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  • Ministre de la scoumoune productive

    Il y en a, décidément, pour qui la vie n’est pas un long ministère tranquille. Prenez Arnaud Montebourg, par exemple… Déjà, le nom de son ministère, créé spécialement pour lui, ne fait pas sérieux : « Ministère du redressement productif ». On pense aussitôt à une réclame pour valoriser les effets du viagra ! Surtout quand le malheureux en charge de la chose se fait larguer peu après par sa médiatique compagne Audrey Puylvar… Mauvaise pioche !

    Pour oublier ses déboires sentimentaux, rien ne vaut une déclaration de matamore, s’est-il dit… Pourquoi pas, alors, menacer le propriétaire indien du site Arcelor-Mittal de Florange dont la fermeture avait été annoncé comme inéluctable, faute de rentabilité, d’une nationalisation temporaire ? En voilà une idée qu’elle est bonne… pour se faire immédiatement renvoyer dans les cordes par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault ! Pas sérieux ? Non, pas possible ! Le pauvre Montebourg est le seul pour qui impossible est français !

    On démissionnerait pour moins que cela ! « On », peut-être, mais pas lui qui a encaissé « sans moufter », le torse raide dans sa marinière et la larme à l’œil.

    Tant qu’on est ministre, il y a de l’espoir, n’est-ce pas ?

    Mais c’est à croire qu’aucune humiliation ne lui sera épargnée ! Après celle d’un indien, notre ministricule vient d’essuyer celle d’un yankee !

    Le PDG américain de Titan International envisageait de reprendre l’usine de pneus Goodyear d’Amiens-Nord, elle aussi menacée de passer en mode inactive !

    Mais M. Taylor, PDG en question de Titan International, a écrit à notre Ministre décidément malchanceux, qu’il n’en était pas question. En cause, la « productivité »  de nos ouvriers, qualifiés par l’intéressé de « soi-disant ouvriers » : leur cadence de travail laisserait, paraît-il, à désirer… On ose le croire !

    « J’ai visité cette usine plusieurs fois. Les salariés français touchent des salaires élevés, mais ne travaillent que trois heures. Ils ont une heure pour leurs pauses et leur déjeuner, discutent pendant trois heures et travaillent trois heures (…) Je l’ai dit en face aux syndicalistes français. Ils m’ont répondu que c’était comme ça en France », écrit M. Taylor au ministre.

    Et de peur sans doute de ne pas être bien compris, le malotrus se fait encore plus lourd que nécessaire en précisant : « Monsieur, votre lettre signale que vous voulez que Titan démarre une discussion. Vous pensez que nous sommes si stupides que ça ? (…) Titan est celui qui a l’argent et le savoir-faire pour produire des pneus. Qu’a le syndicat fou ? Il a le gouvernement français. »

    Interrogé, le mis-en-ridicule a refusé de commenter cette lettre : « Je ne veux pas nuire aux intérêts de la France », a-t-il dit.

    La question serait plutôt : que pourrait-il bien répondre, sinon une grossièreté « réchaufée », puisque déjà passée à la postérité dans la bouche du général Cambronne… ou peut-être encore d’adapter la si élégante réplique de notre ancien président : « Casse-toi,  pauvre cow-boy ! » ?

    Une grossièreté, évidemment, si ça soulage sur l’instant, ça ne fait guère progresser la discussion… qui de toute façon, est close côté outre-atlantique.

    La question de la productivité de nos ouvriers syndiqués est un vaste débat sur lequel les avis seront sans doute aussi passionnés que partagés. Évitons pour l’heure de nous y engager.

    Concluons néanmoins qu’il est tout de même étonnant qu’à chaque fois qu’une entreprise française va mal, certains puissent se réjouir qu’un étranger – qatari, yankee ou autre – envisage d’en devenir propriétaire.

    À croire qu’il n’y a du bonheur qu’à ne plus rien posséder et à trimer pour les autres.

    « La propriété, c’est le vol », disait en son temps  Pierre-Joseph Proudhon, éminent sociologue, premier Français à se revendiquer comme « anarchiste »… et antisémite notoire à ses heures (ce qu’oublient nombre de citoyens « de gauche » contemporains qui ne manquent pas de célébrer l’intéressé comme une grande figure s’il en est ! Pourquoi pas !(1)

    En attendant, le Ministère d’Arnaud Montebourg est en passe de se voir sous peu rebaptisé « de la scoumoune productive » !

     P. Randa http://francephi.com

    Note

    (1) Pour ceux qui s’intéresserait à la question, je ne manque pas l’occasion de leur indiquer mon livre Les « Antisémites » de gauche (éditions de L’Æncre), co-écrit avec Roland Gaucher.

  • Grèce : Vers l’insolvabilité [par Jacques Sapir]

    Alors que le président français François Hollande, venu en "ami", a jugé mardi à Athènes que le retour à la croissance était la solution pour la Grèce, précisant que "le maintien de la Grèce dans la zone euro est un acquis", il est évident que le problème grec est loin d’être terminé.

    Jacques Sapir nous a autorisé à publier son dernier article qui revient sur le risque d’insolvabilité du pays. Tout montre en effet que les problèmes économiques de la Grèce sont très loin d’être résolus.

    Les nouvelles qui parviennent de Grèce sont chaque jour plus tragiques. S’il fallait un exemple de la faillite des politiques d’austérité, ce pays nous en fournirait un éclatant. Mais ce pays n’est pas un « exemple ». Il est constitué de 10 millions de personnes qui souffrent sans aucun espoir de secours. La Grèce est dans une voie sans issue, au bout de laquelle il ne peut y avoir que le défaut sur le reste de la dette, une partie ayant été déjà restructurée dans des conditions qui s’apparentent à un défaut ordonné. Il est clair que, d’ici le mois de juin, la Grèce sera de nouveau insolvable.

    Le dernier accord signé à l’automne dernier entre le gouvernement et la Troïka, soit le FMI, la BCE et l’Union Européenne, prévoyait que les intérêts de la dette grecque seraient payés par des prêts de ladite Troïka, à charge au gouvernement de dégager un surplus sur les comptes courants du Budget (ce que l’on appelle un « excédent primaire »). Or, cet objectif s’éloigne de plus en plus. Les recettes liées à la TVA et aux taxes aux importations ont diminué de 8,7% au deuxième trimestre 2012 et de 10% au troisième trimestre1. Les taxes sur le revenu et la propriété, qui avaient connue une forte augmentation lors du second trimestre 2012 par rapport à la même période de 2011 (+29%) ont vu leur rythme annuel d’accroissement chuter au troisième trimestre (+10%). Les premières indications sur le 4ème trimestre de 2012, et surtout sur le mois de janvier 2013, montrent que ces recettes connaissent elles aussi une baisse absolue. Pour le mois de janvier, il a manqué au budget 246 millions d’Euros pour être en équilibre. Le gouvernement a donc décidé de réduire autoritairement les dépenses d’un même montant, engageant ainsi un mécanisme dont il n’a aucune idée et qui va précipiter la catastrophe. [...]

