Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1515

  • Peur de l'amalgame : les autorités allemandes ont voulu que les agressions soient connues le plus tard possible

    Jean-Louis Thiériot est avocat, spécialiste du droit franco-allemand, et historien, déclare au Figarovox à propos des agressions sexuelles en Allemagne :

    "Il y a eu une volonté délibérée des autorités pour que les agressions soient connues le plus tardivement possible. Des excuses ont aujourd'hui été données par certains médias allemands pour cette raison. Il y existe également une auto-censure autour d'un sujet aussi sensible. Par peur des amalgames, certaines choses n'ont pas été dites."

    La presse allemande parle désormais de plus de 167 plaintes :

    Image

    Michel Janva

  • Lettre ouverte à Riss : « Attention Charlie, pas d’amalgame !… »

    charlie-em-231x300-4b0ef.jpgTu es content Riss, tu vas tirer à un million d’exemplaire. C’est une belle opération. La une de Charlie Hebdo montre un Dieu que l’on voudrait représentatif de toutes les religions s’enfuyant avec un sourire sardonique, une Kalach à l’épaule avec en titre : « l’assassin court toujours ». On peut comprendre ta rage, Riss, auteur de cette première page et de l’article au vitriol qui l’accompagne, en tant que survivant blessé de la tuerie qui endeuillât le journal et la France entière il y a un an.

    Mais la colère, qui peut être saine, ne doit pas faire perdre la raison ou pire, nourrir des sentiments de haine recuite servant tes années de révolte « alimentaire ». Peut être que tu te souviens d’un dossier publié dans Marianne il y a quelques années où il s’agissait aussi d’expliquer la violence guerrière uniquement par les religions. Pourtant, nous quittons un vingtième siècle où les plus grands conflits, ceux qui firent des morts par millions, ont été motivés par la suprématie raciale ou la dictature matérialiste du prolétariat. Point de religions belliqueuses à l’horizon. Hitler, Staline, Mao, Pol Pot… Qui ont été soutenus en leur temps par les intelligentsias occidentales, étaient tous des athées bouffeurs de curés. Il est dans l’habitude des hommes, quand ils subissent la violence et l’injustice de se tourner vers un Dieu qu’ils ne connaissent pas, pour demander pourquoi et de le rendre responsable de tous nos maux. C’est une grande interrogation humaine que l’on retrouve dans beaucoup d’œuvres littéraires, en particulier dans Camus. Sommes nous victimes d’un Dieu malveillant, où tout au moins indifférent à nos souffrances ? Mais si nous voulions raison garder, nous serions bien inspirés de regarder en face la responsabilité humaine dans ces manifestations de violence. D’abord, il serait injuste de renvoyer dos à dos ceux qui sont qualifiés avec un traitement égal de fanatiques religieux. Les chrétiens du moyen orient qui sont persécutés, assassinés, les femmes violées et éviscérées, les vieillards et les enfants abattus ou décapités ne peuvent être placés sur le même banc des accusés que leurs bourreaux. Car si effectivement, une violence religieuse aujourd’hui se manifeste, c’est d’abord des croyants « non conformes » qui en font les frais. Quelles sont les responsabilités de l’Occident athée, ou pour le moins relativiste, sur la question religieuse, dans les conflits armés qui ont embrasés le moyen Orient et une partie de l’Afrique ? Qui a détruit et plongé dans le chaos, l’Irak, la Lybie, la Syrie ? [...]

    La suite sur Le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Lettre-ouverte-a-Riss-Attention

  • Allemagne : les médias officiels et les autorités ne peuvent plus cacher l’ampleur des agressions sexuelles commises par les immigrés

    Source : Daily Mail

    Au journal de 19 h lundi dernier, la chaîne publique ZDF a présenté ses excuses pour avoir totalement passé sous silence les dizaines d’agressions commises sur des Allemandes par des immigrants illégaux rassemblés en meutes à Cologne, Stuttgart et Hambourg lors du réveillon du Nouvel An.
    Il s’agit pour la chaîne d’une « négligence », mais connaissant sa ligne rédactionnelle ouvertement pro-immigration tous les doutes sont permis.
    D’autres journaux comme le Spiegel avaient déployé une grande ingéniosité rhétorique pour éviter de mentionner les origines ethniques des agresseurs, en parlant de « non-blancs » ou de « jeunes d’apparence étrangère ».
    Mais les témoignages des victimes ont déferlé sur les réseaux sociaux et il était impossible de cacher plus longtemps la réalité au public.
    Une jeune victime de 18 ans est même apparue à visage découvert sur une chaîne de télévision privée, N-TV, pour raconter son calvaire :

