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  • Des bombes à graines pour se battre contre Monsanto

    Source : agirlocalement.wordpress.com - Pour se battre contre Monsanto, le lobbyiste des graines, on peut agir localement, entre amis et en toute légalité… Réapproprions-nous les espaces verts publics en y plantant des graines… Un groupe de Montpellier a repris une idée de nos voisins anglais. Cela consiste à faire des boules de terreau remplies de graines, de trouver un endroit propice et d’y jeter ces “bombes à graines”. “Une bombe à graines est une petite boule composée d’un mélange de terreau et d’argile dans lequel nous y insérons des graines mellifères, une source d’alimentation pour butineurs et pollinisateurs. Elles sont pratiques pour atteindre les espaces délaissés derrière les clôtures ou sur les toits, elles peuvent également être dispersées directement sur le sol sans être plantées. Les graines ainsi protégées germeront dès qu’elles seront exposées à des conditions favorables. Le lancer de bombes à graines fait partie du mouvement de « guérilla » jardinière né dans les années 90 chez les Anglo-saxons. Cet acte participe à la distribution des semences de façon ludique et engagée.”

    http://fr.novopress.info/156754/bombes-graines-se-battre-contre-monsanto/

  • Disons-le tout net : M. Guéant se fout du monde

    On découvre que M. Guéant est un bohème, un poète qui ne se soucie guère de toutes les paperasses dont s’embarrasse l’administration d’un État.

    Secrétaire général de l’Élysée, puis ministre de l’Intérieur, longtemps comme cul et chemise avec Nicolas Sarkozy, plus influent, mieux informé et plus agissant que cet autre « collaborateur » qu’était le Premier ministre, intervenant dans tous les dossiers au mépris des structures et des hiérarchies officielles, mêlé de près ou de loin à toutes les affaires, aux grands comme aux petits secrets de l’État, courtisé, redouté, s’environnant d’un manteau de mystère qui lui allait bien au teint, Claude Guéant passa, durant le dernier quinquennat, pour l’homme le plus puissant de France, la moderne réincarnation de ces éternelles éminences grises, de ces hommes de l’ombre, insensibles, calculateurs et cyniques, dont le Père Joseph, sous le règne de Louis XIII et de Richelieu, demeure le modèle.

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  • Mais qu’est-ce qu’ils ont dans la tête ?

    Pas une journée ne passe sans que je me pose cette question : mais qu’est-ce qu’ils ont dans la tête ?

    Par exemple, quand Cazeneuve établit son budget en prévoyant le doublement des redressements fiscaux, je me pose la question : mais qu’est-ce qu’il a dans la tête ? N’a-t-il jamais vu un contrôle fiscal ? Sait-il qui sont ceux qui vont être détruits de la sorte ? Est-il conscient qu’il va perdre, par ruine factice, des milliers de créateurs de richesse du fait de cet ordre stupide ?

    Quand les contrôleurs fiscaux partent en campagne, qu’ils montent des dossiers complètement abscons en recalculant à leur sauce la comptabilité des entreprises, je me dis : mais qu’est-ce qu’ils ont dans la tête ?

    Quand ces mêmes contrôleurs notifient un redressement, dont ils savent pertinemment que c’est une abstraction sans aucune réalité, que l’entreprise est incapable de le payer, et qu’il va ruiner l’entrepreneur : mais qu’est-ce qu’ils ont dans la tête ?

    Quand les politiques véhiculent l’idée que c’est la trop grande liberté accordée aux entrepreneurs qui est à l’origine de la crise que nous traversons : ils ont quoi dans la tête ? Impossible d’imaginer qu’ils ignorent l’encadrement qu’ils ont mis en place qui interdit toute initiative. Evidemment, ils savent parfaitement que rien ne peut se faire sans passer par eux, qu’ainsi rien ne se fait, puisque le temps de passer par eux c’est déjà trop tard en fonction du rythme imposé par l’économie mondiale.

    Quand ces mêmes politiques sont capables de débattre pendant des heures de l’avenir, à la télévision ou ailleurs, en laissant croire qu’ils vont pouvoir continuer à inonder leurs électeurs d’avantages pécuniaires, alors que leur faillite est programmée pour demain : que se passe-t-il dans leur tête ? Ils n’ignorent pas que leurs prélèvements ont depuis longtemps terrassé les entrepreneurs. Ils n’ignorent pas qu’ils ont les mains vides. Comment peuvent-ils encore faire des promesses ?