    La suite sur OkeaNews

    http://www.actionfrancaise.net

  • Euthanasie accélérée pour la civilisation européenne ? (2009)

    Le 24 décembre 2008, la BBC (Radio 4) faisait état d'une controverse opposant depuis peu traditionalistes et progressistes au Royaume-Uni. La pomme de discorde était l'apparition de chants de Noël (Christmas Carols) subrepticement modifiés dans le sens de la Political Correctness. Entendez par là le gommage de termes à connotation sexiste ou autoritariste. Par exemple, dans le cantique Oh, Come, All Ye Faithful, la phrase « Oh comme, let us adore HIM (lui), Christ the LORD » est devenue, comme par miracle, pendant que les Anglicans avaient le dos tourné : « Oh, comme in adoration, Christ is born ! (est né) » Le think-tank (groupe de réflexion) progressiste Ekklesia (entre autres) approuve la réécriture des Carols afin d'"assainir" l'histoire de la Nativité, la dépolitiser et en adoucir le contenu en évacuant, par exemple, le fait que Jésus ait dû fuir Hérode. D'autre part, ils ne s'autorisent plus l'usage de mots tels que sons (fils), ou men, trop masculins, king et Lord (roi, Seigneur) qui évoquent trop la féodalité et l'oppression. On dépouille les hymnes religieux des pronoms masculins autant que possible car, comme le proclame une bonne chrétienne très à l'aise avec cette réforme : « Dieu est au-dessus des genres. » C'est ainsi que Joy to the world, the LORD is come, Let earth receive HER KING (Joie dans le monde, Voici venir le Seigneur, Que la terre reçoive son roi) devient subrepticement : Joy to the world, for Peace shall corne, Let this be our refrain (... car la paix viendra, Que ceci soit notre refrain). Beau comme un concert des Enfoirés ! En d'autres termes, comme disent des opposants au massacre : à la place des Seigneurs et des Rois, on célèbre l'avènement d'un paquet d'abstractions !
    ROYAUME-UNI : NOËL SACRIFIÉ A L'AÏD
    Toujours en Angleterre, le 4 décembre, dans un article intitulé crûment : Une école de Nottingham annule Noël pour faire place à l'islam, le site du British National Party (BNP), relayant une information du Nottingham Evening Post, nous apprend qu'une école a annulé les festivités de Noël pour permettre la célébration de la fête de l'Aïd. Cette décision choquante, inconcevable il y a seulement quelques années, a été annoncée par une lettre aux parents d'élèves de la Greenwood Junior School, à Sneinton, signée du « personnel de l'école », en ces termes : « À notre grand regret, nous avons été obligés d'annuler les représentations de Noël cette année, à cause de la célébration de l'Aïd qui aura lieu la semaine prochaine et de ses effets sur nos participants. »
    L'école n'a pas révélé le contenu de la représentation, mais des parents l'ont décrite comme une mise en scène de la Nativité.
    D'après le journal, le principal, un certain Amber Latif et le Conseil d'administration ont répondu aux plaintes des parents par une seconde lettre d'excuses qui aggravait l'affront puisqu'elle expliquait : « Nous sommes une école très ouverte, qui respecte pleinement les cultures et religions de tous les enfants. Nous sommes désolés d'apprendre que certains parents/tuteurs ont été offensés par cette lettre. La représentation de Noël n'a pas été purement et simplement annulée mais reportée au Jour de l'An. » Et pourquoi pas à Pâques ou à la Trinité ?
    UNE DÉTESTABLE IMAGE DE LA FRANCE
    En France, nous avons des méthodes suicidaires plus subtiles. Comme l'ont souligné certains rédacteurs et lecteurs de RIVAROL, cette année, pour la première fois, TF1 a privé les téléspectateurs de la retransmission de la messe de minuit à Saint-Pierre de Rome. Ce qui n'a pas été dit (ou très peu), c'est que, comme les autres années, France 2 offrait une alternative (comme toujours décentralisée et plus "originale") à cette messe traditionnelle sinon traditionaliste. Ce qui est grave, c'est que cette alternative est devenue ipso facto une exclusivité, un monopole. De là à soupçonner une collusion entre télévisions privée et publique pour diriger, de force, les "Romains" invétérés vers cet office périphérique (on peut même dire banlieusard), il n'y a qu'un pas.
    Ce service moderne (sans être tout à fait à grand spectacle), décontracté, cool, et pour le moins très "ouvert", a dû laisser nombre de ceux qui, comme moi, l'ont suivi par curiosité, durablement traumatisés. Mon premier mouvement (peut-être heureusement réprimé) a été l'envie d'écrire, dès le jour de Noël, à Mgr Michel Dubost, évêque d'Evry, pour lui dire le malaise, la révulsion, la révolte intérieure, voire la nausée provoquée par sa mise en scène syncrétiste (et non œcuménique comme on le dit improprement), mondaine et branchée. Dans ce département champion des conversions à l'islam, il y avait bien peu de Français visibles à la messe, mais le monde entier semblait s'y être donné rendez-vous, avec toutefois une certaine surreprésentation du continent africain... Et pour cause, ce qui en faisait une messe noire au sens propre. Pour cette opération de propagande réussie, le vrai grand ordonnateur, Patrick de Carolis, président de France-Télévision, était là, au premier rang, filmé régulièrement avec application, assistant et communiant ostensiblement. Et Monseigneur jubilait, comme un poisson dans l'eau, au milieu de toute cette faune allogène, où l'on avait invité divers dignitaires représentant les forces d'occupation : recteurs de mosquée, rabbins, etc., auxquels notre grand prêtre donna l'accolade, fraternelle dans sa seule imagination. Mais si ce brave homme était catholique et aimait chrétiennement ses ennemis, il essaierait de les sauver par la conversion, au lieu de se féliciter du voisinage d'une grande mosquée, d'une grande synagogue et d'une grande pagode... Mais non, il est ravi de cette cohabitation provisoirement pacifique, qui donne à sa cathédrale un aspect à mi-chemin entre une grande loge maçonnique et un temple Bahaï, mais certainement pas un édifice religieux chrétien en terre de France ! La représentation conduite par ce serviteur de Lucifer nous a donné la plus détestable image de la France : dépersonnalisée, envahie, piétinée, méprisée et contente de l'être parce que massivement crétinisée par des forces occultes, haineuses et destructrices, prodigieusement efficaces. On n'y a vu aucunement le spectacle de la charité chrétienne, de l'amour du prochain, ou que sais-je ? Seulement la mondanité mondialiste, le sourire jaune de la soumission et de la crainte de déplaire aux futurs nouveaux maîtres. Pitoyable cérémonie diplomatique dans un pays occupé ! Devant mon téléviseur, j'étais partagé entre la honte (pour ces marionnettes) et le chagrin de ne plus jamais revoir mon pays comme je le rêve. Ce sont les spectacles aussi sinistres que cette "messe" de minuit unique et obligatoire qui font que l'on sent monter les larmes en voyant des scènes de films ou à la lecture de pages de romans décrivant le Paris de la première moitié du XXe siècle, avec son vrai peuple.
    L'ENDORMISSEMENT AVANT LA MORT
    (Mal)heureusement, tout cela est indolore pour une grande majorité car, à l'instar des exécutions américaines par « injection létale », on nous endort soigneusement avant de nous tuer. C'est à France-Télévision et TF1, les faux concurrents déjà cités, qu'exercent les médecins anesthésistes les plus efficaces ; avec une mention particulière décernée à Mme Laurence Ferrari, qui sait injecter les produits fournis par le laboratoire INSEE en arborant un sourire radieux qui en dit long sur sa jubilation intérieure au moment de commettre son forfait. Entre le 27 octobre 2008 et le 14 janvier 2009, on nous a administré au moins 6 piqûres de rappel. Comme le soulignait l'économiste Yves-Marie Laulan dans un entretien accordé à RIVAROL le 24 octobre dernier, « on nous ment sur tout », et en particulier sur l'immigration et la démographie. La très relative embellie de la natalité en France n'est absolument pas un phénomène français mais essentiellement importé, allogène. « On nous ment sur la natalité française, dont le chiffre, un peu moins mauvais qu'ailleurs, est dû aux immigrés, le plus souvent extra-européens. » D'après l'Institut de Politique Familiale (une ONG internationale), toujours cité par RIVAROL, « 80 % de la croissance dans la période 1994-2006 est due à l'immigration. » Or, depuis des mois, on nous présente une France championne d'Europe de la natalité, « mieux que l'Irlande catholique », en illustrant cette fable d'images prises dans des maternités où les nouveau-nés, comme par hasard, sont tous blancs... ce qui doit être le fruit d'une recherche laborieuse plutôt que du hasard ! L'amalgame entre fécondité et catholicisme tente grossièrement de masquer le fait que l'immense majorité des familles nombreuses sont musulmanes (c'est-à-dire françaises au mieux par la carte d'identité), et que ce sont elles qui font les chiffres flatteurs. Mais peu importe la réalité. Pour nos télévisions, un pays colonisé ou un pays « en bonne santé démographique », c'est la même chose.
    DE FADELA EN SAMIRA
