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  • "Droit de choisir" ? Le lobby de l'avortement veut choisir à la place des mères

    Ainsi que le montre Jeanne Smits dans l'affaire chilienne :

    "La petite Belén [violée et enceinte, NDMJ] s’est elle-même exprimée lors d’un entretien télévisé en affirmant : « Ce sera comme une poupée que je tiendrai dans mes bras. Je vais l’aimer beaucoup même si elle est de cet homme qui m’a fait du mal, cela ne fait rien, je vais l’aimer, je vais la changer. » Et le président du Chili, Eduardo Piñera, a félicité après ces propos la fillette de sa grande « maturité ».

    Cela veut dire qu’elle ne sait rien de la demande d’avortement qui a été présentée en son nom et surtout à son insu par les organisations féministes ; les pressions pour qu’on tue le tout petit enfant qu’elle porte ne viennent ni d’elle, ni de sa famille, mais de groupes qui ont décidé qu’elle n’a pas le droit d’être enceinte ni de choisir la vie pour son enfant.

    Telle est la contradiction devant laquelle le lobby de l’avortement ne recule pas : Michelle Bachelet, ancien président du Chili, a plaidé pour le « droit de choisir » de la petite Belén pour réclamer l’avortement pour elle, mais en fait elle ne milite pas du tout pour donner le droit de choisir à la mère : le seul choix possible, concevable dans le cas de Belén, c’est l’avortement, elle l’a dit en assurant qu’à onze ans on n’est pas capable de choisir."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Malaise des commissaires face à la répression commandée par Manuel Gaz

    Lu dans Le Figaro :

    "Il y a quelques jours, les CRS s'indignaient, dans un tract du syndicat Alliance, de leur mission «ridicule» contre les «veilleurs debout». Aujourd'hui, c'est chez les commissaires de police que la colère gronde. Dans le dernier numéro de la Tribune du commissaire, deux des trois «tribunes libres» sont consacrées au «malaise grandissant» de l'institution policière face à la répression des manifestations anti-mariage gay.«Du jamais vu!», commente un membre de ce syndicat, qui représente 60 % des commissaires, et qui a toujours été très légitimiste. «Cela montre l'ampleur du mécontentement».

    Signé «un collectif de commissaires de police», le premier article évoque «une vidéo ayant circulé sur Internet», «qui montre deux de nos collègues remettant en liberté des personnes portant un vêtement assorti du logo d'une association engagée dans un débat de société, après un simple contrôle d'identité». «S'il apparaissait que des instructions ont été données à toute la chaîne hiérarchique policière d'interpeller des personnes sur ce seul motif, soulignent les auteurs, les commissaires de police qui ont décidé de les élargir honorent le Corps de Conception et de Direction». Et de conclure: «il était temps de prouver que notre Institution n'est pas une police d'opinion».

    Le deuxième texte - une tribune «poignante», juge le secrétaire général du SCPN, Emmanuel Roux - est une lettre d'«un commissaire de police attentif à l'actualité» à un «cher collègue». Vraisemblablement pied-noir, il lui parle de sa grand-mère, Eugénie, qui «aimait beaucoup la France, bien qu'elle n'y soit jamais allée avant que le sens tragique de l'Histoire ne la contraigne (…) à quitter pour toujours notre terre natale il y a 51 ans». Un jour, raconte-t-il, «elle commit l'acte fou de brandir un drapeau français à sa fenêtre». Des uniformes «déboulèrent», «défoncèrent sa porte», à la recherche du drapeau.

    Aujourd'hui, le petit-fils d'Eugénie est commissaire divisionnaire. «Depuis plusieurs mois, le pays gronde, poursuit-il. Je vois des uniformes, de jeunes manifestants que l'on colle contre le mur. J'en ai vu qui tombaient, d'autres que l'on conduisait vers des fourgons, le regard perdu mais fier». Avant d'asséner: «Je ne serai jamais l'un de ces officiers. J'aime trop ma grand-mère».