    Quand la famille Le Pen a le souffle de promettre encore plus, plus de partage, plus de ponction sur le capital, donc sur le moteur de l’économie : mais que se passe-t-il dans leurs têtes ? Comment imaginent-t-ils que cela va finir ?

    Quand les braves gens croient à tout cela, quand on les sent prêts à tuer, la violence à fleur de peau, cherchant juste sur qui la déverser, je me dis : mais qu’ont-ils dans la tête ?

    Quand la presse ment à tout le monde sur la situation. Quand elle fait croire que l’on va encore pouvoir vivre dans l’insouciance, que la seule chose qui compte est de savoir si deux personnes du même sexe peuvent se marier, ou espionner la vie des starlettes de la télé, des intermittentes du spectacle, alors que la misère est à nos portes : mais qu’est-ce qu’ils ont dans la tête ?

    Quand je suis sur la route, que je croise des milliers de voitures, je me demande : comment font-ils pour payer l’essence ?

    Quand je suis au restaurant, qu’au deuxième service il n’y a toujours pas de place, je me dis : comment vont-ils faire pour payer l’addition ?

    Je ne parle pas des voitures neuves, du prix des appartements, des vêtements, des sports d’hiver : comment ça marche tout ça ?

    Ils ne peuvent quand même pas avoir tous gagné au loto ?

    Quand je vais dans un service public, que dès la réception on m’explique que ma requête est impossible, que ceux qui pourraient y répondre sont absents, voire en congé, que de toute façon ce que je demande est interdit de communication, je me dis : mais qu’est-ce qu’ils ont dans la tête ?

    Une fois par mois, peut-être moins, la surprise me terrasse. Récemment, je suis allé dans un bureau. Fermé le mardi ! La responsable m’a ouvert quand même ! Je me suis surpris à penser : mais qu’est-ce qui s’est passé dans sa tête ?

    En clair, j’ai beaucoup de mal à comprendre l’environnement et la pensée de cette société dans laquelle je suis projeté à mon insu. J’espère que c’est moi qui ai tort, moi qui suis décalé par rapport à la réalité, sans quoi ce serait très inquiétant.

    Si par malheur cette incompréhension généralisée n’était pas de mon fait, si, au contraire, c’était tout le système qui prenait une mauvaise route, l’accident collectif à venir serait alors d’une grande gravité. Il est bien préférable que ce soit moi le con de service. Vous voudrez bien m’en excuser.

    Henri Dumas

    http://francelibre.tumblr.com/post/76892100943/mais-quest-ce-quils-ont-dans-la-tete#.UwHnY14sRXY

  • Communiqué : La grande offensive

    Nous ne reviendrons pas une fois de plus sur la nullité du gouvernement qui n’est que la représentation ultime d’un régime dont la légitimité laisse les Français de plus en plus nombreux dans la perplexité.

    Alors, le système aux abois lance une offensive tous azimuts contre ce qu’il voudrait faire passer pour une progression aussi dangereuse qu’inexorable de la « peste brune » Il s’agit d’abord de désigner les ennemis de la République avant de mettre en place une terreur visant tous les opposants qualifiés de contre-révolutionnaires en 1794, et de fascistes antisémites aujourd’hui. Le genre d’accusation qui constitue une quasi exécution sommaire, justifiant dans la conscience des élites « Alpha » qui nous gouvernent de s’affranchir de l’Etat de droit. On l’a vu avec la condamnation de nos militants qui sifflèrent Hollande le 11 novembre, qui ont pris « plus cher » que des agresseurs de vieilles dames. Il est plus grave en République idéologique de penser à rebours du Marais, que de commettre des délits de droit commun.

    La manifestation « Jour de colère » a permis de cristalliser cet élan répressif. Toute la presse s’en est donné à cœur joie et certes, on a pu voir, malheureusement, ça et là quelques excès et débordements, plus dans les cris et les paroles du reste que dans les actes.

