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  • Jean-Vincent Placé, sénateur de la Ripoublique, refuse de payer depuis plusieurs années 18.000 euros d’amendes

    L’insupportable asiatique bouffi, sénateur du mouvement d’extrême-gauche Europe-Écologie Les Verts (EELV), n’a pas payé depuis plusieurs années de nombreux PV.
    Pour rien de moins qu’une centaine de délits routiers, il doit à l’État environ 18.000 euros. Des délits de surcroît commis au volant d’un véhicule appartenant aux Français (via le conseil régional d’Île-de-France). Alors qu’il devait 22.000 euros, il n’avait payé que 6.000 puis 7.000 euros selon ses dires, attendant ensuite des nouvelles de l’État (sic). Pour se défendre il affirme que s’il n’a pas payé, c’est qu’il « n’est pas un homme de chiffres » ni « très bon avec les papiers ».

    Nul doute pourtant qu’il parvient sans problème à compter les dizaines de milliers d’euros que lui rapportent son siège de sénateur et les nombreux points de retraite associés…

    Source

    http://www.contre-info.com/jean-vincent-place-senateur-de-la-ripoublique-refuse-de-payer-depuis-plusieurs-annees-18-000-euros-damendes

  • Et toi, tu passes ta vie dans les bouchons…

    Le flot est incessant, interminable, infini. Tout autour, ils sont là, nos contemporains, enfin ceux qui bossent. Mines de zombies, lymphatiques ou aggressifs, ils passent une bonne partie de leur vie dans les embouteillages à attendre afin de rejoindre leur boulot, telle une procession de moutons vers l’enclos. Bien peu se questionnent sur leur présence sur ces autoroutes ou périphériques bondés. Le visage crispé, le cerveau vide, ils considèrent ça normal quelque part sans toutefois y trouver un quelconque plaisir, comme les zombies du supermarché dont nous avons parlé ici. Parce que, franchement, se retrouver quotidiennement dans les bouchons sans réaliser que l’on vit dans un monde de fous (et un monde de merde) relève de la métaphysique… bouchons-home9.jpg9.jpg

    On passera sur le fait que la majorité des emplois actuels sont du vent et ne servent concrètement à rien hormis à enchaîner encore plus l’homme moderne à sa servitude. Mais cela ne suffit pas, tous les jours, il faut passer un temps fou avant de le rejoindre, cet emploi. Pendant ce temps, qui est, quoi qu’on en dise, « un temps de cerveau disponible », la société continue insidieusement à pourrir l’esprit des gens. Dans les bouchons, on écoute la radio du Système, ses mensonges, sa publicité ou alors de la musique de supermarché, produit marchand et non artistique visant simplement à promouvoir les valeurs du libéralisme qu’il soit sexuel ou sociétal. Ce temps perdu dans la bagnole, c’est du pain béni pour le Système et sa propagande, d’autant que l’individu perd aussi l’occasion de davantage aspirer à autre chose qu’à son destin d’homo economicus. Plus le temps de faire du sport, de s’instruire ou de se divertir intelligemment. Non, le soir venu, après le boulot inutile et aliénant, après les heures passées dans la caisse, on est las, complètement las. On a envie de ne rien faire. On est à nouveau disponible pour s’abrutir devant la chose la moins fatigante qui soit : la télé. On n’a plus le temps de voir les gens, de tisser ou d’entretenir des liens sociaux véritables hors les collègues du boulot (qui sont souvent des imbéciles). Et l’on s’étonne de la fin des communautés réelles aujourd’hui ?

    Et puis, qui dit communauté, dit avoir un enracinement commun, une vision de la vie proche, vivre dans le même lieu. Aujourd’hui, l’habitat est éclaté comme jamais, la France se couvre de lotissements périurbains sans âme peuplés par des gens sans identité les quittant tous à la même heure pour rejoindre des « pôles d’emploi » où tout le travail est concentré. N’y a-t-il pas un problème entre l’étalement urbain infini et la multiplication de zones entières vides d’activités professionnelles ? Alors que dans le passé, on vivait et travaillait dans la même zone, ce qui simplifiait la vie et permettait à la communauté d’exister, aujourd’hui, on vit rarement près de son travail et, de ce fait, on perd un temps infini dans des trajets occupant au final une bonne partie de notre temps journalier.