    Emmanuel Roux admet avoir hésité avant de publier ces «collègues qui parlent avec leur tripes». Mais il a reçu plusieurs appels dans le même sens, et a voulu jouer son «rôle de syndicat, lieu de parole». «Je n'ai pas eu connaissance de pratiques policières qui auraient été différenciées selon les manifestants, tempère-t-il. Mais l'ordre public, c'est une alchimie complexe…»

    Au sein du SCPN, on affirme toutefois que «beaucoup ne se reconnaissent absolument pas dans les méthodes appliquées». «C'est pas qu'on soit pro ou anti mariage gay, témoigne un commissaire signataire du premier article. On est simplement choqués. On voit une distorsion énorme entre ce qui se passe avec les voyous récidivistes et des gamins pacifiques qu'on met en garde-à-vue simplement parce qu'ils portent un tee-shirt! Parfois, il faut avoir la force de dire «non». Notre message, c'est que l'on refuse d'être une police politique, quel que soit le pouvoir»."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • FAUT-IL AIMER L'ALLEMAGNE ?

    Le rapport avec l'Allemagne est toujours trouble et maintenant on peut même dire qu'il est politisé : aimer l'Allemagne (ou ne pas l'aimer) devient une opinion politique.
    Cette relation est toujours individuelle. Et nous allons partir de là pour généraliser après.
    J'avais un oncle qui avait épousé celle qui allait devenir ma tante par alliance dont les parents résistants étaient morts en déportation. Son père, directeur de la prison de Tours, était chef d'un réseau de résistance. Ma tante par alliance avait aussi été déportée pendant deux ans et parfois elle nous montrait à mes frères et à moi encore enfants ses mains déformées par les coups que lui avaient donnés les gardiens S.S.
    Lorsqu'elle nous parlait des "boches", c'était pour nous dire : « Si un jour je vois un "boche" me demander à boire, je le laisserai crever dans le caniveau ». Tout ceci pour dire que je n'ai pas été éduqué dans l'admiration de l'Allemagne ou ne serait-ce que dans un esprit de réconciliation.
    Ma tante m'avait prêté des kilos de livres et de documentation sur les camps et encore très jeune je n'avais plus grand chose à apprendre sur ces questions. Je lui disais que les officiers S.S. avaient fière allure dans leur uniforme noir. Cela ne la choquait pas trop car elle disait souvent que les femmes S.S. étaient encore plus sadiques que les hommes.
    Mon opinion sur l'Allemagne a commencé à changer lorsque j'ai vu le film et lu le livre Koenigsmark de Pierre Benoît. Je découvrais une Allemagne sans camps de concentration mais peuplée de châteaux et de belles princesses aux longs cheveux blonds qui leur recouvraient tout le dos.
    Par la suite, étudiant à Paris, connaissant beaucoup de jeunes allemandes, j'ai pratiqué la réconciliation, j'ai beaucoup pardonné même si personnellement je n'avais rien à pardonner.
    Toutes les opinions familiales ne m'empêchaient pas d'aller m'enquérir des avis des uns et des autres. Les aléas de la vie m'avaient fait connaître un ancien Waffen S.S. français qui avait donc accepté de risquer de se faire trouer la peau pour l'Allemagne, ce pays représentant l'Europe selon lui. Il avait appartenu non à la division Charlemagne mais à la Brandebourg, s'y trouvant le seul Français. Dans les commandos il avait fini aspirant S.S. à vingt ans (en 45). Il avait appris à ramper sous tous les chars et l'entraînement ne se faisait qu'à balles réelles. Il s'est retrouvé à combattre sur le front de l'Est les pieds gelés dans la neige ; blessé, en sortant de l'hôpital, il fut envoyé dans les commandos de Skorzeny pour participer à la contre-offensive des Ardennes contre les Anglais et les Américains. La guerre se termina pour lui en allant tirer ses dernières cartouches sur les Yougos en Italie du nord en donnant un coup de mains aux Italiens. Condamné à mort, bien qu'il n'ait pas fait couler le sang français, il s'engagea dans la Légion étrangère pour crapahuter dans les rizières durant toute la guerre d'Indochine. Il participa bien sûr à l'expédition de Suez pour ensuite faire toute la guerre d'Algérie comme commando ou paracommando dans les Aurès. Bref, un chien de guerre, vingt-cinq ans à vivre sous la guitoune, la mitraillette à portée de main. Il avait la réputation d'avoir fait pas mal de dégâts dans le camp adverse.
    Doté d'un physique de chéri-bibi, on entendait parfois de sa bouche les propos racistes les plus durs pour ensuite défendre mordicus que les soldats de couleur qui avaient servi dans l'armée française étaient Français par le sang versé. Ce n'était pas les propos d'un nazi pur sucre pour qui l'armée française débarquant en Provence n'était qu'un amas « d'arabes et de nègres venus combattre l'homme blanc représenté par l'Allemagne ». Il avait terminé sa carrière comme officier supérieur de l'armée française.
    Se trouvant en Allemagne à Ulm au moment des bombardements, toute la campagne alentour tremblait sous le déluge de bombes des forteresses volantes américaines. Cette ville qui a été un joyau médiéval est devenue un ensemble d'H.L.M. digne des banlieues nord de Paris.
    Son engagement m'a "interpellé" pour écrire comme un vulgaire intellectuel d'arrière-cuisine de la rive gauche. L'Allemagne était plus que l'Allemagne et d'ailleurs toute l'Europe a été peuplée démographiquement en partie par les Germains. Les Anglais (Angles, Saxons, Jutes ... ) sont un sous-produit de la Germanie de même que les États Unis dans leur majorité. La diaspora germanique se trouve aussi en Amérique du Sud.
    Être contre un pays qui a tant apporté au reste du monde sur le plan intellectuel et artistique me semblait être un contresens même s'il nous a fait momentanément souffrir. Vouloir le diminuer est se diminuer soi-même.
    Un slogan soixante-huitard était éructé sur les pavés de Paris : « Nous sommes tous des juifs allemands » formule que je n'ai jamais vraiment ressentie au fond de moi-même.
    Ce qui me semble maintenant une évidence, c'est que nous Français et Gaulois nous sommes tous un peu Germains.
    Patrice GROS-SUAUDEAU sept  2003

