Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 1022

  • A l’attention des résistants d’hier et indignés d’aujourd’hui.

    Dans le Figaro, Jean-Marc Leclerc, spécialiste des sujets policiers et judiciaires, attire notre attention sur les contradictions de plus en plus visibles du système judiciaire en France. A propos du jeune Nicolas condamné à de la prison ferme pour avoir refusé de donner ses empreintes digitales et un prélèvement ADN alors que d’autres y échappent allègrement.

    Pourquoi ? Ils étaient de gauche, et syndiqués. « Quand je pense à tous les casseurs d’extrême gauche que nous avons remis dehors à l’issue de leur garde à vue, alors qu’ils refusaient de donner leur ADN ! », confie un préfet au journal. Le journaliste rappelle qu’à Roanne, en mai dernier, trois militants CGT condamnés pour « dégradation en réunion » avaient refusé le prélèvement ADN. Verdict ? Convocation en novembre prochain devant le tribunal correctionnel de la ville… On est bien loin de l’incarcération immédiate imposée au jeune Nicolas. « Le 18 avril dernier, à Tours, le président d’un club de promotion du cannabis en voie de dissolution a ainsi été condamné à du simple sursis pour refus de prélèvement de son patrimoine génétique », précise Jean-Marc Leclerc. Enfin, en 2009, les CGTistes coupables de voies de faits, courent toujours en liberté, malgré leur refus du fichage ADN. Pour Nicolas, c’est curieusement un autre traitement qui a été concocté par nos « Fouquier- Tinville au petit pied. « Si seulement il avait été syndicaliste ! », conclut le journaliste. Comme pour les casseurs du Trocadéro, non seulement on peut constater que notre police est une police politique, mais encore pour compléter le tableau totalitaire, notre justice de gauche dont le syndicat de la magistrature ne cesse de proclamer l’indépendance, est en réalité totalement inféodée au pouvoir idéologique. Pour mémoire le pôle juridique de la Manif pour tous précise que, 1000 arrestations et 600 gardes-à-vue parmi lesquelles nombreuses étaient celles qui dépassaient 24h, ont été enregistrées en quelques mois…Non seulement on est dans l’Idéologie sectaire et dominante, mais on est aussi dans une posture mesquine. Il ne fait pas bon être albatros au royaume des crabes si on ne garde pas suffisamment d’altitude.

    Il ne s‘agit pas ici, une fois de plus de se positionner dans le débat national escamoté autoritairement par le gouvernement, mais de se rappeler comment en 1940 quelques français amoureux de la liberté et de leur pays ont su prendre des décisions courageuses, alors que le pouvoir de l’époque leur enjoignait de rester sagement chez eux. La répression sauvage qui s’abat sur notre jeunesse de France manifestant avec le drapeau de la patrie en tête, semble particulièrement démesurée, tandis qu’il y a peu, les casseurs de la manif « Anti fa » du 26 juin à Paris semaient sur leur passage : bris de vitrines, chaos, haine et violence…Vous avez dit deux poids deux mesures ? Ce n’est pas ceux, qui étaient la jeunesse du pays, ardente et audacieuse, qui ont refusé de se soumettre à un pouvoir abusif en 1940, ceux qui se sont engagés avec la France libre étant aussitôt condamnés à mort par contumace pour haute trahison, qui accepteront les agissements de ce gouvernement vacillant et sectaire contre notre jeunesse d’aujourd’hui. Ce n’est certes pas eux, qui ont montré l’exemple, qui iraient frileusement se cacher derrière les convenances pour laisser maltraiter une jeunesse qui de toute évidence aime sa patrie. Nous vivons en effet un temps étonnant, où l’on voit des milliers de jeunes entonner la Marseillaise (qui n’est pas mon hymne préféré) et se faire charger par les CRS. J’en appelle aux anciens combattants, aux anciens volontaires, aux anciens résistants à ceux qui ont toujours placé la liberté de leur patrie au dessus de leur propre vie. Ces anciens qui sont une apostrophe permanente à nos contemporains. J’attends aussi de voir s’élever les voix des émules de Stéphane Hessel, de BHL, des associations de défense des droits de l’homme. Où sont-ils les démocrates attachés aux libertés fondamentales ? Ces bonnes consciences tarifées seraient elles influencées par les enjeux idéologiques ? Cela voudrait il dire que les droits humains ne s’appliquent qu’à ceux qui ont l’heur de « bien penser » ?

    Vous ne seriez en réalité que des donneurs de leçons sectaires à la solde d’une idéologie ?

    Allons messieurs les amateurs de « phrases historiques », qu’attendez-vous pour vous indigner ?

    Olivier Perceval http://www.actionfrancaise.net

  • Violation des libertés publiques : L’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe rappelle à l’ordre la Turquie, la France et la Suède

    Lors de la procédure dite de débat d’urgence, l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe a adopté ce 27 juin 2013 par 106 voix contre 15 et 14 abstentions une Résolution intitulée « Manifestations et menaces pour la liberté de réunion, la liberté des médias, et la liberté d’expression » (doc. 13258).