    Vers 23 h, nous étions à la gare principale pour voir le feu d’artifice, et c’est alors que nous avons d’abord remarqué tous ces hommes qui se trouvaient autour de nous.
    Nous avons réussi à entrer dans la cathédrale et je voulais passer devant le Musée Ludwig pour rejoindre tout le monde et regarder le feu d’artifice au bord de la rivière, mais tout à coup nous nous sommes retrouvées entourées par un groupe de 20 à 30 hommes. Ils étaient agressifs, et nous nous sommes serrées entre nous pour évite qu’une d’entre nous soit isolée au milieu de cette meute. Ils nous ont touchés partout et nous avons essayé de nous enfuir aussi rapidement que possible.
    Dans notre fuite avec tous ces attouchements ces hommes en ont profité pour voler des objets dans leurs poches et nos sacs comme des portables et des portes-monnaies.

    Elle mentionne aussi des hommes qui tiraient des fusées sur la foule près de la gare.

    118 femmes ont pour l’instant déposé des plaintes pour violences et vols dans 3 villes selon la police qui a clairement indiqué que 2000 agresseurs d’origine ‘arabe ou nord-africaine’ étaient impliqués dans ces attaques.
    Hier soir une manifestation de 300 femmes s’est tenue à Cologne pour protester contre ces violences sexistes et l’inaction des autorités.
    Le conseil municipal de la ville a enfin réagi et admit qu’il y avait maintenant une zone de ‘non-droit’ le soir et la nuit en plein centre de la ville, spécialement pour les femmes, mais qu’il ne fallait surtout pas instrumentaliser ces événements et que ces zones avaient toujours été propices à des actes de délinquance.
    De son côté la maire de Cologne Henriette Rekeryor, très active dans l’accueil de nombreux ‘réfugiés’ a suggéré que les femmes doivent être ‘mieux préparées’ pour ce genre d’incidents et que la ville allait publier des informations concernant l’attitude à avoir en cas de problème.
    Cette réaction a provoqué l’indignation d’une partie de la population qui critique aussi le silence d’Angela Merkel sur ces événements.
    Un autre journal national, le Bild, a publié le témoignage de jeunes écolières agressées en pleine foule par une horde de Nord-Africains qui les avaient entourées jusqu’à ce que leurs cris ameutent des Allemands alentour.
    En fait les autorités et les politiciens pro-immigrations craignent que l’immense fête du carnaval de Cologne qui doit avoir lieu le mois prochain soit le théâtre de débordements de masse de la part des milliers d’immigrants arrivés récemment et retourne l’opinion contre une politique pro-immigration soutenue par les partis au pouvoir.

    http://fr.novopress.info/196696/allemagne-les-medias-officiels-et-les-autorites-ne-peuvent-plus-cacher-lampleur-des-agressions-sexuelles-commises-par-les-immigres-illegaux/#more-196696

  • GPA : comment le sophisme juridique est en train d'installer le marché mondial des esclaves

    Marie-Anne Frison-Roche est professeur d’université, actuellement professeur titulaire à Sciences Po (Paris). Ses travaux portent principalement sur la régulation mais aussi sur la justice et sur la théorie générale du droit. Elle publiait le 29 décembre sur son blog l'article dont voici des extraits ci-dessous, où elle démontre que les sophistes se sont emparés du droit pour le tordre et lui faire admettre la gestation pour autrui (GPA), en employant le discours de la séduction. Le texte est un peu long, mais il est difficile d'en couper des parties sans nuire à l'articulation de l'argumentation. Pour le lire vraiment in extenso, il vaut mieux aller sur le blog de l'auteur.