    Pour nous aider à ne plus faire la différence, depuis 2007 on exhibe autant que possible des ministres D.V. (divers/visibles), parmi lesquel(le)s l'insupportable Fadela Amara, une favorite des plateaux de télé, où elle est souvent invitée, notamment par la vedette du peuple élu médiatique Marie Drucker, nièce de l'inoxydable Michel. La stratégie, bien peu... voilée, de ce ministre de banlieue consiste en une surconsommation d'adjectifs possessifs de la première personne du singulier et du pluriel, presque toujours accolés au mot pays. Elle nous serine à tout bout de champ que c'est un bonheur de « servir mon pays », qu'on ne peut tolérer tel ou tel comportement dans « notre pays », etc. On pourrait penser qu'elle parle de l'Algérie où son père a paraît-il vaillamment combattu la soldatesque française dans les rangs FLN, mais en écoutant attentivement, on s'aperçoit qu'il s'agit de la France. Et on brûle de lui écrire (au prix de quels risques ?!) : « Non, Madame, ce pays, c'est le nôtre, vous n'y êtes que par notre bon vouloir, et vous n'avez rien à y faire... Surtout pas comme ministre ! » Lors de sa dernière intervention (11/01/2009), elle a eu le front d'affirmer que les gens des "quartiers" (quels quartiers ? tout le monde, en ville, habite un quartier) « ont les mêmes valeurs que les autres ». Vraiment ? On ne s'en était pas aperçu à voir les holocaustes de voitures du Nouvel An.
    Mais récemment, la palme du brouillage des repères est certainement revenue à la chaîne France 3, pour un thriller politico-policier en quatre épisodes intitulé Duel en Ville, dans lequel une jeune actrice "française" extrêmement typée, Samira Lachhab, incarnait un officier de police nommé... Valentine Robicheaux (sans rire !) qui faisait, entre autres, une descente musclée dans une espèce de centre culturel... musulman, à la suite d'actes de profanation de lieux de culte... chrétiens et juifs. S'ensuivait l'interrogatoire d'un Jeune qui, à la question « Que faisais-tu ce soir-là ? », répondait : « Je niquais ta sœur. » À ce point, le téléspectateur, déjà désorienté depuis le début, se demande légitimement à qui s'adresse la réplique : au fonctionnaire (qui pourrait être joué par n'importe quel(le) acteur ou actrice), ou à la jeune femme arabe ? Que sommes-nous censés voir ? Le personnage du policier générique, abstrait, républicain, ou la femme de chair et de sang avec son type ethnique ?
    De la même façon, au nom d'une vertueuse cécité typiquement républicaine, on tend, de plus en plus souvent, à faire jouer des prêtres catholiques par des juifs typiques, voire Hamlet, Prince de Danemark, par un Noir (oui, oui, cela s'est vu).
    TRAITEMENTS DE FAVEUR ET PRÉFÉRENCE ÉTRANGÈRE
    D'une manière générale, pour le tournant 2008/2009, au chapitre des traitements de faveur, préférence étrangère, discrimination inversée et manœuvres de substitution de population, on peut citer : Un incendie volontaire de boîte aux lettres : 18 morts mais 3 ans de prison seulement (contre 20 ans à Michel LAJOYE pour dégâts matériels et 0 victime).
    Le 6 décembre, une saucisse métisse franco-américaine assez disgracieuse, Chloé Mortaud, est élue Miss France contre le choix du public. Il faut savoir que cette demoiselle avait obtenu son titre de Miss Albigeois Midi-Pyrénées lors d'une élection locale tout aussi contestée, et probablement frauduleuse puisque, en infraction au règlement, deux membres du jury étaient cadres à la Chambre de commerce et d'industrie où travaillent... les parents Mortaud ! Mais un mois après Husseyn Obama, qui devait être élu conformément au PLAN, comme le laissait entendre la une de RIVAROL, de même cette créature devait obligatoirement être "élue", comme un écho à ce grand pas vers le métissage obligatoire de l'humanité et l'éradication de l'infâme race blanche, responsable de tous les malheurs du monde. Le gang de Geneviève Muhlmann (dite de Fontenay) : encore une arme de destruction massive de l'identité française et européenne !
    Un mort (un petit Maghrébin prénommé Ilyès) à l'hôpital St-Vincent de Paul, par erreur de manipulation : l'infirmière est mise en garde à vue ! Trois questions s'imposent : 1°) Était-ce nécessaire à la préservation de l'ordre public ? 2°) La soignante aurait-elle été mise en garde à vue si l'enfant s'était appelé Michel ? 3°) N'y aurait-il pas eu des incendies sur le parking du personnel si elle avait été laissée en liberté ?
    Un homme de 57 ans est mort d'une crise cardiaque après 27 tentatives d'admission dans des services d'urgence. Question : ce drame serait-il arrivé dans une France française, où les lits d'hôpitaux ne seraient pas envahis et la Sécurité Sociale pillée par « toute la misère du monde » (M. Rocard), et où le personnel médical ne serait pas aux trois-quarts importé d'Afrique, avec des "vocations" et des compétences pour le moins douteuses ?
    Le 1er janvier, deux personnalités ont été décorées de la Légion d'Honneur sur le contingent du ministère de la Santé-sic : - Le Professeur Luc Montagne pour la découverte du V.I.H. (qui tend prioritairement à la protection de certaines catégories de population) et Simone Veil, (auteur d'une loi permettant le génocide des Français de souche européenne, et qui a fait, à ce jour, entre 6 et 7 millions de morts), ce qui ne l'a pas empêchée d'être scandaleusement élevée à la dignité de grand officier sans devoir passer par les grades intermédiaires, ce qui eût été une insulte. À cette occasion, on aurait souhaité la création de l'Ordre de la Légion d'Horreur.
    Le même 1er janvier, le sévérissime occupant (à titre gratuit) de l'Elysée a menacé de priver... de permis de conduire (c'est-à-dire de dessert, tout au plus) les vilains petits garnements qui brûlent environ 1 000 voitures à chaque réveillon, juste pour fêter leur nouvelle année dans la douce France, terre d'accueil. Au lieu de faire le nécessaire : déporter tout ce joli monde, familles entières, par pleins bateaux et charters (y compris dans les cales) vers le pays de leurs ancêtres, avec ou sans papiers, peu importe, Cet homme-là a, naguère, reçu le Prix de la... Volonté Politique ! La qualité qui lui fait le plus défaut.
    Le 4 janvier, à Argenteuil (terre de "branches de l'arbre France"), la mairie a offert un concert... de rap gratuit aux "citoyens" qui s'étaient inscrits sur les listes électorales avant le 31 décembre.
    Pour autant, le tableau n'est pas totalement sombre. Contre toute attente, il monte parfois, des profondeurs du peuple, de saines réactions, des éclairs de bon sens, qui prouvent des facultés étonnantes de résistance à la lobotomie collective, quelque chose comme un « vol au-dessus d'un nid de coucous ». À la suite du léger noircissement de la porte de derrière de la mosquée rhodanienne de St-Priest, le 20 décembre 2008, les média nous ont fait part de « la réprobation unanime de la classe politique et de la communauté musulmane », manifestée sur les lieux par un millier de personnes.
    À QUAND UNE LOI CONTRE LA CATHOPHOBIE ?
    Comme à l'accoutumée, le fournisseur d'accès à Internet Orange mettait à la une de son portail une dépêche d'agence relatant les faits. Et, comme toujours, il proposait aux internautes de réagir à cette information. Près d'un mois après, quelque 220 réactions se trouvent encore en ligne, et on peut dire que, dans leur immense majorité, elles sont clairement anti-musulmanes, sans aucune ambiguïté. Elles vont de l'indifférence agacée à l'approbation sans réserve de l'incendie volontaire, en passant par le rappel des exactions subies par les chrétiens dans les pays musulmans, des destructions de cimetières en Algérie et des innombrables profanations de lieux de culte chrétiens en France, des incendies rituels de voitures, de la non-réciprocité des exigences et des concessions, des occupations d'églises par des immigrants clandestins, de la "Noëlophobie" en Grande-Bretagne, etc.
    Certains internautes estiment qu'on a trop tendance à « défendre les loups dans la bergerie », dénoncent le PS « qui se met à quatre pattes devant l'Attila du XXIe siècle » : l'islam ; d'autres insistent sur les racines chrétiennes de la France, évoquent la nécessité d'une « croisade intérieure », certains préconisent même de brûler le Coran, ce « vieux bouquin haineux ». Dans l'ensemble, ils appellent de leurs vœux un sursaut identitaire, et demandent parfois ce qu'on attend pour voter une loi contre la "cathophobie".
    Bien que n'ayant pas examiné une par une les 220 et quelques interventions, après les avoir parcourues au hasard, je crois pouvoir affirmer que les expressions d'indignation ou de compassion pour la communauté musulmane sont ultra-minoritaires. Et encore, il faut compter avec quelques plaintes contre la censure exercée par le "modérateur" du site. Au vu de tout ce qui n'a pas été coupé, on peut imaginer la violence de ce qui l'a été. Il est frappant de constater que, comme je le dis plus haut, « la classe politique et la communauté musulmane » sont présentées comme un bloc uni, auquel semble s'opposer le peuple français, ou le « pays réel » représenté par les internautes. Ce qui, finalement, correspond bien au schéma d'un pays sous occupation étrangère avec un pouvoir collaborationniste parfaitement docile, et une population qui proteste comme elle peut, sachant que la loi lui donnera toujours tort. En tout état de cause, dans le climat actuel de chasse aux sorcières et, surtout, d'endoctrinement intense, où l'on peut avoir envie de baisser les bras en croyant les Européens domestiqués à un degré irréversible, un tel déchaînement de sincérité et de conscience identitaire est réjouissant. Qui sait ? Peut-être 2009 sera-t-elle l'année des Révolutions Nationales ?
    Jean-Luc LEOPOLDI Écrits de Paris mars 2009

