin de semaine  à Palma de Majorque,  d’Esteban González Pons,  vice-président du Partido popular, membre du PPE  au Parlement européen.

    Opposé à l’indépendantisme catalan, ce qui est bien compréhensible, mais au nom de l’« Union des pays » et de la « générosité » incarnées selon lui par l’Europe de Bruxelles,  M. González Pons, rapporte L’indépendant, « est le quatrième élu du Partido popular ces derniers mois a opéré à un parallèle entre le régime nazi dictatorial d’Hitler et le mouvement indépendantiste en Catalogne»…en prenant  soin d’y assimiler le FN au passage. Il a ainsi déclaré :  « Ceux qui votent pour les partis de l’indépendance  votent pour un projet hors de l’Union européenne (…). Le populisme national a des noms différents dans les Etats membres (de l’Union européenne, NDLR), il s’appelle Marine Le Pen en France, le Brexit en Grande Bretagne, le Nazisme en Allemagne et en Espagne ça s’appelle mouvement d’indépendance en Catalogne

    Propos délirants,  indignes mais qui sont dans la ligne des obsessions de cet élu qui faisait en mars dernier dans l’hémicycle la promotion du « vivre-ensemble» et l’étalage de toutes ses peurs: «L’Europe est aujourd’hui cernée au Nord par le populisme, au Sud par les réfugiés qui se noient dans la mer, à l’Est, par les tanks de Poutine, à l’Ouest, par le mur de Trump. (…) L’Europe est plus seule que jamais, mais ses citoyens ne le savent pas. Malgré tout, l’Europe reste la meilleure des solutions, et nous ne savons pas comment le leur expliquer.» En effet il ne sait vraiment  pas!

    Plus sérieusement,  Adrien Abauzit, interrogé sur le blogue eurolibertés,  souligne que tous les peuples d’Europe sont attaqués à des degrés divers dans leur être et qu’au delà du cas de notre nation, « nous assistons à une décomposition des pays dont l’unité est historiquement plus bancale que celle de la France (…), le cas de la Catalogne est intéressant. Nous pouvons avoir l’impression que la Catalogne, terre aujourd’hui de bobocratie et de politiquement correct, cherche à se défaire de la Couronne d’Espagne pour les mêmes motifs que la République (la coterie mondialiste au pouvoir sous le masque républicain, NDLR)  cherche à se défaire de la France. Dans les deux cas, il s’agit de se détacher d’un passé jugé contraire aux courants idéologiques dominants contemporains

     M  Gonzales-Pons et ses amis bruxellois, plus largement leurs clones que nous voyons à l’oeuvre au sein de notre classe politicienne, devraient balayer devant leur porte plutôt que de tenter bien grossièrement de faire diversion,  en  convoquant  la bête immonde pour s’exonérer de leurs propres fautes et turpitudes. Ils sont responsables et coupables des forces centrifuges que l’on voit  aujourd’hui à l’oeuvre. Notre Europe n’est décidément pas la leur. 

    https://gollnisch.com/2017/11/27/europe-enracinee-terrain-vague-mondialise/

  • Liberté et sécurité face au défi migratoire : le contrôle de la population, par Ivan Blot

    Mao-Tsé-Toung, l’ancien révolutionnaire et chef de la Chine communiste, l’a dit : le bon révolutionnaire ne peut être efficace que s’il vit dans le prolétariat comme le poisson dans l’eau. Il en est exactement de même des terroristes qui se réclament de l’islamisme révolutionnaire. Que ferait un terroriste islamiste à Varsovie entouré de Polonais catholiques ? Les terroristes ne sont pas, sauf exceptions rarissimes, des « loups solitaires ». Ils vivent en réseaux et c’est bien plus facile depuis l’avènement de l’informatique. Ils trouvent sur Internet des sources d’inspiration et des conseils pour mener des actions meurtrières.

    Il n’y a pas « les méchants terroristes » qui sont des tueurs et « les gentils musulmans » qui seraient pacifistes. Il y a toute une gradation entre le terroriste actif et le musulman indifférent. Il y a cinq cercles concentriques :

    – Au milieu, les terroristes prêts à tuer, quelques milliers de personnes en France qu’il faut surveiller de près ;

    – Puis il y a un deuxième cercle, celui de gens qui ne tueront jamais mais qui adhèrent aux idées révolutionnaires islamistes et qui sont prêts à fournir une aide logistique : prêter une voiture, un appartement, par exemple ;

    – Puis il y a le troisième cercle, celui de ceux qui approuvent l’idéologie des islamistes révolutionnaires mais qui ne mèneront aucune action en leur faveur. Cela peut faire des millions de personnes. C’est toutefois dans ce cercle infecté idéologiquement que peuvent apparaître de jeunes djihadistes nouveaux ;

    – Il y a ensuite le cercle des vrais indifférents, encore quelques millions sur les 7 millions de musulmans résidant en France ;

    – Enfin, il y a ceux qui sont ouvertement hostiles aux islamistes et aux attentats. Ils ne sont pas si nombreux que cela car beaucoup ont peur.