    [...] "1. La première étape de sophistique juridique a consisté à transformer les auteurs de la violation de la Loi civile et pénale en victimes. Ce ne sont donc pas les agences qui vont saisir les juges mais  des personnes désespérées de n'avoir pas d’enfant alors même qu'elles auraient voulu en avoir, après avoir tout essayé, la voie médicale, puis la voie juridique de l'adoption. Ces demandeurs d'enfants, qui se seront comme "résignées" à faire une maternité de substitution vont saisir le juge "en désespoir de cause". Ces requérants vont apparaître aux yeux des juges, mais aussi aux yeux des médias et de l’opinion publique, non pas comme ceux qui violent la Loi (ce qu’ils font pourtant), non pas même comme des esclavagistes, mais comme des victimes, puisque le cas particulier choisi sera celui d’un couple malheureux ne n’avoir pas d’enfant, frappé d’une infertilité due à une maladie sans espoir de guérison. C’est donc avec le visage de victimes que la demande contrariant la position de la Loi va être faite.

    Qui voudrait les blesser une nouvelle fois en leur reprochant la violation qu’ils font du Droit, alors qu’ils souffrent déjà tant ? Ceux qui voudraient contrarier une telle demande apparaîtront comme des "sans-coeur" à l'égard d'une pauvre épouse, déjà si éprouvée d'être frappée d'une maladie incurable.

    Le thème de la "dureté de coeur" est ainsi introduit pour que le jugement moral s'inverse [...] Grâce à ce premier sophisme juridique, c'est celui qui veut faire obstacle à la convention de GPA qui "manque de cœur" et non plus celui qui y recourt. 

    C’est ainsi que les époux Mennesson obtiennent gain de cause contre la France par l’arrêt CEDH du 26 juin 2014.

    2. La deuxième étape de sophistique juridique a consisté à transformer en allié la principale victime de l’opération. En effet, l’enfant « cédé » est en cela traité comme de la matière première, ce qui est contraire à son droit le plus fondamental, lequel consiste à être toujours traité en « personne ». Retourné comme un gant, l’enfant devient argument et c’est au nom de l’enfant que l’on affirme qu’il a un « droit à » avoir un parent. Faisant toujours parler l’enfant cédé, l’on évoque son innocence et son cas particulier pour obtenir que, malgré le fait qu’il n’a été conçu et mené jusqu’à la naissance que pour cédé à ceux qui l’ont commandé, le lien biologique à l’égard de l’homme qui l’accueille, son père donc, suffit à justifier l’obligation du Droit à reconnaitre la filiation. Qui pourrait reprocher de la malice à un nouveau-né ? En outre, que dire contre la réalité factuelle et première du lien biologique ? C’est la ratio decidendi des 2 arrêts d’Assemblée plénière du 3 juillet 2015.

    3. La troisième étape de sophistique juridique a consisté à faire disparaître la mère de l’enfant. Cette troisième étape est à la fois requise et très délicate pour les promoteurs du marché des femmes et des enfants. En effet, par le contrat les agences ont dès le départ obtenu que les mères consentent à renoncer à leur statut de mère vis-à-vis de l’enfant qu’elles remettront à la naissance à ceux qui en ont demandé la fabrication. Mais dans la stratégie globale, du fait même que la victoire précédente a été obtenue grâce à l’argument du « lien biologique » entre l’homme qui a demandé à la fabrication de l’enfant et celui-ci, comment ne pas subir un effet boomerang et échapper à reconnaître que ce qui vaut pour l’un (le père biologique) vaut pour l’autre (la mère biologique qui a porté l’enfant) ?

    Le contrat qui a pendant quelques années suffi pour prétendre que la mère n’est rien puisqu’elle a consenti à n’être rien, ne peut plus suffire, en raison même de la victoire dans l’étape précédente de cette avancée méthodique. Il faut donc passer à la quatrième étape. Elle est en train d’être franchie.

    4. La quatrième étape de sophistique juridique consiste à faire apparaître le « parent » comme seul acteur, jetant ainsi un voile opaque sur le père et la mère, qui disparaissent. La mère doit disparaître pour de bon, et pas seulement par son consentement. Il faut aller plus vite au but.