    Cette résolution dont l’objet initial était de dénoncer la répression des manifestations en Turquie a été étendue à la situation française et aux évènements ayant eu lieu à Stockholm. Par cette Résolution, « L’Assemblée déplore les récents cas de recours excessif à la force pour disperser les manifestants et réitère son appel aux autorités de veiller à ce que l’action de la police, si elle est nécessaire, reste proportionnée » ; elle demande en outre à ces Etats de respecter les droits et libertés.

    L’introduction dans cette résolution de la situation française fait suite à l’audience publique organisée le 26 juin 2013 à l’APCE à l’initiative du Parti Populaire Européen et du European Centre for Law and Justice, en présence notamment de Luca Volontè, député, de Ludovine de la Rochère, Présidente de la Manif pour Tous, de Béatrice Bourges, du Printemps française et de Madeleine et Jean-Baptiste, des Veilleurs. Durant cette audience fut présenté notamment un rapport présentant des témoignages de victimes de répressions policières.

    Addendum 15h : Le texte final de la résolution est publié. Le texte final est disponible sur le site de l’APCE.

    Lire ici le texte du projet initial de Résolution

    Le Salon Beige

  • Non aux milices islamistes en Europe

    13627b

    Les services français arrêtaient ce 24 juin, en région parisienne et puis le lendemain dans le sud de la France, divers praticiens de ce qu'on appelle couramment le djihadisme. Ils avaient commencé par des braquages et se préparaient à commettre de lourds attentats.

    Cela nous donne l'occasion de souligner ce qui se passe en ce moment outre-Manche. On se souvient qu'un jeune soldat, Lee Rigby, âge de 25 ans, originaire de Manchester, père d'un petit garçon de deux ans, a été froidement assassiné en pleine rue, le 22 mai, par deux camarades de combat – faut-il dire deux coreligionnaires ? – de ces individus.

    Les deux assassins sont décrits comme des citoyens britanniques "d'origine nigériane, élevés en tant que chrétiens et convertis à l'islam" (1). Des témoignages concordants soulignent que les assaillants criaient "Allahu Akbar". On se souviendra aussi qu'une femme très courageuse Ingrid Loyau-Kennett parvint à leur tenir tête.

    Or dans le camp des musulmans fanatiques il existe un courant d'approbation de ce crime.

    130627aSon principal porte-parole s'appelle Anjem Choudary, né en 1967 à Londres, interdit de séjour sur le territoire français. Le 4 juin il affirmait encore que la victime “brûle le feu de l'enfer". Ce personnage que l'on aurait tort de voir comme un vulgaire provocateur. Créateur du mouvement "islam4UK" (2) ce juriste, Pakistanais d'origine, on peut suivre ses messages sur Twitter. Ces textes peuvent sembler délirants : ils font suite à une série de prises de positions favorables aux attentats de Manhattan de 2001, de Londres en 2005, de Bombay en 2008, etc. Il prétend de la sorte convertir son pays d'accueil, en grande partie par la terreur.

    De ce point de vue il aura encore fort à faire. La réaction populaire des sujets de Sa Gracieuse Majesté depuis ce crime se montre actuellement virulente.

    Mais Choudary vient d'oser franchir un nouveau pas dans son appel à la violence. Sous prétexte d'autodéfense de la communauté musulmane, il vient de créer une organisation de "réponse flexible et islamique" à toutes menaces, vraies ou supposées, contre les "frères", appelée à essaimer dans tout le Royaume-Uni d'abord, sur le Continent ensuite.

    Le sigle est en lui-même tout un programme : IED, Islamic Emergency Defence IED cela signifie aussi, et cela fait référence aux "Improvised Explosive Device" – que nous traduisons en français par EEC engins explosifs de circonstance. Ces bombes artisanales détiennent le record des pertes infligées aux soldats britanniques en Afghanistan.

    Jusqu'à quand durera l'aveuglement des Européens ?

    Apostilles

    (1) cf. http://en.wikipedia.org/wiki/Death_of_Lee_Rigby

    (2) "L'islam pour le Royaume Uni"

    http://www.insolent.fr/

  • Chronique du terrorisme islamique : les autorités allemandes déjouent un attentat

    BERLIN (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – Outre Rhin, la lutte contre les filières islamistes se poursuit avec vigueur. La police allemande a procédé à la fouille de neuf locaux. Une enquête pour complot terroriste et blanchiment d’argent est ouverte.

    Aucune arrestation n’a encore été faite : les deux principaux suspects, des Tunisiens, sont activement recherchés.

    Ils auraient bénéficié de la complicité de cinq personnes, toutes d’origine maghrébine. Parmi eux se trouvent plusieurs étudiants de Stuttgart spécialisés en aéronautique. L’idée est plus originale qu’il n’y paraît à première vue. Loin de vouloir rééditer le 11 septembre, ces islamistes souhaitaient commettre leur attentat grâce à de petits avions télécommandés.