  • La confusion des genres

    Tandis qu'il esquisse des « orientations stratégiques pour les recherches sur le genre », le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche cultive la confusion, confondant la quête du savoir et prosélytisme éhonté.
    Les "études de genre" ont acquis une notoriété inédite à la faveur de leur immixtion, sinon dans la lettre des programmes scolaires, du moins dans les manuels de sciences de la vie et de la terre (SVT) de première. La faute aux éditeurs trop zélés ? Peut-être faut-il y voir, également, l'influence des milieux universitaires, où l'intérêt pour les gender studies va croissant : tandis que sept revues leur seraient entièrement consacrées, elles auraient mobilisé, ces dernières années, plus ou moins assidûment, près de deux mille chercheurs. Des « orientations stratégiques » devraient leur être assignées, clame le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, qui vient de publier un rapport en ce sens, coordonné par Alban Jacquemart, Agnès Netter et Françoise Thibault.
    Genre et sexe
    « Le genre est d'abord un concept, initialement issu des sciences médicales et de la grammaire française puis repris par les sciences sociales », rappellent-ils. Un concept censé aider « à mettre au jour, en les questionnant, les rapports sociaux entre hommes et femmes ». Le psychiatre Robert Stoller aurait été le premier à l'utiliser, dans les années soixante, pour « distinguer la conformation sexuelle des individus (le sexe) de l'identité sexuée, psychologiquement et socialement construite (le genre) ». Outre l'anthropologie, la psychologie, la littérature et les langues, le "genre" affecterait plus particulièrement la sociologie et l'histoire, disciplines où il serait majoritairement enseigné. Aux dires des rapporteurs, par exemple, la compréhension du fait colonial s'en serait trouvée revisitée.
    Une priorité du CNRS
    Le CNRS (Centre national de la recherche scientifique) se serait saisi des ces recherches dans les années quatre-vingt. En son sein, l'Institut des sciences humaines et sociales (INSHS) les a depuis érigées au rang de priorité, permettant le recrutement de sept chargés de recherche. Toujours sous la houlette du CNRS a été créé, l'année dernière, l'Institut du genre, un "groupement d'intérêt scientifique" réunissant trente-cinq universités et autres institutions. Parallèlement, l'Institut d'études politiques de Paris, ainsi que l'université Paris 7, ont décidé de familiariser leurs étudiants avec les gender studies. Aux yeux des rapporteurs, cependant, cela reste insuffisant. Ainsi conviendrait-il, selon eux, d'« inciter les universités à construire des licences qui comportent aux moins deux modules obligatoires sur le genre ». Mais aussi d'y confronter tous les enseignants au cours de leur formation. Voire un plus large public, à l'intention duquel pourrait être créée une « université populaire ». D'autres propositions sont formulées « afin de lutter contre [des] inégalités persistantes » et « de faire évoluer les établissements supérieurs et de recherche vers la parité », ceux-ci devant « prendre conscience de l'existence des stéréotypes de genre qui biaisent l'évaluation ». Si, contrairement à d'autres, les rapporteurs ne demandent pas que soit rebaptisée l'école maternelle, ils appellent néanmoins à « généraliser l'usage d'une langue non sexiste » - ce à quoi ils s'emploient en bannissant le "masculin générique" : sous leur plume, ce sont des chercheur-e-s qui se sont ex-primé-e-s !
    Mouvement LGBT
    Parmi eux, relèvent-ils, « plusieurs [...] sont, par exemple, membres de l'Observatoire de la parité et permettent que les politiques publiques se nourrissent des savoirs académiques ». Autant dire qu'ils versent volontiers dans un certain prosélytisme. En cela, ils s'inscrivent d'ailleurs dans un tradition historique. Les recherches portant plus particulièrement sur « les sexualités et les identités de sexe [...] en partie initiées par le mouvement LGBT (qui regroupe des militant-e-s lesbiennes, gays, bisexuel-le-s et transgenres), ont été particulièrement importantes dans l'élaboration même du concept de genre », soulignent les rapporteurs. C'est dire combien le militantisme interfère, depuis l'origine, dans les études de genre. Comment s'étonner, dans ces conditions, que « la recherche sur le genre peine à trouver, dans l'organisation scientifique actuelle, la reconnaissance » que revendiquent ses promoteurs ?
    Grégoire Dubost Action Française 2000 février 2013