    La mère est en effet à la fois celle dont on ne peut se passer pour obtenir l’enfant biologique tant désiré et celle dont on voudrait tant qu’elle n’ait jamais existé, à l’instant où l’enfant parait, en sortant de son corps. Pour cela, il faut convaincre les juges et l’opinion publique que les enfants ne viennent pas au monde d’un père et d’une mère mais de deux « parents » qui ont un « projet commun d’enfant ». De cette « coparentalité » nait l’enfant. La façon « matérielle » dont celui-ci vient relèverait finalement d’une affaire de cuisine, intendance dont les agences vont se charger. C’est si bien présenté : l’enfant venant au monde par la seule force de l’amour des personnes qui désirent sa venue, le lien biologique devient alors secondaire, voire indifférent. La Cour européenne des droits de l’homme récuse certes ce discours magique, mais il vient d’être admis par une ordonnance du juge des référés de Nantes du 3 décembre 2015, qui demande à l’Etat français de transcrire une filiation à l’égard de l’épouse du père biologique, du seul fait qu’elle a eu l’intention d’avoir l’enfant. La mère qui a porté l’enfant n’existe plus, n’a jamais existé. Pour mieux la destituer, puisque le contrat n’y suffit pas, on lui trouve une nouvelle appellation : face aux « parents », elle serait devenue la « porteuse », la « donneuse ». Comme l’expression de « donneuse d’enfant » révèlerait que l’enfant est cédé comme une chose, pour blanchir la cession d’humain, l’invention sophistique de vocabulaire la fait appeler : « donneuse de gestation », le corps de la femme se scindant par la magie des mots. Mais le ministère public a fait appel de l’Ordonnance. Comment faire taire le Ministère public ? Il faut passer à la cinquième étape.

    5. La cinquième étape de sophistique juridique consiste à faire taire le Droit en le constituant comme  « homophobe ».  Le sophiste ne cherche pas la contradiction, il cherche à réduire au silence celui qui contrarie son but.  Alors que les cas choisis pour être portés en justice et attirer la piété sur les demandeurs d’enfants  concernent des couples hétérosexuels frappés par une stérilité médicalement constatée, lorsque des personnes affirment être hostiles à des telles conventions de maternité de substitution, leurs arguments sont discrédités par le discours suivant : les « porteurs de projet d’enfant » sont souvent des couples homosexuels masculins. Du fait de leur type de relations sexuelles, ils sont aussi « comme stériles », puisqu’ils ne peuvent avoir d’enfant. Une fois cela admis, il suffit d’ôter le « comme » : une « stérilité sociale » exercerait la même contrainte que la stérilité physique. C’est alors au titre du principe constitutionnel de « l’égalité », celle entre les couples, que la GPA devrait être envisagée. Toute autre perspective devrait être exclure, car toute autre analyse est … homophobe. En effet, si le Droit contrarie les couples homosexuels masculins dans leur désir d’avoir des enfants, c’est la preuve que le Droit lui-même implicitement mais nécessairement est hostile aux couples homosexuels. Les personnes favorables à l’état actuel du Droit sont elles-mêmes homophobes. L’argument est très puissant car qui voudrait être désigné comme homophobe, agissant pour le maintien d’un principe homophobe ?

    Ainsi, de la première à la cinquième étape, l’efficacité sophistique a réussi à faire oublier qu’il s’agit de la dignité des femmes et des enfants, qu’il s’agit de les défendre eux ; le terrain de la discussion a glissé là où les défenseurs des femmes et des enfants ne peuvent que s’enferrer : l’homophobie et l’égalité entre les hommes et les femmes. Si l’on demande : « êtes-vous pour la GPA, c’est-à-dire contre la dignité de la femme et de l’enfant ?», la réponse ne pourra être que « Non ». Mais désormais la question est : « êtes-vous pour la GPA, c’est-à-dire contre l’homophobie ? », la réponse ne pourra être que « Oui ».Tout est dans l’art de poser la question.