    Et puis, ce qui inquiète ceux qui nous « gouvernent », c’est le côté black-blanc-beur d’une manif bleu-blanc-rouge. Pourtant ils ont tout fait pour ça, depuis la fameuse coupe du monde de foot où, les larmes aux yeux, ils contemplaient la liesse de la nouvelle France cosmopolite. Alors oui, il y a eu des slogans en marge, condamnables. Contrairement à ce que veulent faire croire certains média, à l’AF nous rejetons toutes formes de racisme y compris l’antisémitisme que nous jugeons purement épidermique, malsain et dénué d’intelligence. En revanche, nous dénoncerons toujours avec fermeté, toutes menées et tentatives d’influence qui détourneraient l’Etat du bien commun au profit d’intérêts sectoriels de communautés, lobbies et autres groupes d’intérêts.

    Les Français sont à bout ! Il faudrait, si le pouvoir en plus de son inefficacité abyssale n’était pas sectaire, essayer de renouer les fils du dialogue, essayer de comprendre ce qui choque et désespère de nombreux Français, plutôt qu’en plus du chômage et de la pression fiscale, asséner des réformes « sociétales » qui visent à accélérer l’atomisation de la société. Ainsi le peuple cédant la place à une multitude d’individualistes jouisseurs et dépressifs, il n’y aura plus de risques d’insurrection puisqu’il n’y aura plus de peuple.

    Gageons que nous n’en sommes pas déjà là.

    La colère, qui s’empare de ceux qui ont encore un niveau de conscience, étant mauvaise conseillère, il fuse en effet des cris de haine, d’intifada qui pourraient se changer en plus graves violences. Nous savons que cela est dangereux et le pouvoir imbécile de se pourlécher les babines en trouvant là que le dossier est assez lourd pour saisir une occasion prochaine de broyer cette foule détestée. Car, ne nous faisons pas d’illusion, depuis la Commune, les révoltes populaires ont toujours été écrasées par la République, laquelle sait se donner les moyens avec sa police, ses magistrats voire même son armée, relayés par les média, d’en finir.

    On sait que derrière tout ça, Bruxelles est à la manœuvre, les yeux fixés sur l’horizon du mondialisme. Toute l’Europe est en souffrance. Quand on pense qu’en Allemagne on condamne à la prison les parents qui refusent de laisser leurs enfants assister aux cours d’indifférenciation des sexes et qu’en Suisse on impose des « Sexbox » en maternelle. Du reste la nouvelle et surprenante offensive de l’ONU contre le Vatican ne serait-elle pas une réplique à la dénonciation par le Pape de l’actuel ordre économique mondial ?

    Si nous voulons combattre cette caste internationale et apatride qui cherche à asservir les peuples, nous devons nous organiser, car nous disposons de forces dans le pays et dans le monde capables de renverser la tendance mortifère qui cherche à s’imposer.

    La France aura un rôle primordial à jouer dans cette révolution universelle. Refusons de tomber dans les pièges qui nous sont tendus et organisons la riposte de l’intelligence face à la barbarie institutionnalisée.

    L’Action française sera toujours de ce combat là.

    Olivier Perceval, Secrétaire Général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-La-grande-offensive

  • Quatre millions d’immigrés supplémentaires d’ici à 2025 !

    Les prévisions du PDG d’EDF retenues par le gouvernement.

    Le journal « Le Monde* » a fait paraître, le mardi 11 février à sa page 6, un article sur les manœuvres de l’Elysée concernant le nucléaire. Le président de la République s’était engagé à réduire de 75 à 50% la part de l’électricité d’origine nucléaire d’ici à 2025, ce qui avait amené les Verts à tabler sur la fermeture d’une vingtaine de réacteurs.

    En réalité, selon l’article, des centrales seront bien fermées mais seront remplacées par des EPR de troisième ou quatrième génération afin de maintenir une puissance du parc nucléaire constante. Mais alors que sont devenus les engagements de Hollande ? Les trahirait-il ? Ce ne serait pourtant pas dans ses habitudes !

    Le journal « de référence » donne l’explication :

    « Quant à la chute à 50% de l’atome dans le mix électrique d’ici à 2025, le raisonnement du PDG d’EDF, Henri Proglio, a visiblement fait mouche auprès de plusieurs ministres : la part relative du nucléaire diminuera mécaniquement en raison de la hausse de la consommation d’électricité liée aux nouvelles technologies et à une population forte de 6 millions d’habitants supplémentaires ».