    Une autre personne était chargée de blanchir de l’argent afin de financer le jihad islamique international.

    http://fr.novopress.info/

  • 2 poids 2 mesures : un Turc ayant tué 2 patriotes français relâché au bout de quelques semaines

    Selon La Voix du Nord, Hüseyin Topkaya, chauffeur présumé de la voiture qui a renversé plusieurs personnes et tué Damien et Romain Vandaele (deux frères âgés de 20 ans à peine), a été libéré en fin de semaine dernière. « Une libération discrète ».

    David Mattéo, l’autre chauffeur, a été libéré le 11 juin dernier. Les deux principaux mis en examen sont donc désormais libres. Depuis le début de cette affaire (apparemment une querelle locale mal éclaircie), les deux principaux mis en examen affirment qu’il s’agit d’un accident et non d’un homicide involontaire.

    Pourtant, l’une des victimes rescapées affirme que la voiture a délibérément foncé sur eux.

    L’avocat de Hüseyin Topkaya avait déclaré à l’époque « mon client a donné un coup de main au nom de la communauté turque »…

    Source  http://www.contre-info.com/

  • « On va te trancher la gorge, sale Blanche »

    Madame Leterme a été victime en 2010 d’une persécution raciste lorsqu’elle habitait à Savigny-le-Temple (77). Elle raconte son histoire à Minute. Extraits :

    « Du jour au lendemain, elle a été rejetée, insultée, et le conflit a vite pris des proportions énormes, à tel point que j’ai fini par ne plus la laisser sortir dans le jardin clos, commun aux résidents du rez-de-chaussée. Les autres enfants la traitaient de sale fille de Blanche, de sale Française, lui disaient que sa mère était une sale pute, qu’elle n’avait rien à faire là, qu’elle n’était même pas une bâtarde… [...] 

    Au mois de mars, comme mes enfants recommençaient à sortir, nous avons reçu des menaces et des lettres nous incitant à partir, sous pei­ne d’être égorgés. Les agresseurs se sont aperçus que je vivais seule, ce qui les a rendus encore plus hostiles, et le fait que je ne les craignais pas n’a pas non plus joué en ma faveur. Je me suis rendue au commissariat pour déposer deux mains courantes, qui n’ont jamais rien donné. La situation est restée aussi tendue, les enfants d’une dizaine d’années venant jusqu’à mon portillon pour nous insulter, nous traiter de sales putes et de sales Blanches, jusqu’à ce soir du 30 juin, où, après une nouvelle altercation, des adultes sont intervenus pour effrayer ma fille, en lui disant qu’elle n’avait pas à se mélanger avec leurs enfants, qu’ici ils étaient chez eux et qu’ils allaient nous faire la peau.

    Nous sommes des provinciaux et mes enfants n’ont pas l’habitude d’entendre de tels discours de hai­ne. Terrorisée, elle s’est réfugiée chez nous. Mon ex-mari et un autre ami, venus fêter mon anniversaire, sont sor­tis pour discuter et se sont alors fait lyncher par sept individus, à coups de bâtons, de planches de bois et de casque. Mon ex-mari a eu un traumatisme crânien, le cuir chevelu ouvert et de multiples contusions, et notre ami une fracture ouverte à deux doigts. Ma fille et moi assistions à la scène. [...]

    Mes enfants étaient enfermés dans mon appartement et j’étais sortie pour accompagner les pompiers, qui prenaient en charge mon ex-mari et notre ami pour les em­mener au CHU de Melun. C’était la cohue, la jubilation to­tale, tout le monde trouvait normal que nous partions. Nos agresseurs m’insultaient et me menaçaient de mort devant les policiers, sans au­cune gêne ni crainte : ils m’ont dit qu’ils nous trancheraient la gorge, à ma fille et à moi : « Ne t’inquiète pas, on va te retrouver, tu ne seras pas toujours protégée, on va te trancher la gorge, sale Blanche, tu n’avais rien à faire ici… »

    Sur les sept hommes qui avaient lynché mon ex-mari et notre ami, trois seulement ont été interpellés et traduits en justice. [...] En dépit de casiers judiciaires chargés, ils ont été condamnés à des peines avec sursis, ou de moins de deux ans de prison fermes : ils ne seront donc pas emprisonnés. [...] »

    Source  http://www.contre-info.com

  • P. Scholl-Latour: “L’Occident s’allie avec Al-Qaeda”

    Peter Scholl-Latour, le grand expert allemand sur le Proche et le Moyen Orient s’exprime sur la guerre civile syrienne, sur le rôle de l’Europe et des Etats-Unis, sur le programme nucléaire iranien qui suscite bien des controverses...