    6. La sixième étape de la sophistique juridique est dans l’argument de la « dérive ». Il s’agit de soutenir que les « usines à bébés », les ventes d’ovocytes et de gamètes pour n’avoir que des enfants correspondant à des vœux eugéniques, la multiplication des agences, sont des « dérives ». Il convient dès lors d’admettre le principe de licéité de la pratique des conventions et de les encadrer, par une législation confiant cette « régulation » à des régulateurs publics, dans un service public ou à des juges, en exigeant des critères éthiques.  Ainsi, les personnes qui demeurent réticentes à abandonner la prohibition des contrats par lesquels les mères cèdent leur enfant lâchent prise : s’il s’agit d’un « don magnifique » qui offre le bonheur à l’enfant et au couple qui le désire tant, sans que l’argent ne vienne salir cette harmonie, pourquoi pas ? Cette sixième étape permet de rendre admissible l’idée même de fabriquer l’enfant à fin d’être cédé. Elle prépare l’industrialisation de l’humain. L’argent viendra après. Le Législateur britannique envisage d’ailleurs de passer à la GPA « commerciale » car l’idée d’un « droit à l’enfant » a été si bien répandue qu’il convient maintenant de susciter l’offre et de transformer la « compensation financière » en prix pur et simple. Mais cela, cela sera la septième étape.

    Voilà comment par une stratégie juridique qui pour l’instant fonctionne, les entreprises, en ne s’appuyant que sur des cas, que sur des juges et sur l’opinion publique, sont en train d’installer le marché mondial des esclaves.

    Que doit-faire le Droit ?

    Le Droit doit faire face au Sophiste. Le Droit doit en premier lieu « dévoiler », c’est-à-dire montrer le plan servi par cette stratégie, lequel révèle le visage du sophiste, ici les entreprises qui construisent le marché du matériel humain. Puis le Droit qui a pour fonction et légitimité de protéger la dignité humaine, doit parler et dire : Non."

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’andouille du jour est Nadia Hamour (LR), qui veut remplacer le voile islamique par un bonnet phrygien

    Comme une candidate de télé-réalité, Nadia Hamour semble prête à n’importe quoi pour qu’on parle d’elle. Chargée de l’intégration des Républicains, elle pense qu’il suffira de coiffer les musulmanes d’un bonnet phrygien pour en faire des républicaines.

    Pour Nadia Hamour, secrétaire nationale chargée de l’intégration des Républicains «Les musulmanes peuvent remplacer le voile par un bonnet phrygien. Ça en ferait des républicaines, la République se baladerait partout dans les rues». Oui, enfin, si l’on met des lunettes à un âne, ça n’en fera pas un intellectuel et si l’on coiffe Nadia Hamour d’un lampadaire, ça n’en fera pas une lumière pour autant…

    C.D.

    http://fr.novopress.info/

  • Quand l’obscurantisme des « Lumières » nous aveugle !

    A partir de l'article du sieur Frédéric Lewino sur le Moyen Age, publié dans Le Point pourrait être écrit un « discours de la méthode » de manipulation des médias aujourd'hui. Il s'agit d'un véritable cas d'école.

    L'article en question est de la même veine que l'anecdote contée par Régine Pernoud au début de son livre Pour en finir avec le Moyen Age.

    Aussi, seule cette source, Régine Pernoud, autrement moins docte, moins érudite et moins célèbre que le journaliste du Point pourrait servir à mettre en lumière l'obscurantisme du frère Fréderic.

    Son anecdote la voici :

    « Comme cela se passait il y a déjà plusieurs années et que le neveu en question a aujourd'hui atteint l'âge de la majorité selon le Code civil, je croyais que les choses avaient changé depuis. Mais voilà qu'il y a quelques mois (juillet 1975), me promenant avec la petite-fille d'une de mes amies (Amélie, 7 ans), celle-ci me lance joyeusement :

    — Tu sais, à l'école, j'apprends le Moyen Age.

    — Ah, très bien ! Et comment était-ce, le Moyen Age ? Raconte.

    — Alors, il y avait des seigneurs (elle cherche un peu avant de retrouver le mot difficile...) des seigneurs féodaux. Alors ils se faisaient tout le temps la guerre et avec leurs chevaux ils allaient dans les champs des paysans et ils abîmaient tout.

    Un cornet de glace a ensuite capté son attention et mis fin à sa description enthousiaste. Cela m'a fait comprendre qu'en 1975 on enseigne l'histoire exactement comme on me l'avait enseignée à moi-même il y a un demi-siècle ou davantage. Ainsi va le progrès.

    Et du même coup, cela m'a fait regretter l'éclat de rire — assez peu charitable, reconnaissons-le — que j'avais eu quelques jours auparavant en recevant un coup de téléphone d'une documentaliste de la TV — spécialisée qui plus est dans les émissions historiques !