  • Terre des hommes nouveaux

     

     

    Le Front National semble bien souvent adopter la ligne « Lugan » quant aux questions de politique africaine. Ce faisant, nous abondons plus du côté "mainstream" que nous le pensons.

    Dans le conflit débordant le Mali, on parle (Jmlp sur Bfm le 18/01/13) de s’allier aux Touareg (guerrier farouche de race blanche peu islamisé ?), et on pourfend le Qatar à juste titre sans doute, mais, le même Qatar où Robert Ménard fut Directeur pour la Liberté de l'Information ?
    Le même Ménard et ses fameux mécènes (Dans une déclaration à la presse à Béziers, Robert Ménard se vante d’avoir de nombreux mécènes depuis sa période ONG sans frontières) avec lequel Marine prépare un coup d'Union des Droites aux municipales, selon la bonne vieille ligne atlantiste du Club de l’Horloge dont les liens avec celui qu’il convient d’appeler désormais, Bob, Bob Ménard, ne sont plus à démontrer ?


    De même que Marine ne joue pas innocemment avec le terme "islamiste", "péril vert" assez explicite au regard de la carte ci-dessus quand on adopte un certain point de vue sur l'Afrique.
    Où est-il question d'islam dans toute cette tartufferie, il s'agit de fric avec lequel les Américains corrompent les maffias qui se donnent un signe de ralliement pour faire mauvaise figure.
    Les dirigeants qatari et leur abonnement aux putes et au fric sont-ils des musulmans ? Ils ont l'aval de leur protecteur américain.
    Que serait donc un islamiste ?
    Un homme qui est né dans l'islam comme nous naissons dans la religion catholique et qui préfère la Jeep qu'on lui offre en cadeau bonus s'il prend les armes, les pétro narcotico dollards et le job offerts par les Américains avec l'argent du Qatar plutôt que de se faire descendre par ses coreligionnaires qui auront fait ce choix ?

    Et que pense Lugan de ces Touareg pas avec les Touareg, un coup chez les islamistes contre l'Aqmi, tout contre, un coup avec l'armée malienne, puis contre, avec les complicités des maliens avec les uns et les autres, pour ne rien dire des contacts algériens ?

    Le mouvement islamiste Ansar dine, "l'Armée de la religion", est dirigé par Iyad Ag Ghaly, principal artisan de la prise de Kidal, dont il est originaire. Celui qui fut le principal chef de la rébellion touareg des années 1990, aurait subi l'influence de prêcheurs salafistes pakistanais il y a une dizaine d'années, selon Pierre Boilley, directeur du Centre d'études des Mondes africains (CEMAF).
    Un autre dirigeant touareg, le colonel Elhadj Ag Gamou, "était resté sous uniforme de l'armée malienne en raison de ses différents avec Iyad Ag Ghaly", selon Jean-Philippe Rémy, spécialiste de l'Afrique au Monde. A la chute de Kidal, il a fait défection et a rejoint le MNLA.
    Au sein d'Aqmi, on trouve quelques Touareg, essentiellement des chômeurs.
    Comme quoi, le fric déjoue déjà le plan "ethnie".
    Ansar Dine et le MNLA ont combattu ensemble contre l'armée dans des localités du nord-est, Tessalit, Aguelhok et Kidal ces derniers mois. Mais une lutte de leadership existe entre eux. Une fois atteinte la limite sud du secteur revendiqué sous le nom d'Azawad par les Touareg, leurs intérêts vont diverger: le MNLA revendique un Etat touareg dans le Nord tandis qu'Ansar Dine se bat pour l'instauration de la charia dans la totalité du territoire malien.
    Mokhtar Belmokhtar a été vu "de plus en plus aux côtés de Iyad Ag Ghaly", le dirigeant d'Ansar Dine. Mokhtar Belmokhtar, surnommé "Belawar" (ou "Louar", le Borgne), est l'un des vétérans d'Aqmi qui opère depuis ses bases du nord du Mali dans tout le Sahel.
    Outre les armes ramenées de Libye à la chute du régime Kadhafi , les moyens matériels des rebelles proviennent en partie des rançons récupérées lors des échanges d'otages, mais aussi de divers trafics dont celui de la drogue. "La drogue vient d'Amérique du Sud (cocaïne) ou du Maroc (haschich)", selon Christophe Ayad du Monde. Et son convoyage bénéficiait, selon lui, de "complicités dans les douanes, l'administration et l'armée" malienne.
    La grille ethniciste de Lugan est bien simpliste.
    Lugan méconnaît l'humain, il applique une grille ethniciste dans tous les cas de figure.
    Pour Bernard Lugan, tout est toujours ethnique, et en France aussi sûrement.
    Comme si les hommes d'une ethnie ou d'une autre, ne pouvaient être corrompus de la même manière et pour les mêmes intérêts, par l'argent.
    Comme si les hommes d'une ethnie ou d'une autre, ne pouvaient s'entendre, pour s'allier ou à l'inverse contrer, tant anciens (Français) ou néo colonialistes (Usa, à moins qu‘il ne faille parler d‘Areva, Goviex, Global Uranium, Gazprom, Niger Ressources, Niger Uranium, Paladin, Eads, Veolia) en regardant leur intérêt individuel ou même, le cas échéant, celui de l'Afrique.
    Quand on connaît Lugan, on sait qu'il y a des Tutsis absolument Tutsis, et des Hutus absolument Hutus (avec sans doute une préférence pour les Tutsis, élite sociale et moins négroide), et quand on connaît des Rwandais, ils ne connaissent que des Rwandais, ils parlent tous la même langue et partagent la même culture, et sont partiellement biologiquement mélangés.
    Selon l’historien Gérald Prunier, spécialiste de l’Afrique des Grands Lacs, « il s’agit de deux groupes, probablement d’origines ethniques différentes si l’on remonte au XIIIème ou au XIVème siècle mais depuis longtemps biologiquement partiellement mélangés et culturellement homogénéisés ». Les deux groupes partagent d’ ailleurs une même langue, le Kinyarwanda. Les termes « Tutsi » et « Hutu » auraient en fait à l’origine été utilisés pour décrire le statut social d’un individu, le premier terme désignant une personne possédant de nombreuses têtes de bétail et le second identifiant une personne soumise à l’autorité d’un plus puissant. Par extension, les deux termes ont permis de distinguer l’élite de la majorité des gens ordinaires.