    Entretien avec Peter Scholl-Latour

    PSLatour.jpgQ.: En Syrie, l’armée vient de reprendre un bastion des rebelles, la ville de Qussayr et a enregistré d’autres succès encore. Ces victoires représentent-elles un tournant dans cette guerre civile atroce, cette fois favorable à Bechar El-Assad?

    PSL: Jamais la situation n’a vraiment été critique pour le Président El-Assad, contrairement à ce qu’ont toujours affirmé nos médias. Il y a bien sûr des villages qui sont occupés par les rebelles; des frontières intérieures ont certes été formées au cours des événements mais on peut difficilement les tracer sur une carte avec précision. La Syrie ressemble dès lors à une peau de léopard. Aucun chef-lieu de province n’est tombé aux mains des rebelles, bien que bon nombre d’entre eux soient entourés de villages hostiles à El-Assad. Il est tout aussi faux d’affirmer que tous les Sunnites sont des adversaires d’El-Assad, et la chute d’une place forte stratégique aussi importante que Qussayr est bien entendu le fruit d’une coopération avec le Hizbollah libanais.

    Q.: Le Liban sera-t-il encore plus impliqué dans la guerre civile syrienne qu’auparavant? 

    PSL: Le Liban est profondément impliqué! Quand j’étais à Tripoli dans le Nord du pays, il y a trois ans, des coups de feu s’échangeaient déjà entre les quartiers alaouites et sunnites. La ville de Tripoli a toujours été considérée comme le principal bastion au Liban de l’islam rigoriste et, pour l’instant, on ne sait pas encore comment se positionneront vraiment les chrétiens. On peut cependant prévoir qu’ils en auront bien vite assez de la folie des rebelles syriens, dont le slogan est le suivant: “Les chrétiens à Beyrouth, les alaouites au cimetière!”.

    Q.: L’UE vient encore de prolonger l’embargo sur les armes contre la Syrie, vu que l’Europe ne montre aucune unité diplomatique ou stratégique. Peut-on considérer cette posture comme un prise de position inutile de la part de l’UE?

    PSL: Les Européens montrent une fois de plus une image lamentable, surtout les Français et les Anglais. Cette image lamentable, à mes yeux, se repère surtout dans la tentative maladroite des Français de prouver que le régime d’El-Assad utilise des gaz de combat, affirmation purement gratuite car il n’y a pas l’ombre d’une preuve. Cependant, les seuls qui auraient un intérêt à utiliser des gaz, même en proportions très limitées, sont les rebelles, car Obama a déclaré naguère que l’utilisation de telles armes chimiques constituerait le franchissement d’une “ligne rouge”, permettant à l’Occident d’intervenir.

    Q.: L’Occident pourra-t-il encore intervenir, surtout les Etats-Unis, même sans utiliser de troupes terrestres et en imposant militairement une zone interdite aux avions d’El-Assad?

    PSL: Les Américains ne sont pas prêts, pour le moment, à franchir ce pas parce qu’ils ne veulent pas s’impliquer encore davantage dans les conflits du Proche Orient et surtout parce qu’ils en ont assez du gâchis libyen. L’Occident a certes connu une forme de succès en Libye, en provoquant la chute de Khadhafi, mais le pays est plongé depuis lors dans un inextricable chaos dont ne perçoit pas la fin. En Cyrénaïque, plus précisément à Benghazi, où l’on a cru naïvement qu’un soulèvement pour la démocratie avait eu lieu, l’ambassadeur des Etats-Unis a été assassiné. On aurait parfaitement pu prévoir ce chaos car la Cyrénaïque a toujours été, dans l’histoire, la province libyenne la plus travaillée par l’islamisme radical.

    On a cru tout aussi naïvement que des élections allaient amener au pouvoir un gouvernement modéré et pro-occidental, mais on n’a toujours rien vu arriver... Les luttes acharnées qui déchirent la Libye sont organisées par les diverses tribus qui ont chacune leurs visions religieuses propres.

    Q.: L’Occident soutient les rebelles en Syrie tandis que la Russie se range derrière El-Assad. Peut-on en conclure que, vu les relations considérablement rafraîchies aujourd’hui entre l’Occident et la Russie, la guerre civile syrienne est une sorte de guerre russo-occidentale par partis syriens interposés?

    PSL: Bien sûr qu’il s’agit d’une guerre par partis syriens interposés: les Russes se sont rangés derrière El-Assad, comme vous le dites, de même que l’Iran et le premier ministre irakien Nouri Al-Maliki. La frontière entre la Syrie et la Turquie est complètement ouverte, ce qui permet aux armes, aux volontaires anti-Assad et aux combattants d’Al Qaeda de passer en Syrie et de renforcer le camp des rebelles. De plus, en Turquie, on entraîne des combattants tchétchènes, ce qui me permet de dire que l’Occident s’est bel et bien allié à Al-Qaeda.

    Q.: Quelles motivations poussent donc les Turcs? Sont-ils animés par un rêve de puissance alimenté par l’idéologie néo-ottomane?