    — Il paraît, disait-elle, que vous avez des diapositives. Est-ce que vous en avez qui représentent le Moyen Age ?

    — ? ? ?

    — Oui, qui donnent une idée du Moyen Age en général : des tueries, des massacres, des scènes de violence, de famines, d'épidémies...

    Je n'avais pu m'empêcher d'éclater de rire, et c'était injuste : visiblement cette documentaliste n'avait pas dépassé le niveau d'Amélie sur le point particulier de l'histoire du Moyen Age. Mais comment l'aurait-elle dépassé ? Où en aurait-elle appris davantage ? »

     (En bleu les extraits de l'article)

    Les mensonges du Point :

    «C'était le règne de Robert le Pieux, le deuxième Capétien, avec ses épidémies, ses famines, ses guerres incessantes. Le paradis...

    Oui-da, que la vie était belle en 1016 avec ses famines, ses épidémies, ses guerres. À chaque époque ses peines et ses malheurs. Et quand un noble vieillard prétend que c'était mieux à son époque, c'est qu'il commence à perdre la mémoire. »

    La vérité restaurée:

    Dans son livre, Pour en finir avec le Moyen Age , page 17, Régine Pernoud (RP) souligne :

    « Aussi bien, des érudits en notre siècle ont-ils faits un remploi du terme renaissance. Constatant qu'autour de Charlemagne ont cultivait assidument les auteurs latins et grecs, ils ont parlé de « Renaissance carolingienne », et le terme est communément admis. D'autres plus hardis ont parlé de renaissance du XIIème siècle, voire d'humanisme médiéval.»

    […] « On va ainsi de renaissance en renaissance, ce qui ne manque pas d'être suspect. »

    Entre l'an 800 et le XIIème siècle, l'an 1016 est plus ou moins au milieu. Alors elle n'est pas belle la vie en 1016 ? Qui est le noble vieillard ? Qui est l'ignoble ignare ?

    Quant aux guerres du Moyen Age, on est loin des millions de morts de 14-18 et des dizaines de millions de 39-45. Mais cette idée n'effleure même pas notre historien du jour.

    Les mensonges du Point :

    Pas de terrorisme ! Pas de crainte de réchauffement climatique ! Pas de chômage ! Pas de Le Pen !

    La vérité restaurée:

    - La terreur islamique n'a pas encore fermé l'accès aux lieux saints, il est vrai. Les Turcs ne vont exterminer les chrétiens de Jérusalem qu'en 1078. Mais ces pratiques barbares, de conversion par la force et d'extermination de tous ceux qui ne veulent pas se soumettre, ont commencé dès l'hégire, soit 632 ! La terreur islamique est telle qu'elle seule réussit à assurer l'unité des habitants du pays sous le commandement de Charles Martel en 732 à Poitier.

  • L'Allemagne découvre les joies du vivre-ensemble

    Et les voeux sous-titrés en arabe d'Angela Merkel n'y auront pas changé grand chose.

    MA la gare centrale de Cologne, durant la nuit de la Saint-Sylvestre, un millier d'individus se sont rassemblés par groupe de vingt à quarante, des hommes «d'origines arabes ou nord-africaines», et ont cerné et agressé des femmesmêlant vol à la tire et attouchements. Au moins un viol a été signalé.

    Cela rappelle les viols sur la place Tahrir en Egypte, durant le "printemps arabe".

    Mardi, le nombre de plaintes déposées s'accumulait : 60 en début de journée, 90 à midi. La chancelière Angela Merkel a exprimé sa «révolte» face à ces «agressions scandaleuses» et réclamé une «réponse forte». Le ministre de la Justice allemand, Heiko Maas, a ajouté :

    «Il s'agit d'une nouvelle forme de criminalité organisée». «Il va falloir qu'on réfléchisse, qu'on pense aux moyens à mettre en œuvre pour y faire face».

    Hier, nous parlions sur ce blog de terrorisme sexuel.

    D'autres faits similaires mais sans avoir la même ampleur ont été signalés à Hambourg et Stuttgart.