  • La diversité‏, par NB

    On ne cesse de parler de l’« Autodestruction des peuples d’Europe ». C’est faux, archi-faux ! En fait, les peuples ne sont pas masos, ils sont toujours détruits par un autre, et en l'occurrence par un autre qui se fait passer pour eux.
    D’où, l’apparence d’un suicide. Mais il est interdit de prononcer le mot meurtre. C’est à peine si l’on peut le dire, le murmurer, le susurrer. Alors je le dis doucement, très doucement, le plus doucement possible : avec le progrès, la terre promise est devenue la Terre promise… avec un T majuscule, c'est-à-dire la planète.
    Dans une Terre promise, il ne peut y avoir de Nations. Il faut donc tout mélanger, malaxer, broyer, triturer, pétrir, aplatir, piétiner, bref, désidentifier.
    Un esclave n’a bien sûr pas de couleur, pas de passé, pas d’avenir et bien évidemment pas de Nation. La diversité est le poison mortel dont LEURS médias nous abreuvent tous les jours et qu'ils vont jusqu'à instiller dans le biberon de nos enfants.
    Il faut à tout prix lutter CONTRE la diversité.
    Chez moi tout est propre, clair, net, ordonné, rangé, fonctionnel et efficace. Il fait bon y vivre.
    Les outils sont dans le garage, les fauteuils dans le salon, les chaises dans la salle à manger, les lits dans les chambres et partout chaque chose a sa place et chaque place a sa chose.
    Si vous ouvrez les tiroirs et les portes des placards, vous verrez : les couteaux son avec les couteaux, les fourchettes avec les fourchettes, les cuillères avec les cuillères, les draps avec les draps, les couvertures avec les couvertures, les sous-vêtements avec les sous-vêtements, les chemises avec les chemises, les pantalons avec les pantalons, les torchons avec les torchons, les serviettes avec les serviettes.
    Chez moi tout est propre, clair, net, ordonné, rangé, fonctionnel et efficace. Il fait bon y vivre.
    Il n’y a pas de diversité… sinon dans un endroit, un seul : LA POUBELLE !

  • Egypte : un copte retrouvé décapité

    L’islam est une religion de paix, d’amour et blablabla….