    PSL: Selon toute vraisemblance, de telles idées animent l’esprit du premier ministre turc Erdogan. Mais, depuis peu, des troubles secouent toute la Turquie, qu’il ne faut certes pas exagérer dans leur ampleur parce qu’Erdogan est bien installé au pouvoir, difficilement délogeable, ne peut être renversé. Mais les événements récents égratignent considérablement l’image de marque de la Turquie, telle qu’elle avait été concoctée pour le public européen, celle d’un pays à l’islam tolérant, exemple pour tout le monde musulman. Cette vision vient d’éclater comme une baudruche. Mais les véritables inspirateurs des rebelles syriens sont les Saoudiens, dont la doctrine wahhabite est précisément celle des talibans.

    Q.: L’Autriche va retirer ses casques bleus du Golan. On peut dès lors se poser la question: la mission de l’ONU dans cette région pourra-t-elle se maintenir? Si la zone-tampon disparaît, ne peut-on pas craindre une guerre entre Israël et la Syrie?

    PSL: Pour les Israéliens, ce serait stupide de déclencher une guerre, ce serait une erreur que personne ne comprendrait car depuis la fin de la guerre du Yom Kippour, il y a près de quarante ans, il n’y a pas eu le moindre incident sur la frontière du Golan. J’ai visité là-bas les casques bleus autrichiens et ils ne m’ont pas mentionné le moindre incident. Aujourd’hui toutefois les échanges de tirs ont commencé et les groupes islamistes extrémistes s’infiltrent; il vaut donc mieux que les Autrichiens, qui ont l’ordre de ne jamais tirer, se retirent au plus vite.

    Q.: Mais alors une guerre entre Israéliens et Syriens devient possible...

    PSL: Israël a une idée fixe: la grande menace viendrait de l’Iran, ce qui est une interprétation totalement erronée. Si les rebelles ont le dessus en Syrie, Israël aura affaire à des islamistes sunnites sur les hauteurs du Golan. Bien sûr, on me rétorquera que le Hizbollah chiite du Liban est, lui aussi, sur la frontière avec Israël, mais il faut savoir que le Hizbollah est une armée disciplinée. Sa doctrine est aussi beaucoup plus tolérante qu’on ne nous l’a dépeinte dans les médias occidentaux: par exemple, dans les régions tenues par le Hizbollah, il n’y a jamais eu de persécutions contre les chrétiens; les églises y sont ouvertes et les statues mariales y demeurent dressées. Toutes choses impensables en Arabie Saoudite, pays qui est un de nos chers alliés, auquel l’Allemagne ne cesse de fournir des chars de combat... Nous vivons à l’heure d’une hypocrisie totale.

    Q.: Vous venez d’évoquer l’Iran: un changement de cap après les présidentielles est fort peu probable, surtout si la figure de proue religieuse demeure forte en la personne de Khamenei...

    PSL: On a largement surestimé Ahmadinedjad. Il a certes dit quelques bêtises à propos d’Israël mais dans le monde arabe il y a bien d’autres hommes politiques qui ont dit rigoureusement la même chose, sans que les médias occidentaux n’aient jugé bon de lancer des campagnes d’hystérie. Certes, le zèle religieux est bien repérable chez les Chiites d’Iran et, dans les villes surtout, le nationalisme iranien est une force politique considérable. Si un conflit éclate, l’Iran n’est pas un adversaire qu’il s’agira de sous-estimer.

    Q.: Le programme nucléaire iranien, si contesté, est aussi et surtout l’expression d’un nationalisme iranien...

    PSL: On ne peut prédire si l’Iran se dotera d’un armement nucléaire ou non. Mais on peut émettre l’hypothèse qu’un jour l’Iran deviendra une puissance nucléaire. Cela ne veut pas dire que l’Iran lancera des armes atomiques contre ses voisins car Téhéran considèrera cet armement comme un atout dissuasif, comme tous les autres Etats qui en disposent. L’Iran, tout simplement, est un Etat entouré de voisins plus ou moins hostiles et aimerait disposer d’un armement atomique dissuasif.

    Propos recueillis par Bernhard Tomaschitz.http://euro-synergies.hautetfort.com/

    (entretien paru dans “zur Zeit”, Vienne, n°24/2013).

