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LEON NEAL / GETTY IMAGES EUROPE / GETTY IMAGES VIA AFP
Dans les rédactions, la pratique de la BBC porte un nom : le bidonnage. Cette fois, la vieille « Auntie » britannique n’a pas donné dans la subtilité. En coupant le discours de Donald Trump du 6 janvier 2021 au Capitole afin de maquiller ses propos en incitation à la guerre civile, la France Télévisions britannique a franchi le Rubicon. Trop énorme, trop visible. La BBC s’est attiré la réplique des avocats de Trump qui lui réclament une somme colossale. Et pour cause : pas de télévision publique de cette taille aux États-Unis, qui s'en passent très bien. Ce type de « ministère de la Vérité » imaginé par Orwell est pourtant présenté comme indispensable à la démocratie en Europe... Le bidonnage de la BBC a surtout provoqué l'indignation de toute une partie de l’opinion anglaise, forçant ses dirigeants à démissionner. Cela ne suffit pas : la vague d’hostilité s'étend dans tout l’Occident. Bien joué, les faussaires !
Sur le secteur de Kherson, combats à distance. Sur le Dnipro, des vedettes motorisées des forces armées ukrainiennes (FAU) apparaissent, utilisées comme plateforme de lancement pour des drones FPV afin de frapper plus profondément nos arrières. L'ennemi a bombardé 12 villages sur la rive gauche en 24 heures, un mort et deux blessés.
Sur le secteur de Zaporojié, progression des forces russes à Primorsk après des combats très durs. Les combats se déroulent autour de l'ancienne base de défense antiaérienne. À Stepnogorsk, malgré une forte intensité des combats, il n'y a pratiquement pas de progression. Dans la zone de Mala Tokmachka et Novodanilovka, les combats sont positionnels.
Nous sommes à la veille du 13 Novembre… dix ans déjà et, depuis, combien de renoncements, d’accommodements et d’accouplements contre-nature de traîtres intérieurs avec l’islam le plus revendicatif ?
Pas un jour sans que cette religion ne nous fasse durement ressentir le mal qu’elle nous inflige – et quelle inflige aussi à ses fidèles les moins observants qui voudraient vivre à l’occidentale, dont certains décident d’ailleurs de la fuir parce que précisément trop tyrannique et violente –, s’immisçant dans les moindres interstices de notre civilisation.
L’un des trois agresseurs d’Angèle, 89 ans, rouée de coups et dépouillée de son sac en 2022 à La Bocca, a de nouveau été arrêté par la police municipale.
Les députés viennent d’adopter la partie “recettes” du budget de la Sécurité sociale, un texte largement remanié qui rebat les cartes des hausses de taxes initialement envisagées par le gouvernement.
Selon un rapport du site d’information Axios en date du 9 novembre, Washington aurait gelé ses livraisons d’armes d’une valeur de plus de 5 milliards de dollars à ses alliés de l’OTAN en raison du shutdown budgétaire. Cette suspension concernerait notamment des missiles AMRAAM, des systèmes de combat Aegis et des lance-roquettes multiples Himars.
La propagande immigrationniste va bon train. La gauche tente de faire feu de tout bois pour nous prouver que plus d’immigrés, c’est excellent pour la nation. On a eu Najat Vallaud-Belcacem, qui nous a sorti que régulariser 250 000 clandestins rapporterait 3 milliards, rien que ça. Elle arrive à ce chiffre sur la base d’un rapport militant qui se contredit dès la première ligne : « Il faut bien les loger », donc ça ne rapporte pas, ça coûte. Elle oublie également de préciser de quelle immigration on parle : il s’agit évidemment de l’immigration en provenance de la zone afro-arabe. Depuis le temps que nous en régularisons on ne devrait plus avoir de déficit. Et si jamais ce n’était pas suffisant pourquoi s’arrêter en si bon chemin et ne pas en régulariser 500 000, mieux un million et nous retrouverions une croissance à deux chiffres ? Le lendemain le Figaro sortait un article précisant que l’argent expédié à l’étranger par les immigrés coûtait à la France 10 milliards par an. Mince, en une nuit les immigrés ne rapportaient plus rien mais coûtaient, et si l’on rajoute à ce chiffre celui déjà connu du coût de l’immigration, on dépasse les 50 milliards.
Dans n’importe quelle autre démocratie, l’interview de Bruno Le Maire par Caroline Roux, pour l’émission C dans l’air, diffusée ce dimanche 9 novembre, tournerait au scandale d’État. Pas en France. Ça doit faire partie de ce qu’on appelle fièrement « l’exception française ». L’objet du scandale ? Une lettre, comme dans beaucoup d’affaires d’État, si on fait un peu d’histoire. Comme dit le vieil adage romain : « Verba volant, scripta manent » (« Les paroles s’envolent, les écrits restent »). Une lettre, frappée de la mention « Secret », envoyée le 6 avril 2024 par le grand argentier de Bercy de l’époque au locataire de l'Élysée.