l'information nationaliste - Page 77
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L’Empereur Auguste ou l’invention du soft power, avec Gilles Sauron
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« L’islamo-gauchisme n’existe pas » : l’hypocrisie schizophrénique de Borne
Dans un pays normal, le ministre des Universités qui a proféré de telles inepties sur l’inexistence selon lui, de l’islamo-gauchisme, aurait dû être immédiatement et sur-le-champ relevé de ses fonctions. Dans un pays normal… mais voilà, nous sommes en France, pays gouverné par des schizophrènes de la politique.
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Jerzy Kwaśniewski : « Toute forme d’immigration engendre l’instabilité, érode la sécurité et contribue à la criminalité » [Interview]
En ce début juillet 2025, la frontière entre la Pologne et l’Allemagne est devenue un foyer de tensions intenses, alimentées par des questions migratoires qui opposent les deux pays voisins. Des contrôles frontaliers renforcés, des protestations citoyennes et des accusations mutuelles ont transformé cette zone en symbole des fractures européennes sur l’immigration.
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Dépenses militaires : l’illusion du sursaut patriote
Thomas Joly - Président du Parti de la France
L’annonce d’un doublement du budget de la Défense aurait pu, en d’autres temps, apparaître comme une mesure salutaire. Oui, notre armée a cruellement besoin de moyens, après des décennies de coupes budgétaires dictées par l’idéologie mondialiste et pacifiste de la classe dirigeante. Mais ici, il ne s’agit pas d’un sursaut patriotique. Il s’agit d’un réflexe atlantiste, fondé sur un fantasme : la soi-disant menace russe. Une pure mise en scène pour justifier des dépenses militaires qui, en réalité, ne font que combler le gouffre abyssal de nos retards.
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Trop cathos pour la SNCF ? De jeunes pèlerins sévèrement contrôlés…
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Gironde : un motard de la gendarmerie grièvement blessé lors d’un refus d’obtempérer ; une personne interpellée dans un campement de gens du voyage
Un motard de la gendarmerie a été grièvement blessé après avoir été violemment percuté par un véhicule dont le conducteur a refusé d’obtempérer.
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Tous ceux qui ne sont pas pour ma guerre sont des agents du Kremlin…
Macron au théâtre des ombres et des impostures, nous a joué sa pièce préférée : Je veux la guerre ! Nous avions prévenu de ce risque au RPF, dès son second mandat en 2022. Nous ne faisons que suivre ce chemin depuis plusieurs mois. La crainte est toujours là, et dans son discours du 13 juillet il confirme son intention. Il n’a plus de projets politiques, non, mais un seul but, faire la guerre à l’ennemi fabriqué de toute pièce : la Russie. A-t-il les moyens militaires pour cela ? Non, peu importe, il a besoin de ce conflit pour exister… voire pour rester en prétextant l’état de guerre ? Il n’a régné que par des crises provoquées, sociales, politiques. Pour assouvir ses ambitions de grandeur, il a obligé, sanctionné, éborgné. Pour autant sa popularité n’a jamais été à la hauteur de ses ambitions, il ne lui reste que l’ultime convulsion pour parachever son bilan, la guerre, la vraie, celle où son mensonge et sa forfanterie seront mises à nu, et sa chute irréversible. Mais il se moque du résultat, l’important c’est que rien ne lui survive. Qu’il disparaisse ne l’effraye pas, c’est qu’il y ait un après sans lui qui l’angoisse !
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Vous avez dit « fête » nationale
par Adègne Nova
Pour le 150e anniversaire de ce que les républicains et autres incultes appellent « fête nationale », Léon Daudet écrit dans L’Action française du jour (14 juillet 1939) les mots suivants :
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L’UE se dit prête à entrouvrir ses portes à l’Ukraine cet automne
Techniquement, l'Union européenne sera prête à ouvrir cet automne tous les clusters de négociations pour l'adhésion de l'Ukraine à l'UE, a annoncé la commissaire européenne à l'élargissement Marta Kos. Bien qu'elle ait évalué de manière moins catégorique la possibilité d'admission de l'État ukrainien dans l'UE d'ici 2030.
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Le Système continue de protéger Ursula von der Leyen
Ce ne fut pas une surprise, tant il est évident que le système sait se protéger. Le 10 juillet, le Parlement européen a rejeté une motion de censure à l’encontre de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. L’absence d’unanimité sur cette question ne signifie pas que les délégués ne tenteront pas d’organiser un nouveau vote ou de le soumettre aux autres membres de la CE, mais il semble bien illusoire d’en espérer une autre issue. 360 députés sur 553 se sont opposés à sa destitution.