    Lu sur le Figaro :

    Un chrétien d’Egypte (copte) a été retrouvé mort, après avoir été décapité, aujourd’hui dans le nord de la péninsule du Sinaï, plusieurs jours après son enlèvement par des hommes armés, ont affirmé des responsables de sécurité et des témoins.
    L’homme, dont l’âge n’a pas été précisé, avait les pieds et poings liés, ont-elles précisé.
    D’après une source de sécurité, il avait été enlevé par des « groupes extrémistes » samedi dernier, le jour même où un prêtre copte a été tué par des hommes armés.

    http://www.contre-info.com/

  • Charles Maurras, soixante ans après, sous la direction d Axel Tisserand Pierre Téqui éditeur

    Après avoir outrageusement dominé le monde intellectuel, politique et littéraire pendant cinquante ans jusqu’en 1945, et avoir combattu la République comme peu avant lui et personne après, qui connaît encore Charles Maurras ?

    En dehors d’une infime minorité d’intellectuels un peu curieux, de ceux qui veulent se faire peur sans trop de frais, de quelques régionalistes félibres un peu dépassés, et de quelques amateurs de sensations littéraires fortes, voire quelques bibliophiles, ou encore des savants amateurs de listes inénarrables de livres, façon professeur tournesol, détenteur de la plus grande bibliothèque personnelle d’écrivains “de droite” du monde.

    Faut-il rappeler que cet homme, qui fut le plus grand xénophobe de sa génération, qui n’en manquait pas au demeurant, fut condamné à la Libération-Epuration pour “intelligence avec l’ennemi”… Bref, cet homme nous échappe de toute la puissance de son génie littéraire.

    Mais, soixante ans après, l’âge de la maturité par excellence, que reste-t-il de Maurras ? A-t-il encore des disciples et qui sont ces curieux intellectuels qui se risquent encore à lui rendre hommage publiquement ?

    Le sous-titre “Regard critique sur un poète-philosophe engagé dans les tourments politiques et religieux de son siècle” donne le ton ; Maurras est bien considéré comme un homme de lettres animé de passions politiques et d’une vrai souci religieux. “Engagé”, comme son anti épigone d’après-guerre. Mais Charles Maurras assumera ses choix dans sa propre chair, ailleurs qu’à St Germain des Prés et dans sa passion pour son pays, ce qui le mènera en prison.

    La suite dans Enquêtes & Débats

    http://www.actionfrancaise.net

  • Le mariage qui fait honte à la France

    Lui se nomme Sofiane Ben Ahmed, elle Yamina El Attari. Leur récent mariage, à Orange, n’est pas passé inaperçu. On y a hissé les couleurs, mais pas celles de la France. Celles du Maroc et de l’Algérie. Pour le mariage d’un soldat avec une gendarmette, voilà qui fait désordre. 
    C’est une histoire symptomatique des ravages de la double allégeance ; une histoire de Français de « la France d’après »; une histoire comme on en voit tous les samedis ou presque mais qui cette fois, par la personnalité singulière des protagonistes, touche le corps social dans ce qu’il devrait avoir de plus fiable : ses forces armées. 
    Nous sommes le samedi 22 juin à Orange, la cité du Vaucluse connue pour son théâtre antique, ses chorégies et son député-maire, Jacques Bompard, à cheval sur les principes et le respect du drapeau tricolore. Dans la salle des mariages de la mairie a lieu l’union de Sofiane Ben Ahmed et de Yamina El Attari. Il n’y a rien de secret : conformément à la loi, les bans ont été affichés publiquement durant les dix jours précédant leur union. 