    Six millions ! En 11 ans !

    Sur quel fondement H. Proglio peut-il décompter une telle progression de 6 millions d’habitants qui amènerait la population de notre pays à un total de 71 millions en 2025 ? Le solde démographique naturel entre les naissances et les décès est en effet d’environ 260.000 en 2008 (Assimilation, la fin du modèle français, de Michèle Tribalat, p. 68), ce qui représente 2.860.000 nouveaux petits Français sur la période. Mais alors la différence : 3.140.000, que peut-elle représenter sinon un solde migratoire d’environ 285.000 personnes par an sur 11 années ? Ce solde migratoire doit tenir compte  du chiffre net annuel négatif de l’expatriation de Français vers l’étranger : 80.000 par an (selon J.P. Gourévitch), beaucoup pour ne pas revenir, ce qui représente en fait un flux annuel d’immigration de 365.000 personnes et non plus de 200.000 comme c’est fréquemment admis pour arriver au chiffre prévisionnel du patron d’EDF. Sur onze années ce flux d’immigration représente quatre millions d’immigrés supplémentaires d’ici à 2025.

    Comment concilier ce chiffre impressionnant avec le solde migratoire de 75.000 personnes affiché par les estimables X. Chojnicki et L. Ragot (p. 24 de leur livre L’Immigration coûte cher à la France. Qu’en pensent les économistes ?**) qui affirment que la France est un pays de faible immigration ? H. Proglio se serait-il trompé ? C’est improbable de la part du président d’EDF que ses fonctions conduisent à disposer de renseignements puisés aux meilleures sources. Aurait- il inventé ce chiffre pour appuyer son argumentation ? Cela semble difficile puisque c’est celui-ci qui a convaincu plusieurs ministres socialistes, par nature très compétents comme ils le démontrent tous les jours, de maintenir la puissance actuelle du parc nucléaire. L’auteur de l’article, Marie France Baudet, se serait-elle fourvoyée ? Non, pas une journaliste du quotidien « de référence ».

    Peut-être le PDG d’EDF a-t-il tout simplement eu un mot de trop et dévoilé ce que veulent et savent les membres de la caste gouvernante de ce pays. Leur objectif, d’ici 11 ans, serait donc de 4 millions d’immigrés de plus en France, quelles que soient les conséquences. Il ne leur reste plus, pressés par leur éthique de transparence habituelle, qu’à le confirmer ou l’infirmer.

     André Posokhow, Expert-comptable. Consultant, 14/02/2014

     Notes :

    (*) Voir article Le Monde.fr
    Se reporter à l’intertitre Maintien du Parc, deuxième alinéa :

    « Quant à la chute à 50 % de l’atome dans le mix électrique d’ici à 2025, le raisonnement du PDG d’EDF, Henri Proglio, a visiblement fait mouche auprès de plusieurs ministres : la part relative du nucléaire diminuera mécaniquement en raison de la hausse de la consommation d’électricité liée aux nouvelles technologies et à une population forte de 6 millions d’habitants supplémentaires. »

    (**) « L’immigration coûte cher à la France. Qu’en pense les économistes ». De Xavier Chojnicki et de Lionel Ragot.

    http://www.polemia.com/quatre-millions-dimmigres-supplementaires-dici-a-2025/

  • Bibliothèques idéologiques : les parents nantais réagissent

    Ainsi que l'écrit Metronews :

    "Ce sont des parents d’élèves de la crèche Nouvelle Vague à Nantes qui ont donné l’alerte : la directrice a lu à leurs enfants Jean a deux mamans, un livre mettant en scène une famille homoparentale. Un message a été lancé sur les réseaux sociaux… et a allumé la guerre des genres, qui couvait à Nantes. 