    On voit que le problème n’est pas seulement celui des terroristes actifs. Il faut surveiller des populations beaucoup plus nombreuses, peut-être des millions de personnes et c’est très difficile.

    L’Académie des sciences de Russie, avec son Institut d‘Orient, appelle notre attention sur ce qu’elle nomme des « califats localisés ». Il s’agit de quartiers de grandes villes où se concentrent des musulmans dont beaucoup sont des immigrés clandestins. Ils ne sont nullement recensés de façon exhaustive et ne tolèrent guère d’autres populations de religion ou d’ethnie différente. En France, des enquêtes ont été faites sur la persécution sournoise des juifs dans ces quartiers, si bien que certains veulent émigrer, vers des quartiers moins « toxiques » voire hors de France (voy. par exemple l’enquête de Stéphane Kovacs intitulée « Ces juifs apeurés qui déménagent pour fuir l’antisémitisme » dans le journal Le Figaro du 25 octobre 2017, page 8).

    Dans ces banlieues déstructurées mono-ethniques des imams peuvent prêcher la haine et former la jeunesse à détester l’Occident. Il faut empêcher les musulmans de s’intégrer à la société mécréante et les inciter à rejoindre les guerriers du djihad. Il y a bien longtemps que la police n’est plus présente dans ces « zones de non-droit » dont l’Etat français nie l’existence.

    Ces quartiers abandonnés par l’Etat ne le sont pas pour tout le monde. Apparemment, la mise en place d’un petit « califat délocalisé » se caractérise par une baisse de la criminalité et de la délinquance. Les autorités islamistes de fait décident si le trafic de drogue doit ou non s’arrêter. Ils sont plus efficaces que les assistantes sociales. Un jeune sans repères qui devient islamiste peut en effet adopter un comportement correct et renoncer à la délinquance. Mais ce calme sur le front de la criminalité est trompeur. Il n’empêche pas les accumulations secrètes d’armes et d’explosifs. On prépare les attentats du futur. Le paradoxe est que dans les démocraties occidentales (sauf la Suisse ou les États-Unis), la population est totalement désarmée sauf pour les islamistes ! La législation sur le port d’armes est ridiculisée. Le coordinateur antiterroriste près du président de la République, le préfet Bousquet de Florian, a cité le cas d’un terroriste arrêté aux Champs-Élysées à Paris qui avait obtenu six autorisations de port d’armes de différentes préfectures, et pourtant il était fiché « S » sur le fichier des suspects dans les services antiterroristes.

    Il y a des exceptions à cette situation notamment en Suisse et en Norvège où toute personne doit être enregistrée avec son adresse dans les fichiers de la police. Un de mes amis français est allé un jour à Genève en Suisse chez des amis helvétiques. Les amis partirent faire des courses et il resta seul dans l’appartement. On sonne à la porte. Il ouvre et se trouve face à deux gendarmes suisses qui lui disent : « Qu’est-ce que vous faites là ? » Il répond qu’il est venu passer le week-end chez des amis suisses qui ont cet appartement. On lui répond : Ils ont commis une faute ; ils devaient venir vous enregistrer dans nos bureaux. Le Français était étonné. « Mais alors comment savez-vous que je suis là ? » dit-il. Réponse des gendarmes : les voisins ! En Suisse, qui est indiscutablement une démocratie, il est normal de dénoncer une personne inconnue dans l’immeuble ! Dans une telle société, il est difficile de constituer des quartiers entiers avec des personnes inconnues. Le contrôle des populations pour assurer la liberté et la sécurité est assuré.

    Les Russes s’inquiètent de notre sécurité pour les années à venir. L’Arabie saoudite et le Qatar financent des mosquées et des tribunaux de la charia. Ces derniers concurrencent la justice de l’État. L’éducation des jeunes, les cours de Coran, l’arbitrage des conflits se font au sein d’enclaves géographiques où l’autorité de fait est détenue par l’imam. L’autorité musulmane locale organise les barrières mentales entre « sa » population et le reste du pays. Tout cela s’opère dans le cadre des lois et libertés garanties par les constitutions démocratiques interprétées selon l’idéologie des « droits de l’homme ».