    Tout le monde (ou presque) utilisant sa voiture, plus par commodité que par désaveu de transports en commun où règnent souvent saleté et insécurité, le marché des carburants par lequel on tient tant les Etats que les simples particuliers, se tient bien, merci pour lui. En plus de l’essence utilisée pour les trajets en eux-mêmes s’ajoute celle que l’on crame inutilement dans les bouchons, tout le monde n’y perd pas, n’est-ce pas ? D’autant que la volonté des pouvoirs publics à juguler le fléau des bouchons qui sévit depuis 40 ans dans certaines zones est loin, on s’en doutait, d’être une priorité. En plus d’être gérée par des traîtres, la France l’est aussi par des incapables sans aucune vision d’avenir et sans aucun remède pour le présent. Prenons l’exemple lillois. Cela fait bientôt 20 ans que l’on parle, que l’on fait des rapports, que l’on se réunit pour traiter du problème épineux de la circulation dans la métropole… Et que fait-on ? On laisse de côté les rapports existants depuis belle lurette sur les moyens possibles de désengorger réellement la métropole et on décide de baisser la vitesse pour soi-disant fluidifier le trafic, de qui se moque-t-on ? Sans compter les larmes de crocodile à propos de la pollution… L’écologie, ça sert avant tout à faire culpabiliser le chaland et à lui faire accepter de nouvelles taxes. La planète et tout et tout, on s’en tape royalement en réalité.

    Il ne nous reste plus qu’à repartir travailler en empruntant ces routes encombrées par des gens prêts à se trucider pour une place ou quelques mètres et dont l’âme de voyeur est souvent réveillée par le moindre accident mais qui, en cas de réel problème, vous laisseront crever sur le bord de la route et qui jamais, au grand jamais, ne vous porteront assistance en cas de panne. Notre époque est merveilleuse !

    Rüdiger et Ann

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Un Hold-up sur l’épargne des Français : touchez pas au grisbi !

    Communiqué de Bruno Gollnisch, député au Parlement européen

    Union bancaire: TOUCHEZ PAS AU GRISBI !

    Après l’accord du 11 décembre supposé régler le problème au niveau national, les vingt-huit Etats membres de l’Union européenne s’acheminent vers un accord sur un mécanisme européen commun de résolution des faillites bancaires.

     On tente de nous distraire avec des arguties techniques mais le fond du problème est que ces textes permettent la généralisation du cas Chypriote – ce que l’on appelle le « bail-in » – à l’ensemble de l’Europe et, dans le cas de l’euro-zone, la création d’un organisme supranational pour décider du déclenchement et de la procédure de mise en faillite d’une banque.

     Or, le « bail-in » signifie que non seulement les actionnaires, mais les clients des banques, particuliers et PME compris, seront en première ligne pour renflouer un établissement défaillant. Théoriquement, les dépôts seront garantis jusqu’à 100.000 euros. Mais cette garantie même pose problème : les fonds prévus à cet effet sont loin d’être suffisamment abondés et, au niveau européen, tout le monde n’est pas d’accord sur la manière de les alimenter.

     C’est un véritable hold-up potentiel sur l’épargne et les avoirs de chacun de nous. Combien de banques seront tentées de faire n’importe quoi, avec cette assurance de pouvoir faire main basse sur un « grisbi » considérable en cas de pépin ?

    http://www.gollnisch.com/2013/12/19/un-hold-sur-lepargne-des-francais-touchez-pas-au-grisbi/

  • Langue française : Ayrault accélère la décomposition de la France

    Dans le droit fil des rapports sur la désintégration de la France demandés par François Hollande et dans lesquels dix ministères sont impliqués – le comte de Paris, duc de France, a publié, sur le sujet, une remarquable tribune dans Le Figaro du 18 décembre –, le premier ministre a décidé d’accélérer le processus législatif visant à la ratification par la France de la charte des langues régionales et minoritaires du Conseil de l’Europe, ratification engagée par Jospin mais toujours au point mort.

    Il faut en effet une modification de la Constitution. C’est en Bretagne que le Premier ministre a fait cette annonce, par démagogie, en vue de caresser dans le sens du poil les Bonnets rouges en colère. C’est aussi une des promesses du candidat Hollande.