    Car après les mobilisations contre le "mariage pour tous" l’an dernier, les militants ont un nouveau sujet d'inquiétude : la "théorie du genre", qui serait appliquée dans les écoles, via les ateliers ABCD de l’égalité, présentés par le gouvernement comme  éduquant à l’égalité garçon fille. Sur Internet, les appels à la vigilance mais aussi les rumeurs se multiplient, de la part de mouvements parfois extrêmes. Ainsi, le Printemps français a lancé il y a quelques jours une campagne nationale visant à retirer des rayons des bibliothèques des livres jugés subversifs. Des ouvrages sont recensés à Versailles, Lyon, ou encore… Nantes, sur le site d'activistes Le Salon Beige. Des témoignages circulent, via des pages Facebook comme Les Nantais pour la famille, appelant à aller protester auprès des bibliothécaires.

    Alertée par ses adhérents sur ce dossier, l’Association des familles catholiques 44(AFC), qui défend le mariage homme-femme, invite à la prudence "sur ce débat très vif", mais refuse de parler de simple rumeur. "Une douzaine de parents nous ont parlé de ces lectures à la crèche", explique Côme de Castelbajac, vice-président. "Cela existe, alors qu’il n’y a pas de communication claire et officielle de la mairie et des directeurs de crèche. Sachant cela, on informe nos adhérents pour qu’ils prennent leurs responsabilités." Car même si l’AFC reconnaît "qu’il y a des situations familiales diverses dans les crèches", le principal problème est qu’il n’y a eu "aucune information" : "Les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants. La confiance qui existait vis-à-vis du personnel de l’école est rompue. C’est désolant." [...]"

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Chine : nouveaux mensonges onusiens sur les « dons » d’organe des condamnés à mort ?

    [Article de Laurent Glauzy, en exclusivité pour Contre-info.]

    La Chine arrêterait la pratique de la transplantation des organes prélevés sur ses condamnés à mort, alors que ce commerce est en pleine expansion

    Sur son site, Cntransplantation affiche le slogan La vie n’a pas de prix. Cette agence chinoise spécialisée dans les transplantations d’organes argumente que, « dans le monde entier, de plus en plus de patients viennent en Chine à la recherche d’une réincarnation. » Chaque internaute peut renseigner un formulaire préétabli, en se dissimulant derrière le profil type d’un homme de 47 ans, cherchant un rein de donateur en bonne santé. Quelques heures plus tard, un médecin vous informe par courriel que la Chine satisfera votre demande.

    En raison d’une pénurie momentanée, le coût de l’intervention est de 350 000 dollars, frais de clinique et hébergement inclus. Dans le cas où le patient se présente avec un donateur, l’opération s’élève seulement à 55 000 dollars. La prestation est exorbitante, mais il est vrai que les médecins chinois se targuent d’un taux de réussite de 100 %.

    L’empire communiste accueille ainsi des patients fortunés, venus du monde entier.

    Même en Chine, qui occupe la deuxième place pour les transplantations d’organes, derrière les États-Unis, les donateurs deviendraient extrêmement rares. Le gouvernement, avare de manière générale de statistiques fiables, indique une baisse des transplantations imputées à une prétendue diminution des dons d’organes. En 2004, 12 000 transplantations ont été recensées, contre 7 900 en 2012. Est-ce alors un hasard si, toujours d’après les estimations de Pékin, sur une liste d’attente de 1,5 million de Chinois, à peine 1 % obtiendra une greffe de cœur, de rein ou de foie. Heureusement, les patients de Cntransplantation sont mieux lotis ! D’ailleurs, l’agence certifie un rein en excellent état : « Vous verrez, les chirurgiens sont très expérimentés. »

    Dans une première étape, le receveur se déplacera à Pékin pour établir un enregistrement médical. Il sera pris en charge à l’aéroport : « Informez-moi quelques jours avant votre vol », demande le médecin chinois. Le prix pour la recherche d’un organe est de 3 500 dollars. Le patient devra s’acquitter de cette somme en liquide.

    Bien qu’interdites depuis 2007, les transplantations provenant d’organes de prisonniers exécutés, constitueraient la moitié de ces interventions. Depuis 1969, la Chine aurait ainsi fait le commerce de cent mille organes de prisonniers exécutés.

    Der Spiegel (n° 48/2013, p 140) explique qu’en Chine, les prisonniers seraient exécutés sur commande. L’hebdomadaire allemand ajoute qu’« un patient désirant une transplantation cardiaque devant attendre des mois dans un autre pays, doit seulement patienter deux semaines en Chine, comme en témoignent deux Israéliens ».