    C’est pourquoi, déclarer verbalement la guerre aux terroristes comme le font les gouvernements occidentaux n’a guère d’effets dès lors que des territoires entiers, les califats délocalisés, prospèrent sous leurs institutions et que la police ne peut plus pénétrer sur les territoires concernés. Ces califats sont des noyaux d’enracinement pour les terroristes à venir et doivent être combattus comme tels et non tolérés par des pouvoirs publics inconscients.

    Cela passe par la répression des activités délictuelles (propagation de la haine, accumulation d’armes, etc…) mais aussi par la lutte contre l’immigration clandestine et l’organisation du retour des immigrés clandestins.

    Ivan Blot

    Texte repris du site Polemia

    https://fr.novopress.info/208545/liberte-et-securite-face-au-defi-migratoire-le-controle-de-la-population-par-ivan-blot/

  • Avec ou sans Merkel, l'Allemagne ...

    Rien de ce qui se passe en Allemagne n'est sans conséquences pour la France et pour l'Europe. Ce fut le cas dans le passé et l'est toujours aujourd'hui.

    La stabilité politique allemande a été telle depuis l'après-guerre, que l'on avait sous-estimé les difficultés qui attendaient Angela Merkel après les élections de septembre en République fédérale, qui ont amené au Bundestag une majorité introuvable. Après 12 ans passés à la chancellerie sans que lui manque jamais le soutien de l'opinion, d'avis quasi unanime Angela Merkel était en bonne position pour égaler la longévité politique d'Helmut Kohl, chancelier pendant seize ans. L'on s'est trompé. L'Allemagne a changé.

    Les dernières élections ont modifié la donne, renversé l'équilibre usé établi par la chancelière et débouché sur une de ces crises politiques dont nul ne sait si elle sera rapidement surmontée par l'émergence in extremis d'une nouvelle coalition, voire par de nouvelles élections, ou si elle ira en s'amplifiant.

    On sait qu'Angela Merkel (CDU) gouvernait ces quatre dernières années en coalition avec les socialistes du SPD. Et que ces derniers sortant affaiblis des dernières élections - échec qu'ils attribuent à leur cohabitation minoritaire avec la CDU - ont signifié à Angela Merkel leur refus de participer à une nouvelle coalition CDU-SPD.

    Quant à la CDU elle-même, qui a réalisé comme le SPD, son plus bas score depuis 1949, elle apparaît désormais en déclin, Merkel en tête.

    Les 13% de voix et les 94 sièges au Bundestag obtenus par l'AfD sont surtout importants par la crainte qu'ils inspirent d'une poussée ultérieure de ce parti, et d’une tout autre ampleur. A cet égard l'opinion allemande - et européenne - a en tête des références historiques dont la seule évocation, fût-elle fort anachronique, inquiète le monde politique allemand.

    C'est donc avec les Verts écologistes immigrationnistes et avec les Libéraux qui pensent avoir tout à gagner à de nouvelles élections, qu'Angela Merkel a recherché une nouvelle coalition.  Faut-il s'étonner qu'elle ait échoué ?

    Son échec provisoire ou définitif est en effet plus intéressant dans ses causes que dans ses circonstances. Quelles sont-elles ? 

    Avec les Libéraux, qui pensent pouvoir amplifier leurs résultats en cas de nouvelles élections, ce sont donc, semble-t-il, surtout des considérations électorales qui ont bloqué les négociations pour une nouvelle coalition. Les libéraux n'en sont pas moins très critiques sur la gestion de la zone euro et très hostiles à tout effort de solidarité financière envers les pays du Sud.

    Réticents aux engagements financiers de l'Allemagne en Europe, ils représentent un courant largement répandu Outre-Rhin, qui, en gros, ne veut pas payer pour « les pays du Club Med ». La solidarité européenne n'est pas leur fort. Angela Merkel serait-elle plus généreuse ? 

    Avec les écologistes, le conflit vient des migrants. Les Verts prônent une politique de large regroupement familial et exigent l'accueil de toujours plus de réfugiés, fussent-ils simplement économiques. Or c'est notoirement de sa politique d'accueil des migrants que provient surtout l'affaiblissement de la CDU comme d'Angela Merkel et l'entrée en force d'AfD au Bundestag ... Sans compter que la CSU, l'aile bavaroise conservatrice de la CDU, est-elle aussi très opposée à l'arrivée massive de migrants, dont le land de Bavière a d'ailleurs été le premier à faire l'expérience de première ligne. De première victime.

    L'engagement européen d'Angela Merkel a-t-il joué en sa défaveur ? 