    Si l’identification des pasteurs tutsis comme détenteurs du pouvoir et des cultivateurs hutus comme sujets était déjà fixée à l’arrivée des Européens à la fin du XIX siècle, il est manifeste que les colonisateurs successifs, l’Allemagne et la Belgique, ont joué un rôle crucial dans l’imposition de ce différencialisme. Conformément aux théories en vogue dans l’Europe du début du XX siècle, les colonisateurs ont appliqué la notion de race aux catégories sociales Tutsi et Hutu.

    Considérant les Tutsis, sur base d’ indices anthropométriques, comme plus proches des Européens, le colonisateur belge s’est reposé sur cette « minorité supérieure » pour administrer le territoire rwandais, lui réservant l’exclusivité des postes à responsabilité. À partir des années 1930, les Belges procèdent à des recensements. Les Rwandais sont invités à déclarer le groupe auquel ils appartiennent. Les statistiques donnent les chiffres suivants : 85 pour cent de Hutus, 14 pour cent de Tutsis et 1 pour cent de Twas. Ce « fichage ethnique » allait « couler dans le béton » la partition de la société en trois catégories, avec les conséquences que l’on connaît sur le cours de l’histoire du minuscule pays africain.

    Comme partout encore aujourd‘hui, on peut toujours raviver et s'appuyer sur de vieux clivages pour attiser les situations, ce qui ne manque jamais d’être le cas lorsque l‘on veut déstabiliser un pays.

    Alors, phénomène de marge de part et d’autre du Sahel qui au passage, regorge d’Uranium, de pétrole, de gaz, de diamants, d’eau (le désert a révélé des nappes phréatiques évaluées à 6 milliards de m3 d'eau) ? Quand il s'agit de chefs Touareg ?
    Et ensuite de complicités entre les laïcs, rebelles et/ou gouvernementaux et les dits religieux ?
    La constante, c'est la complexité, pas le schéma binaire et manichéen de Lugan.
    Mais il est évident que cette lecture ethnique plaît aux idéologues d'extrême-droite qui enferment chacun dans un tel déterminisme.
    Il plaît surtout en double-couche pas même forcément compatibles et donc cohérentes, quand l'on veut absolument embarquer dans la galère d'extrême-droite, qu'il soit question d'islamisme quand ces questions sont instrumentalisées et que les véritables causes sont ailleurs.
    En Afrique comme ailleurs, ce sont les multinationales contre les peuples.
    En Afrique comme ailleurs, l'oligarchie industrialo financière s'assoit (dans tous les sens du terme, prend appui et/ou écrase) sur des petits groupes dont elle a intérêt à attiser les dissensions.
    En Afrique comme ailleurs, les grands groupes ont les moyens d'acheter la guerre civile et les milices privées.
     

     http://www.youtube.com/watch?v=mgbWewhv0hA
    http://www.youtube.com/watch?v=ZRpxn8svQ_A

    http://orianeborja.hautetfort.com

  • De l'autisme judiciaire – par Xavier Raufer

    Si Mme Taubira s’intéressait à ce qui se passe chez nos voisins britanniques, elle renoncerait à supprimer les courtes peines. Chacun sait — c’est même un cliché — que “l’Angleterre est la mère des démocraties”.
    De culture protestante, la Grande-Bretagne subit en outre bien moins le clivage droite répressive-gauche laxiste que les pays latins. Dans la décennie 1980, un équivalent britannique de nos très progressistes “plans banlieue” fut même initié par… Margaret Thatcher, après des émeutes “à la française” dans la périphérie londonienne. Raison de plus de nous intéresser aux évolutions pénales de cet exigeant État de droit, en matière de prévention, de sursis, de réinsertion, etc.¢
    Mais cela, les Diafoirus-sociologues et autres trotskistes d’antichambre encerclant l’actuelle garde des Sceaux s’en moquent, trop occupés qu’ils sont à délirer sur la “construction sociale”, les “stigmatisations”, “stéréotypes” et autres sornettes à la Bourdieu, uniquement vouées à nier ou camoufler la réalité criminelle.
    Si elle s’intéressait un tant soit peu aux trivialités du réel, au lieu de les camoufler sous le vocable méprisant de “faits divers”, la garde des Sceaux aurait donc pu se documenter sur le vaste scandale qui, depuis décembre 2012, secoue une justice britannique vivement attaquée par des parlementaires de tous bords.
    Ces dernières années en effet, le ministère britannique de la Justice a, sous le nom de “révolution de la réinsertion”, fait du Taubira pur sucre : pas de prison ferme mais du sursis et des travaux d’intérêt général (“community service”). Une mesure qui a touché 50 000 auteurs d’agressions, voire de vols à main armée, trafiquants de drogue, cambrioleurs, etc.
    L’ennui — et c’est bien ce qui provoque la révolte des parlementaires —, c’est que pratiquement 100 % de ces 49 636 malfaiteurs traités à la Taubira ont été, dans l’année (je cite) « condamnés pour une autre infraction, qu’ils n’auraient pu commettre s’ils avaient été en prison ». Et cela, malgré (ou du fait ?) des peines alternatives voulues par la justice…
    Pour les députés britanniques, il s’agit d’un « échec choquant des services de réinsertion » manifestement « incapables de maîtriser les criminels qu’ils sont supposés réinsérer ». D’où leur appel au ministère de la Justice pour qu’il « agisse dans l’urgence afin de briser cet épouvantable cercle vicieux de récidive ».
    Tout se passe cependant comme si Mme Taubira et ses conseillers ignoraient tout de ce scandale sécuritaire qui fait pourtant les gros titres de la presse populaire britannique — notamment du Daily Mail, quotidien vendu à près de 1,7 million d’exemplaires… Impassible, la garde des Sceaux poursuit ses appels fracassants à “vider les prisons” sans se rendre compte qu’ils agissent sur les malfaiteurs à la manière d’une hormone de croissance.
    Ø  La preuve ? Voici, pour les dernières semaines de 2012, un minitour de France des “faits divers” chers à Mme Taubira, tels que rapportés par la presse quotidienne régionale.« Vols à main armée : série noire en Moselle-Est » ; « Peur du braquage en Charente » ; « Vols de câbles SNCF : cri d’alarme du président [socialiste, NDLR] de Midi-Pyrénées » ; « Tarn-et-Garonne : les cambriolages en hausse de 14 % » ; « Châtellerault : les commerçants exaspérés par les vols » ; « Vallauris : après cinq braquages en huit ans, la bijoutière n’en peut plus » ; « Vaucluse : une crèche [!] attaquée à l’arme de guerre »; « Finistère : les cambriolages en forte hausse » ; « Bressuire : cambriolages en rafale » ; « Deux braquages en deux jours au centre commercial de Saint-Clément-de-Rivière » ; « Recrudescence des cambriolages à Fère-Champenoise » ; « Ille-et-Vilaine : jusqu’à 35 cambriolages par jour » : « Marseille, porte d’Aix : l’illégalité regagne du terrain » ; « Insécurité : les riverains des gares parisiennes n’en peuvent plus » ; « Signy-le-Petit : les braqueurs font exploser la route [!] pour emporter le butin » ; « Arles : en garde à vue à 14 ans pour braquage »…
    Pour finir, un peu d’air pur. À New York, « le nombre de meurtres est au plus bas depuis 50 ans ». Le secret anti-crime du maire, Michael Bloomberg ? De longue date, il fait dans sa ville l’inverse de ce que prône, depuis quelques mois, Mme Taubira.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Russie : Vers un nouveau modèle politico-économique ?