    Un des principes fondamentaux de la médecine de transplantation est le volontariat. Jusqu’à présent, les autorités affirment que les condamnés accordent librement le prélèvement de leurs organes. L’Association médicale mondiale et la Société internationale de transplantation, qui contredisent ces propos mensongers, précisent que les condamnés n’ont aucune liberté : leurs organes ne peuvent donc pas être légalement utilisés.

    Cette pratique devrait en principe isoler la Chine ! En effet, les chirurgiens effectuant des transplantations en Chine ne pourront plus, en théorie, présenter leurs résultats aux Congrès mondiaux de médecine, ni écrire dans des revues médicales. De plus, ils seront persona non grata sur le territoire américain.

    Der Spiegel démontre que ce soi-disant isolement est hypocrite. Car ce sont avant tout des médecins américains, conseillers du gouvernement, comme Wu Youmin, de l’État de New York, Michael Millis, chirurgien spécialiste des transplantations de l’Université de Chicago, et le Dr John Fung de TTS (Société américaine de transplantation), qui ont formé les médecins chinois à la technique des transplantations. Millis coopère, dans le cadre de son université, avec Peking Union Medical College. Fung est, lui, engagé depuis vingt ans dans la formation des transplanteurs chinois mais, malgré cette longue expérience, il ne s’est jamais prononcé sur l’origine des organes transplantés ! Il en est de même, en Europe, avec le Centre de transplantation cardiaque (DHZB) de Berlin, qui travaille avec plus de trente hôpitaux chinois, dont des cliniques spécialisées dans les transplantations : Roland Hetzer, directeur du centre, ne répond jamais sur l’origine des organes en Chine.

    Pour sortir de ce soi-disant isolement, le vice-ministre de la Santé Huang Jiefu tente de légaliser la pratique des dons d’organes fondés sur le volontariat des détenus. À long terme, il ne reste pas d’alternative car, d’après les autorités chinoises, le nombre d’exécutions serait en recul. Devons-nous le croire ? Ou bien s’agit-il d’un moyen pour mobiliser les associations humanitaires étrangères afin d’étendre le trafic des dons d’organes à de nouveaux donateurs ? Dui Hua Foundation parle de 10 000 exécutions en 2005, contre 4 000 en 2011. Cette ONG a été fondée en 1999 par l’ancien homme d’affaires John Kamm, maintes fois récompensé pour ses actions par les plus hautes instances américaines. En 1997, John Kamm reçoit le Prix Best Global Practices Award des mains du président Bill Clinton et, en 2001, le président George W. Bush lui attribue l’Eleanor Roosevelt Award for Human Rights. En 2005, les Nations unies accordent à Dui Hua le « statut consultatif spécial ». John Kamm est donc très apprécié par la mafia des instances maçonniques internationales.

    Par conséquent, nous avons tout lieu de douter d’une baisse des condamnations à mort, surtout quand les dissidents chinois parlent d’une accentuation de la répression.

    Bien que les promesses de Pékin en termes de droits de l’homme ne soient pas souvent suivies d’effets, fin 2013, le ministre chinois de la Santé Li Bin a clairement avancé que l’utilisation des organes des condamnés cesserait dès le milieu 2014, c’est-à-dire sept ans après son interdiction ! Davantage intéressé par les réalités économiques que par les droits de l’Homme, pour complaire à l’Occident, le nouveau président Xi Jimping, élu en 2013, a proposé des mesures telles que la suppression des camps de rééducation, l’assouplissement de la politique de l’enfant unique et garantie de droits aux paysans, présentées par l’Occident comme des avancées sociales. Surfant sur ce vent de démocratisation, Li Bin promet un plan en cinq points prévoyant notamment une liste d’attente sur informatique et la limitation des dons d’organes aux patients ayant réellement besoin d’une greffe pour raison médicale. TTS qualifie ces propositions chinoises de grande avancée.

    Le 2 novembre 2013, lors de la conférence de Hangzhou, où étaient présents le président de TTS, le professeur de Harvard Francis Delmonico et son successeur l’Australien Philip O’Connor, Huang Jiefu, ancien ministre adjoint de la Santé, qui dirige la réforme de la transplantation d’organes, a affirmé que la Chine allait mettre fin à la transplantation des organes de prisonniers exécutés. Qu’on se le dise !