  • De pareils monstres ont-ils le droit de vivre ? par Manuel Gomez

    Tous les experts psychiatres s’accordent aujourd’hui pour affirmer que Mathieu M. est un psychotique, un pervers et d’une dangerosité majeure. Dans un langage « Rabelaisien » on dirait : « Quand on voit les c……. on dit que c’est un mâle ».
    Il a fallu qu’il viole, assassine de 17 coups de couteau et carbonise une jeune fille de 13 ans, Agnès, pour qu’ils en arrivent à cette conclusion. Est-il besoin d’être un expert pour parvenir à une telle évidence ?
    Après avoir déjà violé, sous menace d’un couteau, et traumatisé à vie une autre jeune fille, Julie, en son village de Noges-et-Solorgues (Gard) en août 2010, Mathieu est libéré après quatre mois de détention provisoire, en novembre 2010 (sous soi-disant contrôle judiciaire !) car considéré comme « non dangereux » par l’expert psychiatre le Dr Claude Aiguesvives.
    Est-ce que ce médecin, est-ce que les juges, est-ce que tous les magistrats qui en avaient la responsabilité, ne se sentent pas complices des atrocités subies par Agnès ?
    Passons sur les détails qui ont conduit Mathieu M. à rejoindre l’établissement cévenol de Chambon-sur-Lignon (dissimulation du père, non présentation du dossier de suivi médical, etc.)
    Mathieu va probablement être condamné à une très lourde peine mais il est jeune et sortira un jour.
    Aura-t-il été soigné afin qu’il ne récidive pas ?
    Aura-t-il été castré chimiquement ?
    Aura-t-il été « lobotomisé », comme cela se pratiquait à l’époque, avant les années 50 ?
    Certainement pas… nous ne sommes pas des sauvages !
    Il ne faudrait pas que la fille, ou la petite fille, de l’un de ces experts, juges, magistrats, etc. tous complices de l’assassinat d’Agnès, croise le chemin de cet être malfaisant quand il sera libre de sévir de nouveau car leur analyse sera certainement différente !
    Un monstre pareil a-t-il le droit de vivre ?  Éternelle question.
    Je ne sais pas si la peine de mort est dissuasive mais ce dont je suis certain c’est qu’elle nous débarrasserait de ce monstre à tout jamais.
    Mais ne sommes-nous pas des humains civilisés ? Alors laissons-leur le droit de vivre pour qu’ils puissent récidiver.