    Par Alexandre Latsa

    Le Forum Gaïdar s’est tenu en Russie du 16 au 19 janvier 2013. Comme chaque année, les participants au forum ont pu discuter de l’avenir économique de la Russie et envisager des scénarios de développement pour le pays. Le forum s’est notamment axé sur les questions d’intégration économique et de choix des partenaires commerciaux de la Russie.
    Certains intellectuels libéraux ont ouvertement envisagé comme voie inévitable pour la Russie une forme “d’intégration à l’Union Européenne” pendant que des intellectuels de la gauche russe comme le directeur de l’institut de la mondialisation Michael Deliaguine pensent au contraire que “L’Europe n’a pas besoin d’une intégration avec la Russie“.

    Le gouvernement russe, via le premier ministre Dimitri Medvedev, a lui réaffirmé ses objectifs prioritaires d’intégration eurasiatique pour faire de cette nouvelle hyper-région du monde un pont entre l’atlantique et le pacifique, tout en relevant le défi de la modernisation du pays dans les domaines de la politique, de l’économie et du social.

    Les participants au forum ont tous admis que le monde était au bord de changements majeurs, ce que le président russe annonçait en décembre dernier en affirmant que “l’ensemble du monde s’engage dans une époque de transformations radicales et peut-être même de grands chocs“. L’un des signes de ces transformations radicales en cours semble être ” l’éclatement de l’Occident ” selon les mots d’Alexandre Melnik.

    Un éclatement qui se matérialiserait selon lui par la transformation de l’Amérique puissance transatlantique en une puissance transpacifique happée par l’Asie conquérante, par l’isolement de l’occidentale Australie au sein d’un Pacifique de plus en plus asiatique, mais aussi par l’incapacité de l’Europe à faire face à la globalisation, ce qui lui fait prendre le risque de sortir de l’histoire par une porte dérobée.

    A ce titre, les dernières nouvelles politiques d’Angleterre semblent indiquer que la première étape de ce phénomène (un monde sans Union Européenne) est peut être bien déjà entamée.

    Cette évolution vers un monde désoccidentalisé et “asiatisé” laisse penser que les intentions de la Russie de se placer comme partenaire européen prioritaire de l’Asie et comme pont entre la région Asie-pacifique et la région euro-atlantique sont non seulement un choix stratégique majeur mais aussi un choix essentiel pour la survie économique et culturelle de la Russie.

    Cette option de la Russie pourrait fournir des débouchés, mais aussi une porte de survie à l’Europe, vers l’Asie et le continent eurasiatique. Le président russe, lors de son discours annuel en décembre dernier, a affirmé (il faut s’en rappeler) que l’Asie constituerait la priorité de développement de la Russie pour les prochains 25 ans.

    Sur le plan des hydrocarbures, la Russie projette de réaliser en Asie-Pacifique 22% à 25% de ses exportations pétrolières et 20% de ses exportations de gaz d’ici à 2020.

    Le basculement du monde y compris la Russie vers une Asie en pleine expansion pourrait modifier le mode de gouvernance en Russie puisque selon l’ancien premier ministre Evgueny Primakov, la période dite du tandem (soit l’Alliance entre deux hommes: Vladimir Poutine et Dimitri Medvedev) pourrait prendre fin. Non pas que les deux hommes soient en guerre comme cela a trop souvent été envisagé, mais parce que la situation politique interne et externe est devenue différente.

    Les impulsions libérales et modernisatrices de Dimitri Medvedev ont été insufflées à la gouvernance russe, mais celle-ci n’a plus besoin d’être vue comme un tandem qui assure l’alternance politique pour apparaître plus démocratique, selon les mots de l’ancien premier ministre.

    Enfin un nouveau visage est apparu au premier plan durant la dernière campagne présidentielle de Vladimir Poutine: le très patriote Dimitri Rogozine, proche en son temps du général Lebed et ancien “Monsieur Russie”  à l’OTAN. Il est devenu vice premier ministre chargé du complexe militaro-industriel et il est partisan d’une ligne politique de reconstruction nationale avec l’appui de l’état. Récemment, il a affirmé que le complexe militaro-industriel russe devait et allait devenir la locomotive de l’économie russe.

    Ces déclarations ont fait écho à celles de Serguei Glaziev, ancien candidat à la présidentielle et désormais conseiller financier de Vladimir Poutine.Ce dernier a récemment  alerté les autorités russes sur ce qu’il appelle ” la guerre financière totale ” que mènent les pays industrialisés et occidentaux contre la Russie aujourd’hui. Selon lui, les principales puissances monétaires mondiales, notamment les États-Unis, le Japon, la Grande-Bretagne et les pays de l’UE, accroissent actuellement leur émission monétaire en vue d’acquérir des actifs en Russie, ce qu’il dénonce comme étant “la guerre de la planche à billets“.

    Il propose donc des mesures pour permettre à l’état russe de s’opposer au rachat massif d’actifs russes par des sociétés étrangères, via notamment une taxe sur les opérations avec les monnaies étrangères en vue de limiter les transactions spéculatives. Hasard? Ce conseiller financier est un ancien du parti “Rodina” (Patrie) et un ancien bras droit de Dimitri Rogozine.

    Vladimir Maou, recteur de l’Académie de l’économie nationale et de la fonction publique de Russie, a lui conclu au forum Gaïdar que “les changements consécutifs à une crise importante conduisent à un changement des équilibres géopolitiques et géoéconomiques et à la formation de nouvelles doctrines économiques”.

    Est-ce qu’il faut s’attendre à  un changement de tendance politique et économique majeur au sein de la gouvernance russe? On peut le penser alors que vient d’être d’annoncé la rédaction d’une nouvelle Doctrine de politique étrangère qui devrait renforcer la “souverainisation” de la politique nationale russe, et que le ministère russe du Développement économique vient aussi de publier très récemment trois scénarios de développement socio-économique de la Russie pour l’horizon 2030.

    Ria Novosti   http://fortune.fdesouche.com/

  • Familles, je vous hais !

    Familles, je vous hais ! Telle pourrait être la devise de ce gouvernement. Car il ne lui suffit pas de s’attaquer à la structure profonde de la famille en cherchant à inscrire dans la loi de prétendues nouvelles formes d’une institution aussi vieille que l’humanité, et dont l’extension (de la famille nucléaire à la tribu) a pu et peut encore varier, dans l’espace et le temps, mais jamais la définition (qui repose sur la complémentarité des deux sexes).