    À présent, la Chine a besoin du soutien international, écrit Delmonico dans son rapport sur la Déclaration de Hangzhou. Des promesses contre une aide internationale ? TTS et l’Organisation mondiale de la Santé (sous l’autorité de l’ONU) ont signalé leur participation à une grande conférence sur la transplantation, qui se tiendra en Chine en juin 2014. Cette conférence se situe dans la perspective du plan des cinq points et de son application pour mettre fin au prélèvement d’organes sur les condamnés à mort.

    En pratique, seulement 40 des 169 centres licenciés de transplantation ont déclaré qu’à l’avenir, ils renonceraient à des organes de prisonniers. Les autorités communistes ne disent toujours pas précisément comment sera interrompue la pratique des transplantations.

    Comment la Chine honorera-t-elle la demande mondiale croissante de dons d’organes si la source principale, celle des condamnés à mort, se tarit ?

    Pour la première fois, en 2010, une nouvelle campagne fondée sur le libre consentement de donateurs chinois a débuté. Les résultats ont été un échec : 63 dons d’organes ont été enregistrés pour toute la population de l’empire. Ce chiffre a augmenté quand la Croix-Rouge [fondée en 1901 par le Franc-maçon Henri Dunant : cf. Heinz Günter Deiters, Die Freimaurer. Geheimnis und Enthüllung, 1963 et Paul Naudon, Histoire générale de la Franc-maçonnerie, 2004.] a rémunéré à hauteur de milliers de dollars les dons d’organes aux familles donatrices ! Il s’agit, à n’en pas douter, de dépenses gigantesques pour cette organisation et d’une véritable fortune pour les populations vivant sous le seuil de pauvreté, avec un salaire de 280 euros par an. Malgré ces nouvelles mesures abusant de l’extrême pauvreté des paysans chinois, en 2013, Li Bin a parlé de réussite. De plus, cette même année, le ministre de la Santé a annoncé le chiffre de 3 175 organes prélevés sur 1 161 donateurs décédés. Ces pratiques ne convainquent pas le président de TTS, pour qui l’achat d’organes, surtout dans des régions pauvres, « contredit la ligne de l’Organisation mondiale de la santé ».

    Toutes ces campagnes laissent entrevoir une machination orchestrée par des institutions mafieuses comme l’ONU, qui couvrent très certainement par ce procédé les agissements très lucratifs de criminels sans vergogne, voyant dans les transplantations d’organes un moyen d’accroître leurs bénéfices. De plus, l’actualité démontre que le trafic d’organes ne se limite pas à la Chine, puisqu’il a été mis à jour au sein même de l’Europe, et par des journalistes courageux :

    Le Corriere della Sera du 7/9/91 exposait : « Selon la presse de Lima, des ressortissants italiens auraient importé 1 500 petits Péruviens, qui ont ensuite été assassinés pour permettre l’utilisation de leurs organes. » Lorsque Il Giornale du 4/9/1995 a affirmé que des enfants de l’Europe de l’Est ont été mutilés pour que leurs organes servent à des transplantations en Italie, Antonio Guidi, ministre de la Famille de 1994 à 1995 et ministre de la Santé de 2001 à 2006, a rétorqué avec beaucoup de légèreté et un certain sadisme : « En Italie, non. C’est impossible ! Ils traversent nos terres comme des oiseaux migrateurs, dont le destin est d’être abattus. »

    La Chine serait en passe de devenir un « paradis communiste », sous la surveillance d’instances bien peu crédibles comme l’OMS. Qui peut croire à un tel mensonge de la part d’instances démocratiques criminelles aux ordres des Illuminati ?

    « Pour qu’il y ait un gouvernement mondial, il est impératif d’éliminer des esprits l’individualisme, le sentiment national, les dogmes religieux et la loyauté envers la famille. » Brock Chrisholm, premier président de l’OMS [Cf. Par Robertson, The New World Order – Il will change the way you live, Dallas, 1991, p. 7.]

    Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/chine-nouveaux-mensonges-onusiens-sur-les-dons-dorgane-des-condamnes-a-mort#more-31446