  • De la Marche des Beurs à celle de leurs victimes

    L’occasion était trop belle pour les épigones d'Harlem Désir. Rester sous le boisseau, le projet cinématographique consacré à ce que les média du Système a appelé La Marche des beurs (une sorte de manifestation très encadrée et interminable organisée en 1983 à la suite des événements de l'été de la même année aux Minguettes dans la bonne ville de Vénissieux près de Lyon) a facilement trouvé preneur puisque le réalisateur Nabil Ben Yadir s'est lancé dans l'aventure, assurément lucrative (puisqu'il jouira certainement d'une publicité monstre), en engageant comme acteur vedette l'allogène primesautier Jamel Debbouze. Trente ans après cette mascarade de pleurnicheries publiques, les Français résiduels seront-ils aussi sensibles au discours prétendument antiraciste (pour la plus grande joie du gouvernement en place et des agitateurs cosmopolites) ?
    LA MARCHE POUR L'ÉGALITÉ ET CONTRE LE RACISME OU UNE HOUTZPA DE "RÊVE"...
    La démonstration de force orchestrée par les agents de la dissolution de notre nation le 15 octobre 1983 constitue un véritable horion balancé dans la face du peuple blanc autochtone dont la candeur politique a atteint apparemment son acmé. Comment les petites familles françaises Martin, Dupont, Cordonnier, Faure, Durand ont-elles pu se faire avoir de la sorte ? Comment une telle masse de Français a-t-elle  pu  prendre  pitié d’une population qui avait d'emblée fait la preuve de « ses capacités » ? Pendant l'été 1983, la bonne jeunesse beurette, émoustillée par un climat torride lui rappelant quelque inclinaison atavique, se mit à faire un gros bazar dans la cité. La police intervint et dérangea une faune qui avait pris goût à la pratique du rodéo urbain et d’une manière générale à la violence tous azimuts confrontation avec la police ressembla à un nouveau jeu urbain inventé par des "jeunes" considérant la France comme un immense terrain vague où tout était permis. La police pensait encore avoir le droit de se défendre (avec prudence) contre la délinquance allogène il y a trois décennies. Les autorités systémiques en avaient décidé autrement. L'Engeance médiatisa intensivement un petit bobo et l'hospitalisation de Toumi Djaïda, un responsable associatif qui s'était mêlé à la petite guérilla menée contre des « forces de l'ordre » qui ne bastonnaient pas encore des familles placides lors de manifestations de salubrité publique. Les "jeunes" surexcités redoublèrent alors de violence pour protester, selon le média propagandiste, contre le racisme de la police et de la société blanche, « cette salope » (vocable utilisé aujourd'hui sans compter par les rappeurs "revendicatifs" de nos cités). Alors que la néo-barbarie mise en pratique par une myriade de xénopithèques aurait dû être flagrante pendant cet épisode de violences, ce fut paradoxalement le moment choisi par l'énorme machine de guerre propagandiste et de toutes les forces confédérées du métissage pour prôner, en pleurnichant sur les ondes, le combat absolu contre l'intolérance, la "xénophobie", le chauvinisme...
    L'ANTIRACISME COMME PROGRAMME POLITIQUE...
    L'année 1983 constitue en effet une période charnière de l'histoire politique récente de notre malheureuse nation. Non pas parce qu'un guignol mulâtre a remporté, il y a exactement trente ans, le tournoi de tennis de Roland-Garros malgré une coupe de cheveux agaçante et épouvantable. Quoique ce succès pesât d'une manière subliminale sur l'explosion du sentiment antiraciste en France. Les ménagères, téléspectatrices et étudiantes boutonneuses ne furent-elles pas abusivement émues lorsqu'elles virent le grand coloré se jeter dans les bras de son papa camerounais ? Comment les "racistes" pouvaient-ils être si fermes vis-à-vis de la question immigrée alors qu'un tel talent a origine étrangère avait le don de les émoustiller ?
    Mais l'idéologie antiraciste n'était plus seulement ce vernis logique utilisé par les petites Françaises effarouchées et les jocrisses bernés par la télévision. Elle devenait d'une importance vitale pour toute une gauche qui avait failli sur le plan économique. Incapable de juguler le chômage massif qui touchait déjà toutes les populations hexagonales, la gauche et Mitterrand mirent l'accent sur des thématiques sociétales afin de rassembler une jeunesse écervelée et séduite par la geste théâtrale de Jack Lang, la musique festive, l'anarchisme de papier, le mélange des races, une sexualité débridée malgré un SIDA qui devait hanter tous les cerveaux, la légèreté momentanée d'une existence sans transcendance malgré leur Shoah vénérée, et la fumette cannabique malgré les méfaits du tabac exposés dès l'école primaire. Cette jeunesse était toute prête à s'engager culturellement, idéologiquement, politiquement, religieusement, pour promouvoir, défendre, enrichir les hordes d'allogènes qui déferlent chez nous depuis 40 ans et l'instauration de ce funeste regroupement familial qui signa la colonisation effrénée de notre terre. Aussi n'est-ce pas un hasard si la création de SOS-Racisme suit de peu la Marche des beurs... et l'enterrement de la politique dirigiste du pouvoir alors en place. Remarquons, en passant, que pour fonctionner à plein régime, c'est-à-dire pour que la nécessité apparente de l'idéologie antiraciste semblât évidente et impérieuse, le Système médiatisa comme jamais un Front National encore balbutiant, parti réifiant la menace raciste et l'intolérance dénoncées par les jeunes et les progressistes à la manette. Avant même la création officielle de SOS-Racisme, les méthodes, utilisées ensuite par Harlem Désuet ses acolytes pour asseoir leur magistère moral sur la société, étaient appliquées ; d'une manière, certes, moins systématique.
    PAS D’ANTIRACISME SANS RACISME OSTENTATOIRE