    Cette mesure ne fait que renforcer les conclusions des rapports commandés par le Président de la République, qui visent notamment à retirer au français sa place de langue de la nation pour la fondre dans un multilinguisme dont notre langue, encore internationale – mais pour combien de temps ? –, ne se relèverait pas. Alors que les jeunes Français, et pas seulement ceux issus fraîchement d’une immigration incontrôlée, ont une connaissance de plus en plus approximative du français, ils devront demain acquérir au primaire et au collège, outre l’anglais devenu de facto obligatoire, une langue régionale, la langue arabe et une langue africaine, si du moins le Gouvernement actuel arrive à ses fins.

    L’Action française n’est pas opposée aux langues régionales, bien au contraire, et le faire croire serait d’une totale malhonnêteté intellectuelle. Maurras est devenu monarchiste par fédéralisme et il n’a jamais renié la langue provençale. Pour l’AF, la survivance des langues réellement de France que sont les langues historiques de son patrimoine est un trésor infini auquel la république s’est attaquée à la fin du XIXe siècle dans le seul but de déraciner les jeunes Français afin de les rendre plus malléables à sa propagande. Leur perpétuation et leur acquisition est donc légitime. En revanche, la France n’a pas à s’inscrire dans un carcan supranational européen, d’autant que si la notion de « langues régionales » a un sens pour elle, celle de « langue minoritaire », qui ne vaut que pour les empires, n’en a aucun. Car qui dit langues minoritaires dit langue majoritaire, or le français n’est pas la langue (encore) majoritaire parlée en France mais la langue des Français et la langue de la France ...sauf à considérer, comme les indépendantistes de tout poil… et les technocrates européens désireux de détruire la nation, que notre pays n’est lui aussi que le résultat d’une colonisation impériale.

    Ce Gouvernement vise chaque jour à retirer une pierre à l’édifice national. En l’occurrence, il s’agit de la pierre d’angle, puisque c’est à la primauté du français qu’il s’attaque Une lutte à mort est engagée entre ce régime et la France.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-Langue-francaise

  • Les Sentinelles devant France Télévisions

    Hier soir :

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    Michel Janva

  • L'avortement en passe de devenir un "droit" comme un autre

    Le projet de loi sur l'égalité des femmes et des hommes, examiné aujourd'hui en commission des lois, vient de faire l'objet d'un amendement socialiste (voté également par deux députés UMP). Alors que la loi Veil limitait la possibilité d'avorter (en tout cas sur le papier) à des cas de "situation de détresse", il suffira désormais que la femme enceinte ne "veu[ille] par poursuivre une grossesse". Une modification qui «introduit l’idée que l’IVG serait un droit comme un autre», déplore Philippe Gosselin, député UMP et membre de l'Entente parlementaire pour la famille.

    Une nouvelle preuve, s'il en fallait, que l'exception mène toujours à la banalisation.

    Le projet de loi sera débattu à l'Assemblée nationale à partir du 20 janvier, sur cette nouvelle base. De quoi nous motiver davantage encore à participer la veille à la Marche pour la vie !

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L’Union européenne, meilleure alliée de l’islamisation de l’Europe ?

    Entretien avec Aymeric Chauprade

    Le choc des civilisations, il y a ceux qui en font un fonds de commerce, ceux qui le redoutent, sans oublier ceux qui le suscitent. Où vous situez-vous dans cette béchamel ?

    Dans aucun de ces camps. Je suis un réaliste. La réalité historique s’impose à moi, c’est tout et je n’ai pas à la refaire à mon goût. Et l’histoire dans la longue durée, c’est le choc des civilisations et des peuples. Comment nier d’ailleurs le choc multiséculaire entre l’Occident et l’islam ? Bien évidemment, ce choc est à nuancer par le jeu des nations, lesquelles ont pu faire des choix contradictoires. Je sais très bien que la France de François Ier était alliée à l’Empire ottoman et que nous n’étions pas du côté de la civilisation chrétienne à Lépante. L’histoire est complexe, nuancée. Mais, dans la longue durée, la civilisation est ce qui compte par-dessus tout. C’est ce qui reste quand tout ou presque a changé, a pu dire un historien. En tant qu’historien, je constate le choc ; en tant que politique, je soutiens le dialogue (des civilisations) mais j’ai le devoir de ne pas être angélique face à l’islamisation.