    Deux signatures pour rien au bas d’une charte 

    Tous deux sont français. Leur métier exige qu’ils le soient. Sofiane Ben Ahmed est sous-officier dans l’armée. Yamina El Attari est gendarme. Honneur et patrie. Lever des couleurs. Hymne national. Ordre. Discipline. Force à la loi. Ils ont choisi Orange pour s’unir parce que leurs parents y sont domiciliés. 
    Comme tous les futurs époux, ils ont signé une charte. Echaudé – et exaspéré, comme les habitants du centre ville – par quelques mariages qui ont transformé les abords de la mairie en défilé de la victoire un soir de victoire de l’équipe algérienne de football, Jacques Bompard a décidé, en décembre 2011, de soumettre une charte de bonne conduite aux futurs époux. Depuis, plusieurs villes ont fait de même comme Nice, Beauvais, Cavaillon ou Forbach. 
    La Charte pour le bon déroulement de la cérémonie de mariage, longue de deux pages, rappelle les règles élémentaires de la politesse (veiller à être à l’heure, par exemple) et attire l’attention des futurs époux sur le nécessaire respect du Code de la route par le cortège. Elle se conclut ainsi: « Je reconnais avoir pris connaissance des instructions ci-dessus énoncées et je m’engage à les respecter et à les faire respecter par les participants. » On date et on signe, ce qui fut fait. 

    Pour les voitures, y’a pas mieux que les Allemands

    Le mariage s’est bien déroulé; c’est après que ça s’est gâté. Quand les mariés et leurs invités ont repris leurs voitures – ou celles qu’ils avaient louées, ou empruntées. De bien beaux véhicules. Qualité allemande (BMW, Audi…) mais exubérance nord-africaine. Les Orangeois n’en ont pas cru leurs yeux. Les caméras de surveillance non plus… 
    Les amis du soldat et de la gendarmette, son épouse, faisant ronfler leurs puissants véhicules – dont un, allez savoir pourquoi, immatriculé en Roumanie – se sont déployés dans la ville avec des drapeaux marocains et algériens ! Comme on dit dans la gendarmerie: « Pour la patrie, l’honneur et le droit. » 
    Et ni le soldat, ni la gendarmette son épouse, n’ont fait quoi que ce soit pour faire respecter les engagements qu’ils avaient pris. 
    Deux signatures au bas d’une feuille de papier de la mairie, qu’est-ce que ça vaut ? « Gendarme de France, soldat de la loi », à d’autres ! Le souk, pour rester dans le ton, a gagné la Nationale 7, qui traverse la ville. « Tout excités, on chante, on fête/Les oliviers sont bleus, ma p’tite [Yamina], L´amour joyeux est là qui fait risette/On est heureux Nationale 7. » Puis la rue de la République. Y’a des jours comme ça où les symboles parlent d’eux-mêmes. 
    Tandis que scooters et motos bloquaient un carrefour pour faire passer le cortège (tutut et youyous), la voie de gauche était occupée par un véhicule remontant (à contresens donc) la petite dizaine de voitures archi-pleines pour les filmer. Le cameraman amateur a dû avoir du mal à ne manquer personne car il y en avait partout : assis sur le coffre, assis ou debout, nez au vent, aux portières grandes ouvertes, sur le capot et même sur un pare-brise. C’était à qui ferait le plus le guignol et à qui brandirait le mieux, le plus haut, son drapeau marocain ou algérien
    La police municipale, qui ne s’attendait pas à de tels débordements vu la personnalité des mariés, a été débordée. Mais à Orange, les caméras de vidéosurveillance sont bien faites : elles enregistrent. 
    Plainte a donc été déposée auprès de l’officier du ministère public, avec un descriptif détaillé des faits, films des événements, nom et qualité des époux. Théoriquement, Sofiane Ben Ahmed et Yamina El Attari, responsables des infractions commises par leurs invités, devraient être convoqués devant le tribunal de police. Et écoper d’une amende. 
    Et Yamina El Attari devrait se faire remonter sérieusement les bretelles. Un courrier a été envoyé au colonel de gendarmerie commandant le département, histoire qu’il localise la donzelle. Idem pour le beau militaire, qui n’avait pas indiqué son affectation. Il serait caporal dans les troupes de Marine. Et il s’est vanté, à la mairie, d’avoir servi… au Mali.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Nous devons lui dire merci…

     

    nicolas-buss-1

    Un grand merci à Nicolas Bernard-Buss. N'a-t-il pas renvoyé dos à dos l'UMP et le PS, acteurs de la «déshumanisation ambiante» ? N'a-t-il pas justement dressé le constat de bien de nos maux terribles ? Employant des mots simples, compréhensibles par tous : «En République française, l'argent est roi, Dieu rejeté, et le peuple soumis»

    Nous ne connaissons pas Nicolas Bernard-Buss alias « Berns ». Si forte soit notre sympathie pour lui, nous ne lancerons pas des Nicolas à tous vents. Nous lui disons merci du fond du cœur. Nous ne sommes pas assez grand clerc pour dire de lui qu'il est un « martyr ». Nous ne savons pas plus si, prisonnier politique il est... Nous savons qu'il a été et qu'il est fort maltraité. Mais ce que nous percevons par-dessus tout, c'est sa lucidité.