    Jouissant d'un monopole médiatique fort précieux, les antiracistes (dont les responsables sont, dans leur immense majorité, juifs) ont arrosé les journaux télévisés et radiophoniques de faits divers impliquant une victime ou une prétendue victime frisée. Une bousculade, une claque, une bagarre pluriethnique et hop les racistes fantasmes sont convoqués ! Momo est tombé de sa mobylette ? C'est un crime raciste ! Mouloud n'a pas de boulot ? C'est la faute à Jean-François ! Mamadou n'a pas de petite amie ? Un scandale raciste évident révélant l'égoïsme des Françaises et des blondes qui refusent de tripoter l'ébène ! Et puis, il y a les drames savamment utilisés par les orfèvres de la désinformation. C'est bien opportunément que se produisit pendant la marche sur Lyon (La Marche des beurs prit son départ à Marseille avec une trentaine de participants pour finir à Lyon avec plus de mille fanatiques antifrançais), une stupide agression dans le train Bordeaux- Vintimille perpétrée par trois candidats légionnaires qui balancèrent du wagon un jeune Algérien qui décéda sur le coup. Le média obèse s'est gavé de cette sordide histoire mais en la garnissant de sa mayonnaise maison. Les agresseurs étaient présentés comme des Gaulois de souche, racistes et nationalistes alors qu'au moins deux sur trois sont juifs (l'un d'entre eux a d'ailleurs envoyé une lettre au Nouvel Observateur en 1986, une semaine avant son procès, dans laquelle il explique que le juif qu'il est ne peut se pardonner...). La propagande orchestrée autour de cet homicide galvanisa les immigrés et leur progéniture. Roger Hanin, acteur israélite, en fit même un film dans lequel il effaça, éhonté, la judaïté des tueurs pour les grimer en nationalistes et militants investis... Les promoteurs de la future association SOS-Racisme ne pouvaient rêver meilleur "lancement" ! Tout était parfaitement millimétré ! La manifestation était encadrée par le pasteur Jean Costil et l'obscur curé, star de la messe dominicale sur France 2, Christian Delorme (le 4 juin 2008, Delorme publie une tribune incroyable intitulée « Non, l'Algérie n'est pas antichrétienne » dans le journal Le Monde. Celle-ci justifie tout simplement les mauvais traitements dont sont victimes des chrétiens en Algérie. En 1975 il est "l'avocat" des prostituées qui occupent l'église Saint-Nizier à Lyon ). Comme on le voit, l'antiracisme captieux amène à la détestation de soi et au suicide collectif.
    TRENTE ANS APRÈS, LES MINGUETTES, C'EST LA FRANCE !
    Dernièrement (le premier juin dernier), ce n'est pas à une manif contre le "racisme-assassin" à laquelle se sont adonnées des centaines d'habitants des quartiers nord de Marseille. Non, non... Aucune trace de racisme dans les meurtres et autres exécutions commis par des Beurs de Marseille. Juste une volonté de contrôler un territoire pour vendre plus de drogue, plus d'armes, plus de "filles". Les caïds canardent partout, tuent où ils veulent, quand ils veulent, qui ils veulent. Il est assez compréhensible que les Phocéens et les allogènes vivant cette puissante insécurité se rassemblent pour clamer leur fatigue, leur crainte de voir leurs gosses tués par ricochet ou par vengeance. Il est logique que cette petite population rassemblée ne condamne point l'immigration-invasion, ne la désigne pas comme la principale cause de la délinquance explosive qui contribue, aussi, à « tiers-mondiser » des pans entiers de notre territoire. Initialement, les habitants en colère voulaient manifester pour que le ménage soit fait dans la cité, pour que les assassins soient tous retrouvés (avant d'être tués à leur tour ?). Mais les organisateurs ont eu la drôle d'idée d'ajouter à ces revendications spontanées des slogans débiles prônant « l'égalité des droits et de traitements pour tous et partout. » Que cela signifie-t-il ? Les victimes des règlements de compte médiatisées aujourd'hui seraient-elles aussi et surtout, seraient-elles d'abord, les victimes d'un racisme insidieux relevant d'un défaut de solidarité nationale à l'endroit de ces quartiers abritant moult étrangers ? Les assassins seraient-ils devenus ce qu'ils sont à cause d'une Education nationale défaillante, qui ferait donc preuve d'un pareil racisme ? Bientôt, soyons-en assurés, des sociologues conformes stigmatiseront les derniers blancs de Marseille, et de la France entière, ces privilégiés égoïstes qui ne sont pas concernés par les règlements de compte et par le gros trafic de drogue. Pourquoi les Blancs ne crèveraient-ils pas à l'instar des Beurs sur les trottoirs puants des zones urbaines ? Pourquoi l’espérance de vie de Rachid ou de Mustapha est-elle plus courte que celle de Jean-Baptiste ou de Christophe dans les quartiers populaires de Marseille ?
    PROPAGANDE D'EXTERMINATION CONTRE LES "SOUCHIENS"
    Force est de constater que la marge de manœuvre de l'homme blanc pour se sortir d'une situation socialement et racialement critique, voulue par l'Engeance qui nous gouverne, est fort étroite. Une médiasphère soucieuse de préserver au jour le jour un climat antiraciste, antifasciste, shoatique, cosmopolite, féminin, souvent gnangnan, qui ne favorise pas vraiment la naissance de grands combattants identitaires. Les nationalistes, qui ont été capables de percevoir l'immonde réalité politique du système les entourant et qui se sont engagés héroïquement dans la lutte les opposant à cette engeance de mort, agissent constamment sur le fil du rasoir. Nous voyons, en ce moment même, les conséquences médiatiques, politiques, et demain, peut-être, judiciaires et juridiques, d'une agression gauchiste contre de placides fafs qui a mal tourné précisément du fait de la brutalité des premiers ! Fafs qui auraient dû, si l'on écoute le média proprement démoniaque, se laisser violenter tranquillement comme de vieilles gaupes échevelées et édentées. Ou même se laisser suriner, comme cela se produit régulièrement en Hexagonie...
    Nous retrouvons la même logique assassine lors des agressions commises par des Arabes ou des Noirs à rencontre d'honnêtes citoyens blancs. Si les allogènes tuent le souchien, la presse, les média n'en parlent pas ou si peu. Mais si, par chance, l'agressé parvient à parer les coups des délinquants africains ou à les neutraliser en en blessant un plus ou moins grièvement, alors l'église universelle de l'antiracisme obligatoire se lève et déverse son ire jusqu'à la mortification la plus complète du rescapé qui n'en peut mais. Hier encore, le décès du jeune homme, Gadzart (étudiant de l'école d'ingénieur des Arts et Métier (CNAM), en l'occurrence de Chalon-en-Champagne) de 22 ans, François Noguier, la France pour une raison dérisoire, montre, s'il le fallait, la pertinence de cette macabre réalité. Hollande, Ayrault, Valls, Le Monde, TF1, et j'en oublie, ont-ils pleuré sur le sort de cette véritable chance pour la véritable France ? Evidemment non. On ne va pas en faire un fromage.
    François-Xavier ROCHETTE. Rivarol du 14 juin 2013