
« L’antifascisme militant sert à attiser la violence dans les rues pour accélérer la chute de l’Occident » Francesca Totolo.
Les mots "Bella Ciao" gravés sur une des balles destinées au militant conservateur Charlie Kirk ont remis sous les feux de la rampe les violences antifascistes. Un terme aussi galvaudé que celui de fascisme, puisque ce dernier est souvent attribué à quiconque ne partage pas la vision du monde progressiste. Et tendancieux : en se déclarant "antifasciste", l’extrême-gauche se place elle-même dans le "camp du bien". Prétendant combattre contre la résurgence du "fascisme", ses crimes sont excusés de fait quand ils ne sont pas carrément passés sous silence.







