
Le « roi » des hôtels pour migrants de Grande-Bretagne engrange 4,8 millions de livres sterling par jour et pourrait devenir milliardaire grâce à l’argent gagné en hébergeant des immigrants au Royaume-Uni .
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Le « roi » des hôtels pour migrants de Grande-Bretagne engrange 4,8 millions de livres sterling par jour et pourrait devenir milliardaire grâce à l’argent gagné en hébergeant des immigrants au Royaume-Uni .
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
La Commission Européenne souhaite améliorer la résilience et donc l’état de préparation de l’Europe en termes civils et de défense. C’est dans le cadre de cette préparation aux risques majeurs qu’il va être demandé aux Européens de constituer un stock d’autosuffisance de 72 heures par exemple, faisant entrer la prévoyance dans la culture populaire… et c’est en cela une bonne nouvelle.
Vous savez que je pense la même chose que pensait mon pépé.
Un homme averti en vaut deux, mais un homme préparé en vaut 4.
Selon l’organisation Oxfam, on n’a pas retrouvé la trace de 41 milliards de dollars de financements Climat, dans les bilans de la Banque mondiale. L’audit des financements Climat du portefeuille de la Banque mondiale pour la période allant de 2017 à 2023, montre que 24 à 41 milliards de dollars disparaissent des bilans entre le moment où ils sont alloués et le moment où les projets en question sont clos. Pas une écriture publique claire n’indique l’utilisation réelle de ces sommes et empêche toute forme de bilan comptable concernant ces sommes directement prélevées dans les poches des contribuables des pays riches, particulièrement les Européens. On ne sait même pas si ces milliards ont réellement servis à des aides, ou des projets en rapport avec le changement climatique.
Le 12 octobre dernier, j’étais invité par la Fédération royaliste du Nord (affiliée à l’Action française) pour y présenter une conférence sur la question sociale en France et la réponse corporatiste et royale. En voici la transcription écrite et corrigée (un peu augmentée parfois) ci-dessous, qui se poursuivra en plusieurs notes successives.
Dans une récente interview accordée à la chaîne autrichienne ServusTV, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a décrit la Hongrie comme une « île conservatrice dans l’océan libéral » de l’Europe, soulignant la position unique du pays en matière de migration, de politique familiale et d’orientations économiques. Ces propos traduisent l’engagement de la Hongrie envers des valeurs conservatrices face à ce qu’Orbán considère comme une domination libérale croissante en Europe.
Les folkloristes Anatole Le Braz, Arnold Van Gennep et Bernard Rio font état dans leurs différents ouvrages de croyances relatives à la mort qui étaient encore très vivaces en Bretagne avant la Seconde Guerre mondiale.
Selon ces croyances, la vie terrestre n’est qu’un passage entre une vie éternelle antérieure et une vie éternelle ultérieure. La conséquence est une absence de séparation entre morts et vivants qui voisinent, au sein de deux sociétés impénétrables mais organisées de façon semblable.
Par Gérard Leclerc
Dans cet ouvrage de référence que demeure De la démocratie en Amérique (1835), Alexis de Tocqueville écrivait : « À mon arrivée aux États-Unis, ce fut l’aspect religieux du pays qui frappa d’abord mes regards. À mesure que je prolongeais mon séjour, j’apercevais les grandes conséquences politiques qui découlaient de ces faits nouveaux ». Pourtant, note-t-il encore, politique et religieux sont soigneusement séparés en Amérique, ce qui pourrait expliquer l’influence du spirituel qui demeure exempt de toute suspicion de domination temporelle. Cette analyse tocquevillienne a pu être longtemps prolongée, tant les États-Unis semblaient toujours marqués par l’influence du religieux, réputée plus importante qu’en Europe. Mais l’évolution actuelle vient en démenti de cette opinion largement partagée.