« Les soins de santé sexuelle et reproductive, y compris le service postnatal et celui de planification familiale sont devenus très limités pour 155.000 femmes enceintes et allaitantes » à Gaza.
C’est ce que rapportait de façon officielle, le 5 novembre 2024, le service d’information de l’ONU, se référant à l’Agence des Nations Unies en charge des questions de santé sexuelle et reproductive (UNFPA).
Ainsi, il se trouve que 155.000 femmes étaient enceintes et donc allaient donner naissance à des nouveau-nés gazaouis ou avaient des bébés qu’elles allaitaient.