    Non, il lui faut aussi raboter ce que les familles coûteraient aux finances publiques, comme si les allocations dites familiales ne représentaient pas un investissement pour la société. Car il n’y a, malheureusement, aucun paradoxe à voir le gouvernement d’un côté dissoudre le concept même de la famille sous prétexte de l’ « étendre » à de prétendues familles homoparentales et, de l’autre, rogner, en les taxant, ou les plafonnant, les aides que l’Etat redistribue aux parents afin de participer au coût de l’éducation des enfants, autant dire des futurs citoyens. Ou bien encore les baisser d’un milliard l’an prochain et de 2,5 milliards l’année suivante. Ou punir, en fiscalisant la majoration de leur pension — 800 millions d’euros pour l’Etat —, les parents de familles nombreuses arrivés à la retraite et qui espéraient pouvoir souffler un peu, à moins que la crise ne leur impose de continuer d’aider leurs enfants. Bref, pour réduire les déficits d’un Etat qui dépense par ailleurs sans compter, piquer plusieurs milliards d’euros dans la poche des vraies familles.

    Car si le « besoin » d’enfant des « familles » homoparentales répond avant tout à un désir de normalité, au prix de l’instauration d’un criminel droit à l’enfant, ce n’est évidemment pas à ces « familles »-là, stériles par définition, qu’on peut compter pour assurer l’avenir de la nation, puisque, pour s’instituer en fiction juridique, il leur faut soit profiter de l’échec d’un couple à créer ou demeurer une famille — mère abandonnée abandonnant à son tour son enfant, enfants retirés à leurs parents et déclarés adoptables — soit recourir à des pratiques (PMA hors champ médical) et GPA qui ne sont que des techniques de procréation, indifférentes à la notion même de la famille. Inutile de s’étendre davantage sur le caractère orwellien de ce que « construit » — mot-clef de la modernité — l’élite d’une société hors-sol. Au passage, un bon point à Marine Le Pen déclarant sur France Inter, dimanche 18 février, son intention, contrairement à l’UMP, d’abroger le mariage homo si elle arrivait au pouvoir.

    Oui, Dider Migaud, le premier président socialiste de la Cour des comptes ne fait que rappeler à François Hollande une de ses promesses de campagne, en lui demandant d’appauvrir les familles pour renflouer l’Etat — en revanche, préférence étrangère oblige, il ne lui suggère pas de réserver les prestations aux seuls Français ou de diminuer la scandaleuse gabegie des aides sociales attribuées aux clandestins ! Il est vrai que l’Europe ne serait pas d’accord ! Souci de justice sociale ? Non, car ces allocations, loin de viser à aplanir les inégalités de revenus — c’est le quotient familial, lui aussi dans la ligne de mire du candidat Hollande, qui joue ce rôle —, sont destinées à compenser, à revenus équivalents, la différence de charges entre les couples n’ayant pas, ayant peu ou ayant beaucoup d’enfants. Une compensation il est vrai de plus en plus dérisoire, puisque en cinquante ans les allocations ont diminué de près de 70% ! Nulle mesure plus contre-productive sur le plan économique, plus injuste sur le plan social et plus scandaleuse sur le plan symbolique ! Contre-productive sur le plan économique, car appauvrir les familles, c’est freiner la consommation et favoriser la récession tout en diminuant le nombre des actifs de demain par rapport aux retraités. Injuste sur le plan social, puisque ceux qui assurent l’avenir de la société sont défavorisés par rapport à ceux qui n’assurent que le leur. Scandaleuse, enfin, sur le plan symbolique, puisqu’elle pénalise la transmission même de la vie. Il est significatif que cette mise en coupe réglée des prestations familiales, dans le seul but d’augmenter les recettes de l’Etat, accompagne la montée en puissance parmi nos élites de l’idéologie écologiste, profondément malthusienne puisqu’elle considère depuis toujours la procréation humaine avec suspicion, voire comme un crime.

    En 1974 déjà, le premier candidat écologiste à une présidentielle, René Dumont, voulait taxer les familles de quatre enfants et plus — avant des mesures plus efficaces à la chinoise ? — pour le préjudice que cette « surproduction » faisait courir, selon lui, à l’équilibre écologique ; pensée criminelle, puisqu’elle définissait l’enfant comme un objet de luxe taxable, mais qu’a reprise et aggravée le député écologiste Yves Cochet en 2009, en calculant le coût carbone d’un enfant occidental — 620 trajets aller-retour Paris-New-York ! Et de réclamer, déjà, la réduction des allocations familiales ...dès le troisième enfant (mieux que René Dumont), ajoutant à l’époque dans un entretien au Monde : « S’il y a moins d’actifs et plus d’inactifs, notamment du troisième âge, la question des retraites en 2020 ou 2030 ou 2040 sera plutôt résolue par quelques réfugiés climatiques de la jeunesse du Sud que par une gestion purement comptable des caisses de retraite françaises.[1] » Ou quand le discours écologique, totalitaire par essence, puisqu’il conçoit l’humain simplement en termes de gestion, recoupe le discours ultralibéral et européen sur l’immigration...

    Car c’est bien de cette idéologie hors-sol — un comble pour les écolos —, indifférente à l’existence de nations historiques et de civilisations pérennes, faisant de l’homme un simple force de travail exportable, puisque réputé dépourvu de toute racine, que participe cette proposition, socialiste, de fiscalisation, qui, toutefois, ne scandalise pas outre-mesure la droite, et s’inscrit dans cette logique remplaciste qui satisfait les bobos français. Ainsi l’éditorialiste de Marianne, Nicolas Domenach, se réjouissait récemment face à Eric Zemmour [2], de ce que la « droite » française — laquelle ? —, sur le modèle de la droite américaine, devrait bientôt réviser, si elle voulait revenir au pouvoir, ses positions sur la présence des étrangers et la thématique communautariste en raison du poids grandissant de l’électorat issu de l’immigration, ou immigré, si le droit de vote est accordé aux étrangers extracommunautaires ! Et on ose intenter un procès à Renaud Camus pour son expression de « grand remplacement » alors même que ce grand remplacement, ce sont les élites dénationalisées qui le réclament à cor et à cri ! Comme si, du reste, la « droite », Sarkozy en tête, n’avait pas mené, en matière d’immigration, la même politique laxiste que Hollande poursuit aujourd’hui, en tentant déjà de s’attaquer à la politique familiale...

    Oui, la haine de la famille est bien le fait d’un pays légal qui, réduisant l’humain à une variable d’ajustement, ne pense plus en termes de peuple ou de nation mais de profits aux plans européen et mondial. Déconnectés du pays réel, nos dirigeants doivent s’attendre un jour ou l’autre à un retour de bâton ! Et qu’ils sachent d’ores-et-déjà que les Français, ce jour-là, ne pratiqueront pas « l’abstention militante et engagée », chère à NKM : ils en finiront avec l’imposture.

    François Marcilhac - L’AF 2857

    [1] http://www.lemonde.fr/planete/chat/... -

    [2] Sur I-Télé, le 16 février 2013 :

    http://www.actionfrancaise.net/craf...