    Mais les idéologues du Padamalgam ne faiblissent pas. Heiko Maas a mis en garde contre «toute généralisation». Le ministre de l'Intérieur, Thomas de Maizière, a ajouté que l'apparence des agresseurs

    «ne doit pas conduire à faire peser une suspicion générale sur les réfugiés qui, indépendamment de leur origine, viennent chercher une protection chez nous».

    Henriette Reker, maire de Cologne, a précisé :

    «Rien ne permet de penser pour l'instant que des demandeurs d'asile seraient impliqués».

    Quant à la police, le 1er janvier, faute de plaintes, elle avait conclu à «une nuit calme».

    Michel Janva

  • « La franc-maçonnerie et la Révolution française »

    Talmeyr.jpgQui sont les responsables de l’état actuel catastrophique de notre pays la France, à quelle date la déchéance de notre pays a-t-elle commencée et dans quel but ? Quel est le régime qui nous a conduits à une décadence totale ? La France était la première puissance occidentale avant 1789. Que sommes-nous aujourd’hui, pourquoi, comment et à cause de qui ? Qu’a fait de notre si beau pays, la France, la judéo-maçonnerie via ses loges et son outil : La République dite française ?  Pour écouter  ou télécharger gratuitement le livre audio : http://bit.ly/1pZ2Zsa

    Quel a été, en 1789, en 1792 et en 1793, le rôle exact de la Franc-maçonnerie de France dans la Révolution française ?

    Ce que M. Maurice Talmeyr a voulu démontrer dans son livre « La franc-maçonnerie et la Révolution française » que nous avons enregistré en livre audio, http://bit.ly/1pZ2Zsa disponible gratuitement, afin de le diffuser au plus grand nombre, c’est que la Révolution, bien loin qu’elle fût nationale dans ses origines profondes et dans ses aspirations, a été l’œuvre exclusive d’une secte qui tendait précisément et qui tend de nos jours encore à la destruction de toutes les nationalités.

    Et ce thème, M. Maurice Talmeyr l’a exposé et développé, avec une clarté, une logique, une vigueur saisissante et une abondance de documentation propre à satisfaire les critiques les plus exigeants. Il n’enguirlande pas la vérité. Il la montre telle quelle, avec preuves irrécusables à l’appui, et en un style sobre, incisif.

    « D’après les documents les moins niables, explique Maurice Talmeyr, et contrairement à une légende audacieusement fabriquée, la nation française, comme masse populaire, en dehors d’une certaine noblesse, d’un certain clergé et d’une certaine bourgeoisie, était alors profondément catholique et royaliste. »

    Et comment, dès lors, comprendre « une nation qui a la religion et la monarchie dans le sang, qui les veut, qui ne veut qu’elles, et qui les renverse avec fureur » ?

    La mise à mort de Louis XVI a été décidée, dix ans d’avance, dans la tenue illuministe de Wilhelmsbad.

    La trahison, elle était partout à la Cour de Louis XVI. Dans cet ordre d’idées, M. Maurice Talmeyr établit sur des documents irrécusables que le Roi n’a jamais donné, au 10 août 1792 cet ordre de cesser le feu, qui perdit la monarchie et qui fut donné cependant au nom du Roi.

    Il prouve de même que ni l’assemblée législative n’a voté l’emprisonnement de Louis XVI au Temple, ni la Convention n’a voté la mort du Roi. L’assemblée législative a voté que le Roi logerait au palais du Temple, mais non pas dans la Tour du Temple, qui était une prison.

    Et quant à la Convention, elle a réellement repoussé la mort du Roi par 13 voix de majorité. C’est un pouvoir occulte qui a emprisonné le Roi et qui l’a condamné à mort par falsification de scrutin. Et ce pouvoir occulte, c’est la franc-maçonnerie. Ce n’est pas là, évidemment, ce que nous ont appris les historiens de la Révolution, et M. Maurice Talmeyr semble conclure à bon droit :

    Si la Révolution, que personne ne confond avec l’évolution, n’est pas le grand mouvement humain auquel beaucoup d’honnêtes gens ont cru et croient encore, si elle n’est pas ce grand fait social provenant naturellement d’intérêts et de besoins profonds, et si, au contraire, elle n’a jamais été qu’un bluffe immense, dirigé et lancé contre le Christianisme universel, tous nos malaises moraux, toutes nos perturbations, se comprennent et s’expliquent. Sinon, ils ne se comprennent pas, et ne peuvent sérieusement se déduire de rien.

