
La gauche est captive depuis longtemps de l'extrême gauche. Par lâcheté et par sottise. Il n'en fut pas toujours ainsi : il y eut une gauche sociale, digne, patriote, courageuse, face à l'extrême gauche antirépublicaine, tentée par la dictature, la violence. Les gauchistes agressifs contre Jean Jaurès, puis les communistes contre Léon Blum, Mendès France. L'histoire de l'extrême gauche commence dans le sang avec la Terreur et Robespierre, et reprend, dans le sang et l'incendie de Paris, avec l'insurrection communarde. Puis la trahison des communazis de 1939 à 1941 ; de 1945 à nos jours la complicité avec Staline, le Viet Cong, le FLN, Mao, Castro, Che Guevara, Pol Pot, les Kim, Ceaușescu, Mengistu Haile Mariam, Maduro… Bref, avec des tyrans sanguinaires. Désormais, la gauche de Hollande et Faure est inerte. Plus de pensée : une fade logorrhée et une soumission à Mélenchon, lui même dépendant des islamistes qui grand-remplacent, dans ses scores électoraux, les classes populaires passées au RN.