    Après le désastre politique, militaire et moral de 1945,  le projet européen a longtemps été pour le peuple allemand un moyen privilégié de réinsertion. Dans sa très grande majorité, ce projet il l'a partagé et l'a fait sien, comme une nécessité et, pour lui, comme une évidence.  Les Allemands se sont sentis Européens. D'autant plus aisément d'ailleurs qu'au fur et à mesure que leur sentiment de défaite, voire de culpabilité, s'éloignait, s'estompait, la renaissance puis la nette prééminence de l'économie allemande les y plaçaient de plus en plus en position de supériorité dominante. Comme une revanche sur l'Histoire, par une sorte de victoire économique compensatrice ... Ceci à deux remarques près. Primo, l'Allemagne a longtemps été plus atlantiste encore qu'européenne. A l'époque où cela se justifiait, pouvait se comprendre et, peut-être encore aujourd'hui, cela reste à voir. Secundo, elle a su saisir sans complexe l'occasion de précipiter sa réunification et de l'accomplir avec toute sa volonté et toute sa puissance. Son nationalisme ne s'était pas évanoui. 

    Les choses changent et évoluent aujourd'hui. L'Allemagne est réunifiée et riche de ses colossaux excédents. Mais elle est aussi face à la perspective de ses problèmes et de ses contradictions. Notamment son terrible déclin démographique. 

    Si l'Europe signifie désormais pour l'Allemagne solidarité financière avec les pays les plus pauvres du continent, elle se retrouvera probablement assez unanime pour mesurer ou refuser son concours. Avec ou sans Angela Merkel, le Bundestag et la Cour Constitutionnelle de Karlsruhe - en charge de la défense des intérêts du peuple allemand - y veilleront scrupuleusement.

    Si l'Europe signifie d'autre part l'accueil et la répartition des migrants, l'unanimité sera moins large car le patronat allemand, petit ou grand, est désormais en difficile recherche de bras pour travailler, de préférence à bon marché. Mais comme en témoigne l'avancée de l'AfD, notamment dans les länder de l'Est, le sentiment anti-immigration grandit en Allemagne et avec lui un nouveau patriotisme décomplexé.

    Zemmour a raison d'expliquer qu'avec ou sans Merkel la puissance allemande restera inchangée. Dans l'un ou l'autre cas, l'Allemagne ne cédera rien de ses intérêts. Et si la politique européenne d'Emmanuel Macron persiste à se définir comme un fédéralisme, il nous paraît très probable qu'elle butera contre le mur de la ferme volonté de l'Allemagne de conserver pleine et entière sa souveraineté.   

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    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/11/22/avec-ou-sans-merkel-l-allemagne.html

  • Zoom : Jean Philippe Lévêque / Immigration et surpopulation : les peuples muselés !

  • À l’inverse de l’Allemagne fédérale, l’Autriche avance vers une alliance à droite

    L’échec des premières négociations pour une coalition en Allemagne fédérale montre que le clivage gauche-droite a encore une existence : c’est en effet notamment en raison de l’opposition entre les Verts et les libéraux de droite que les discussions ont échoué. Sur le papier, la solution pourrait d’ailleurs venir d’une entente à droite : le parti populiste Alternative für Deutschland a offert son soutien sans participation à une coalition minoritaire entre CDU/CSU et les libéraux, à condition que Merkel sorte du jeu. Une proposition qui a été pour l’instant rejetée.

    L’Autriche montre que l’entente à droite peut même aller au-delà

    Les conservateurs emmenés par Sebastian Kurz mènent des négociations de coalition fructueuses avec les populistes du FPÖ. Certes, le président de la République écologiste met des bâtons dans les roues de la future coalition, en menaçant de mettre des veto sur certains ministres, mais il ne pourra pas s’opposer au choix du Parlement.

    Un modèle politique à suivre pour la grande Allemagne ?

    https://fr.novopress.info/208512/a-linverse-de-lallemagne-federale-lautriche-avance-vers-une-alliance-a-droite/

  • L’arrestation de six nouveaux “réfugiés”-terroristes syriens en Allemagne survient au plus mauvais moment pour Angela Merkel

    réfugiés terroristes Syriens Allemagne
    C’est justement alors que les négociations pour former un nouveau gouvernement venaient de capoter sur la question de l’immigration que les Allemands apprenaient l’arrestation de six nouveaux « réfugiés » syriens soupçonnés de préparer une série d’attentats pour la date-anniversaire de l’attentat au camion sur un marché de Noël de Berlin. Un attentat qui a fait douze morts et plus de cinquante blessés en 2016 et qui a été commis par Anis Amri, un Tunisien lui-même arrivé illégalement en Italie en 2011 en tant que « réfugié ». Eh oui, désormais même les grands médias de gauche le reconnaissent, certes un peu tard, tel le “New York Times” : il y avait bien des terroristes parmi les migrants.

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