    Il prend le soin de dire « En République française » et non pas « En République... ». Convenez qu'il fait preuve d'une grande finesse d'esprit ! D'une connaissance certaine de notre histoire...

    Sa phrase simple ne fait-elle pas écho à la réflexion du « vieux » poète de Martigues qui dressait lui aussi un constat ?

    « Quelques centaines de familles sont devenues les maîtresses de la planète. Les esprits simples qui s'écrient : « révoltons-nous, renversons-les », oublient que l'expérience de la révolte a été faite en France, il y a cent quinze ans ; et qu'en est-il sorti ? De l'autorité des princes de notre race, nous avons passé sous la verge des marchands d'or, qui sont d'une autre chair que nous, c'est-à-dire d'une autre langue et d'une autre pensée. Cet Or est sans doute une représentation de la Force, mais dépourvue de la signature du fort. On peut assassiner le puissant qui abuse ; l'Or échappe à la désignation et à la vengeance. Ténu et volatil, il est impersonnel. Son règne est indifféremment celui d'un ami ou d'un ennemi, d'un national ou d'un étranger. Sans que rien le trahisse, il sert également Paris, Berlin et Jérusalem. »
    http://maurras.net/textes/92.html

    Maurras-60-ans-apres

    Il se dit que Nicolas Bernard-Buss est un « Veilleur » de la première heure. Nombreux sont ceux qui louent cette belle réponse à la « déshumanisation ambiante » couronnée par une loi... Belle réponse donnée par toute une jeunesse française que personne n'attendait.
    En son temps, le poète de Martigues pressentait-il une telle réponse en nous disant :
    « Il suffirait de supposer qu'une lucide conscience du péril, unie à quelques actes de volonté sérieuse, suggère à l'Intelligence française, qui, depuis un siècle et demi, a causé beaucoup de désastres, de rendre le service signalé qui sauverait tout. » Charles Maurras- L'avenir de l'Intelligence.
    http://maurras.net/textes/92.html

    Oui, nous disons merci à Nicolas Bernard-Buss, un très grand merci ! A Nicolas Bernard-Buss qui s'insurgeait en lançant :
    «Quand est-ce que les forces prétendument de l'ordre cesseront-elles d'obéir à des ordres absurdes? Quand prendront-elles enfin conscience que les voleurs et les menteurs ne sont pas le peuple pacifiste en face d'eux, mais les vieillards malades au-dessus d'eux? C'est après cette oligarchie qui s'en prend aux enfants qu'il faut courir, Messieurs les policiers!»
    Source :
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/06/20/01016-20130620ARTFIG00745-nicolas-23-ans-anti-mariage-gay-deux-mois-de-prison-ferme.php

    Nicolas Bernard-Buss ne fait-il pas écho à celui qui lançait en son temps :
    «Enfants de France, ce n'est pas votre pays qui s'est écroulé sur vous, c'est le règne des vieux. Le règne des vieux s'écroule d'ailleurs partout dans le monde et les dictatures qui se vantaient d'être jeunes travaillaient aussi pour lui en exploitant et en déshonorant l'enfance. Le monde a failli périr d'une espèce d'usurpation universelle de l'esprit de vieillesse contre l'esprit d'enfance, voilà la vérité.» Georges Bernanos

    bernanos

    Le pire n’est jamais certain. Des « Enfants de France », d’instinct pourrions-nous dire, se lèvent et disent Non ! Nicolas Bernard-Buss est l’un d’eux. En lui disant merci, nous les remercions tous !

    Portemont

    nicolas-buss-2
    Lire :
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/07/01/01016-20130701ARTFIG00293--nicolas-bernard-buss-ce-prisonnier-qui-derange.php

    http://www.lesmanantsduroi.com

  • Des privilégiés gavés d’argent public !