    Ou la Révolution est un mouvement naturel, providentiel, et le trouble ne peut pas être toujours d’autant plus grand que les progrès des idées révolutionnaires sont plus grands eux-mêmes ! Ou la Révolution n’est bien que l’artifice et la machination de voleurs qui « percent la maison », et le trouble, alors, se comprend. Tout s’explique et tout s’éclaire… Enfin, et ce sera notre dernier mot, nous voyons peut-être aussi maintenant que l’histoire de la Révolution est à faire, et que nous ne la savons pas, que nous n’en savons rien. Nous avons donc un devoir tout indiqué, c’est de l’apprendre, d’abord pour la savoir, et pour pouvoir ensuite l’enseigner à la France !

    « Nous voyons maintenant que l’histoire de la Révolution est à refaire et que personne ne la sait, surtout parmi ceux qui devraient la savoir. Nous n’avons donc qu’une chose à faire, c’est de l’apprendre, d’abord pour la savoir, ensuite pour l’apprendre à la France. »

    « Pour l’apprendre à la France », nous mettons donc, [Royalistes.Net], à disposition et gratuitement, une vidéo et l’enregistrement http://bit.ly/1pZ2Zsa mp3 de l’ouvrage de M. Talmeyr et vous invitons à l’écouter et le diffuser au plus grand nombre.

    Non, nous ne célèbrerons pas 1789  ! Vive le Roi ! A bas la république judéo-maçonnique !

    http://royalistes.net/

  • Les migrants sont-ils une chance pour les Allemandes ? Viols à Cologne

    8518-Chard.jpg

    (Présent 8518)

    8518P1.jpgL’info est tellement politiquement incorrecte qu’elle a été carrément censurée par la grosse presse française. À l’exception de quelques sites. Les journalistes allemands, eux, ne savaient pas comment en parler. Une centaine de femmes ont été agressées sexuellement lors de la nuit du 31 décembre près de la gare Centrale de Cologne par des groupes de migrants.

    « Les crimes ont été commis par un groupe d’hommes âgés de 18 à 35 ans qui viennent pour la plupart de l’Afrique du Nord et des pays arabes », a déclaré le chef de la police de Cologne, Wolfgang Albers. Depuis trois jours, les plaintes se multiplient : 90 femmes avaient déclaré mardi avoir été harcelées, dévalisées et agressées sexuellement. Les autorités estiment que le nombre réel des victimes est sans doute beaucoup plus élevé.

    Les enquêteurs ont rapporté des attouchements, des vols et des blessures, ainsi qu’au moins un viol. Selon la police et plusieurs médias locaux, il s’agit de la plus vaste agression sexuelle jamais enregistrée. Avec une « dimension nouvelle » : « plus d’un millier de personnes » a agressé ou protégé les groupes d’agresseurs.

    L’affaire suscite une très forte émotion en Allemagne. Mais aussitôt le ministre de la Justice a mis en garde contre toute « instrumentalisation » dans le débat sur l’afflux de migrants en Allemagne. L’apparence des agresseurs « ne doit pas conduire à faire peser une suspicion générale sur les réfugiés qui, indépendamment de leur origine, viennent chercher une protection chez nous », a pour sa part renchéri le ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière.

    Dans une conférence de presse surréaliste, le maire de Cologne Henriette Reker a demandé aux femmes d’adopter des règles de comportement pour éviter les agressions… Elle n’a fait aucune allusion à l’origine des auteurs que de nombreux témoignages, vidéos et déclarations de police identifient comme étant des migrants. (En 2015, l’Allemagne a accueilli plus d’un million de réfugiés, pour la plupart originaires de Syrie). Avant de conclure : « Nous devons expliquer aux hommes d’autres cultures le carnaval de Cologne [qui doit se tenir en février] afin que son comportement si joyeux ne soit pas confondu avec de la disponibilité sexuelle. »

    « Est-ce que l’Allemagne est suffisamment ouverte sur le monde et multicolore pour vous, Madame Merkel ? » a demandé avec colère Frauke Petry, la patronne du parti populiste (AFD) à celle qui a sous-titré pour la première fois le soir du 31 ses vœux en arabe.
    Une réussite.

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/