Fripounette qui se trimballe Pustula en Inde et en Chine, était furieux contre Trump qui n’a pas voulu inviter sa bonne copine. Parce que l’UE n’est pas un pays, et que personne n’a élu cette grognasse. Il s’est vengé en faisant accueillir Vance aux marches du palais par un majordome gay, ce qui a eu l’air d’amuser beaucoup le vice-président. Les caprices de Macronescu sont mondialement connus et traités par le mépris.
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Panique à l’Élysée : les tocards avec Macron pour un dîner de cons
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[Info BV] Des boutiques pour contester son OQTF ! Le business de l’immigration
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[MÉDIAS] Un documentaire orienté sur les banlieues efface les ouvriers français
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La démocratie sans le peuple, ce mal français et européen
La démocratie sans le peuple : l’hérésie des Européistes est enfin dénoncée ! Le 14 février, Jacques Attali, symbole de la caste prolophobe, écrivait encore sur son blog préférer « la démocratie des juges » à « la dictature des élus ». Or le même jour, à Berlin, le vice-président des Etats-Unis, J.D. Vance, a stupéfié les participants à la Conférence sur la sécurité en accusant les dirigeants européens : « Il ne faut pas avoir peur de son propre peuple ! ». La leçon de démocratie, venant des Etats-Unis et d’un proche de Donald Trump, a été vue comme une ingérence, notamment par le RN.
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Les universitaires britannniques et leur rôle dans le fiasco ukrainien
Alors que Macron est en train d’essayer de négocier la poursuite de la vassalisation de l’Europe, en tentant de faire un peu monter les prix auprès du maître étasunien qui méprise totalement cette bande de bricoleurs avides de dollars, les révélations tombent sur pire si faire se peut que Macron, il y a les Britanniques qui n’ont cessé d’œuvrer pour attiser la guerre en Ukraine sous une forme ouvertement terroriste. Notez le rôle de l’université, quand l’on voit la manière dont sur les plateaux de télévision sont recrutés en couple avec des retraités haut gradés de l’OTAN, on mesure la manière dont dans toute l’Europe a été depuis la guerre froide développé des «spécialistes» dont les crédits et les publications sont entièrement dépendants des fonds de la CIA et d’autres services. Fort heureusement il existe au contraire une tradition d’universitaires qui en matière historique et anthropologique, en particulier à Cambridge, d’un tout autre niveau, mais c’est sur les premiers que ça «ruisselle», le plus extraordinaire c’est quand l’Université d’été du PCF recrute un de ces agents pour soutenir également la guerre contre «Poutine»… ou quand ils sont embauchés à l’Humanité comme pigistes ou responsable du secteur international. Le pire de ces gens-là n’est pas leur conseil mais leur implication directe y compris par le récit fictif qu’ils nous ont et continuent à nous balancer pour entretenir la guerre dans une opinion publique qui n’en veut pas pour le plus grand malheur du peuple ukrainien qui ne voulait pas non plus et avait élu Zelenski pour qu’il fasse la paix.
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Un entretien avec Eric Zemmour sur le coup d’État judiciaire dans le JDD
Le JDD. Plus que la proximité de Richard Ferrand avec Emmanuel Macron à la tête du Conseil constitutionnel, c’est la continuité idéologique de l’institution qui, selon vous, entrave le politique, notamment sur l’immigration. Pourquoi ?
Éric Zemmour. Richard Ferrand va succéder à Laurent Fabius. Un socialiste en remplace un autre. Comme toujours. Le Conseil d'État est aussi dirigé par un socialiste, M. Tabuteau. La Cour des comptes ? Un socialiste, M. Moscovici. Partout, les grandes institutions judiciaires sont entre leurs mains. La vraie question est ce qu’est devenu le Conseil constitutionnel. Il est aujourd’hui l’épicentre du gouvernement des juges. Il ne se contente plus d’interpréter le droit, il fait la loi. Il s’est arrogé un pouvoir qui n’était pas le sien, il a court-circuité l’exécutif et muselé le législateur. De Gaulle ne l’avait jamais voulu. Michel Debré l’avait dit sans ambiguïté : le Conseil constitutionnel n’a pas le droit de juger une loi sur le fond. Or, depuis plus de cinquante ans, il viole cette règle fondamentale. Le Conseil constitutionnel fonctionne sur un coup d’État.
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Centre Pausa pour migrants à Bayonne (64) : l’État, manquant à ses obligations d’hébergement, est condamné à verser plus de 800.000€ à l’Agglomération. Cette somme ne correspond qu’à la seule année 2019
Ouvert fin 2018 dans un ancien bâtiment de l’armée appartenant à la Communauté d’agglomération Pays Basque (CAPB), Pausa a, depuis, accueilli pas loin de 40 000 migrants sur la route de l’exil. Selon la CAPB qui en assure le fonctionnement, le centre lui coûte environ un million d’euros chaque année, une charge qu’elle ne souhaite supporter seule. Voilà pourquoi, en 2019, la collectivité se tourne vers les tribunaux afin de contraindre l’État français à mettre, lui aussi, la main au pot. Après un feuilleton judiciaire de six ans, la cour administrative d’appel de Bordeaux vient de lui donner raison.
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Maignelay-Montigny : le maire et des habitants s’opposent au projet de centre pour MNA… manque de transparence des autorités, un projet incohérent, le conseil vote contre : le projet défendu par la présidente LR du conseil départemental)
Nadège Lefèbvre (LR) a reçu lundi soir une délégation d’élus de la commune et des représentants du collectifs d’opposants. “Faire croire que nous allons placer des délinquants à Maignelay-Montigny, c’est complètement faux”, répète t-elle. “Les délinquants n’ont pas d’orientation, par le juge, vers un centre ouvert, ils vont dans des centres fermés qui ne dépendent pas des Conseil Départementaux mais de l’Etat, de la Protection Judiciaire de la Jeunesse (PJJ).”
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Nouvelles révélations sur les financements « militants » américains en France
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Grand remplacement : du fantasme d’extrême droite au projet d’extrême gauche
Le Monde et La Vie viennent de publier l’édition 2025 du hors-série L’Histoire des mythes. Souvent passionnant d’ailleurs, mais toujours révélateur. Partout, il faut donner des gages au politiquement correct du moment. Cela filtre, s’infiltre et dénature les approches et analyses. Le rôle des femmes, le matriarcat diffamé par le patriarcat, le racisme invention française, les motivations coloniales, la relativité des mythes européens ou du roman national, il y a une volonté de déconstruction dans ce recueil sur la construction des mythes. On peut certes faire la part des choses mais jusqu’à un certain point.