    Comme vous le savez, Laurence Parisot, la grande pourfendeuse des dépenses publiques vient de rejoindre le Conseil Economique Social et Environnemental où elle touchera 3786,76 euros mensuels issus du budget de l’Etat. On pourra s’étonner que notre amie Laurence qui déclarait, il y a encore peu : « Nous avons besoin de faire des économies. La France est addicte à la dépense publique et il faut qu’on sorte de cette logique-là  » ne fustige pas le coût exorbitant d’une institution dont l’utilité reste à prouver, et qui a un budget de prés de 40 millions d’euros ! 

    Elle y retrouvera plusieurs membres du Medef qui siègent déjà dans le groupe des entreprises dont Benoît Roger-Vasselin, l’actuel Président de la Commission Relations du Travail, Emploi et Formation de l’organisation patronale. Gattaz, un de ses prédécesseurs au MEDEF qui s’appelait alors le CNPF (Conseil National des Pleurnichards Français) fait partie des récipiendaires de la Légion d’Honneur qui est désormais donnée « à n’importe qui ! ». Il faut supprimer tous ces pseudos commissions, ces groupes et leurs chargés de mission, les rapporteurs de n’importe quoi, qui n’existent souvent que pour recycler d’anciens grands patrons, des politiques n’ayant pas été réélus et tout un système de copinage.

    « La vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ? » disait entre autre cette grande philosophe à la tête du MEDEF. La précarité ne concerne bien sûr que les manants. Les belles gens, elles, sont génétiquement pérennes et indispensables à la nation, tout en gardant bien sûr des rémunérations annexes et leurs jetons de présence des conseils d’administration de diverses sociétés du CAC 40. Les trois à quatre milles euros qu’ils perçoivent d’argent public ne représentent pas grand-chose pour eux, alors qu’ils feraient le bonheur de millions de français…

    Oui Madame, il faudra, un jour, que vous m’expliquiez pourquoi vous êtes totalement « contre l’Etat » mais que vous sollicitez, enfin le MEDEF, des millions de subventions par an. Et oui, l’Etat providence que Laurence Parisot et le Medef rêvent de démanteler à parfois de bons côtés… car en fait ce qui gêne ces gens, ce n’est pas tant que l’Etat soit en déficit ou dépense de l’argent dans l’éducation, la santé, pour embaucher dans la fonction publique ou aider les plus défavorisés, non, ce qu’ils ne supportent pas c’est que d’autres qu’eux profitent de cet argent.

     

    Pensent-ils vraiment qu’ils sont meilleurs que les autres et qu’ils le méritent ? Ne se rendent-ils pas compte que sans la puissance publique, ils ne sont rien ? Depuis les infrastructures, route, énergie, assainissement, en passant par la formation de leur personnel et sans oublier les juteux marchés publics, tout ce qu’ils ont, ils nous le doivent directement ou indirectement.

    Non contents de vouloir de plus en plus d’argent sous forme de subventions, ils demandent constamment des réductions d’impôts ou de cotisations, pour être compétitif et stopper le chômage, parait-il ! Alors que cette politique n’a pas réduit le chômage, mais l’a au contraire augmenté. Quant à la compétitivité, elle est sérieusement plombée par les rémunérations et les dividendes qu’ils se distribuent allégrement ! Si eux ont besoin de nous, nous, nous n’avons pas besoin d’eux, ils ne servent à rien, ne créent rien, ne produisent rien, ils vivent seulement du fruit de notre travail. Il est grand temps de les mettre à la porte et de réquisitionner ce qu’ils nous ont pris. Ces riches peuvent partir ou ils veulent, mais avant, il leur faut rendre ce qu’ils nous ont volé !

    Alex TERRIEUR pour Conscience Citoyenne Responsable

    http://2ccr.unblog.fr/2013/07/06/des-privilegies-gaves-d-argent-public/

    Lire également :AH ! « LES PAUVRES RICHES » …

    « Tout État génère une classe parasite. » …BAKOUNINE
    ROBERT GIL  http://www.agoravox.fr