    Aujourd’hui, deux constats s’imposent à nous. Le premier tient au fait que dans le monde musulman, alors que les tentatives nationalistes laïcisantes (Nasser, Saddam Hussein, Bourguiba, Kadhafi…) sont désormais derrière nous, l’islam comme projet politique (mais l’islam n’est-il pas, par essence, un projet politique ?) revient en force partout. Et ce retour ramène la femme à une place d’infériorité évidente, comme il ramène les minorités non sunnites (chiites ou chrétiennes) à un statut d’infériorité. Cette révolte du monde musulman contre le glissement qui s’était produit vers des standards occidentaux, cette révolte contre une « mondialisation-occidentalisation », qui peut la nier ? Les prétendus printemps arabes ne se sont pas faits pour installer la démocratie occidentale. Ils sont l’expression de la réislamisation du monde arabe. Cette révolte va des Frères musulmans à Al-Qaïda, de l’expression politique à l’expression terroriste. Or, nous serons obligés d’en tenir compte, dans les années à venir, d’autant plus que la démographie sera largement à l’avantage de la rive sud de la Méditerranée. Malheureusement, parce que l’Européen est un oublieux de l’histoire, il laisse progressivement l’islam se rapprocher de lui en matière de capacités militaires.

    Lire la suite....

  • Eric Zemmour Rapport de l'intégration ni un couac, ni une maladresse

  • En relisant nos maitres

    Depuis quelques années les approches conservatrices, réactionnaires, voire contre-révolutionnaires ont connu un renouvellement de leur littérature par la multiplication d'essais, de qualité, variable, dont votre blog préféré a eu régulièrement l'occasion de se faire l'écho. Même si un certain nombre de concepts ont été mis à jour par l'actualisation de leurs modalités d'application dans le monde d'aujourd'hui, leurs fondements philosophiques, ancrés notamment dans la permanence et l'invariance de la nature humaine, demeurent pérennes. Dans ce cadre nous vous proposons, selon un rythme plus ou moins régulier, de rappeler à notre bon souvenir quelques lignes de nos maitres, au fil de nos lectures ou relectures.

    Aujourd'hui nous "ferons mémoire" de Jean Ousset, avec ces quelques lignes de "Pour qu'Il règne" (Editions Dominique Martin Morin).

    Q« La neutralité est impossible (…) elle n’existe pas. Il est dans l’ordre que le glaive temporel soit soumis au glaive spirituel… la chose a toujours été et sera toujours. Autrement dit IL EST IMPOSSIBLE QU’UNE DOCTRINE NE REGNE PAS SUR L’ETAT, QUAND CE N’EST PAS LA DOCTRINE DE VERITE, C’EST UNE DOCTRINE D’ERREUR (NDPC : c’est l’auteur qui met en majuscules). Ainsi le veut l’ordre des choses. Il veut que la force obéisse à l’esprit, et, de fait, elle obéit toujours à un esprit : esprit de vérité ou esprit de démence.

    A ceux, donc, qui aujourd’hui s’en vont levant les bras et hochant la tête quand on leur rappelle cette doctrine des « deux glaives », refusant d’y croire, en  la prétendant  «  dépassée », nous avons pris l’habitude de répondre ! « Démontrez-nous qu’aucune force spirituelle ne règne plus sur l’Etat et nous vous croirons aussitôt. Démontrez-vous que la Maçonnerie ne règne pas à la place de l’Eglise, et de telle sorte que le magistère de celle-ci n’était qu’enfantillage au regard de la pression de celle-là. Ah ! Vous ne voulez pas que la Sainte Eglise de Dieu règne sur le gouvernement des nations ! Qu’à cela ne tienne ; les nations passeront sous la puissance des sectes. Votre Etat, « libéré » de l’Eglise, ne cessera pas d’obéir à un glaive spirituel, glaive spirituel des forces occultes, autant dire de ces idées de laïcisme, de naturalisme que ces forces font pénétrer partout et en se moquant bien de nos scrupuleuses distinctions sur les domaines respectifs du pouvoir spirituel et du pouvoir temporel. »

    Il cite plus loin Pie XII :

    « De la forme donnée à la société, conforme ou non aux lois divines, dépend et découle le bien des âmes, c’est à dire le fait que les hommes, appelés tous à être vivifiés par la grâce du Christ, respirent, dans les contingences terrestres du cours de la vie, l’air sain et vivifiant de la vérité et des vertus morales ou, au contraire, le microbe morbide et souvent mortel de l’erreur et de la dépravation. »

    Paula Corbulon

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • A Tours, les Sentinelles ne lâchent rien

    Hier soir devant le Palais de Justice de Tours :

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    Michel Janva