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C’est un article du Figaro (source ici) qui revient sur les dernières déclarations de notre ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet en se demandant si elle raison de dire qu’en France, « on n’a pas assez de gens qui travaillent » ?
Le problème, selon la ministre, ne proviendrait pas des individus en emploi, qui « eux travaillent beaucoup, si ce n’est plus que les Allemands et les Britanniques », mais plutôt du nombre de personnes qui travaillent.
C’est presque avec étonnement que les médias s’étonnent de la soudaine complicité entre les Etats-Unis et la Russie. Au sujet de l’Ukraine et dont celle-ci n’est qu’un prétexte pour redessiner la carte du continent.
Terje Tvedt, professeur, historien et écrivain, connu pour son analyse critique de la politique d’aide et du rôle des ONG humanitaires dans les structures de pouvoir internationales, a été interrogé dans Conflits suite attaques de l’administration Trump contre USAID. Il déclare notamment :
Progressivement mais sûrement, la fronde engagée contre les zones à faibles émissions (ZFE) monte en puissance. Le 18 mars, le député RN du Gard, Pierre Meurin, s’est fendu d’une question au gouvernement pour en demander l’abrogation, profitant de l’occasion pour relayer une pétition parlementaire lancée par Pierre Chasseray, délégué général de l’association 40 millions d’automobilistes, désormais associé dans ce combat à l’écrivain Alexandre Jardin, fondateur du mouvement protestataire Les Gueux.
« Honte à ce ramassis de conneries », dénonce l’association des victimes du bal de Crépol ce mercredi 19 mars, jour de sortie du livre-enquête Une nuit en France, anatomie du fait diversqui a déchiré le pays.
Alors que des vidéos montrant des civils ukrainiens enrôlés de force par l’armée circulent sur les réseaux sociaux, David van Hemelryck, présent en Ukraine ces dernières années, livre un témoignage poignant. Connu en France pour être le pilote de la banderole #Destitution, il décrit une réalité glaçante : des hommes sont arrachés à leur quotidien pour être envoyés au front.
Je ne suis pas un petit lapin de six semaines. Je connais la dureté des relations internationales. Bien évidemment qu’il faut être fort.
Bien évidemment qu’il faut avoir quelques armements pour assurer sa sécurité et sa… souveraineté !
Ce n’est pas à moi qu’il faut venir dire cela. Cela fait des années que j’écris sur les abandons et les renoncements si coupables de ceux qui nous dirigent et vendent nos intérêts, nos souverainetés au monde entier.
Cette France pitoyable qui ne veut pas d’une « épreuve de force » avec l’Algérie et qui fait semblant de croire qu’on peut discuter avec ce pays radical, qui hait la France jusque dans son hymne national… Discuter avec l’Algérie, c’est baisser éternellement sa culotte, ce dont la France est coutumière avec ce pays qui ne nous est d’aucune utilité, diplomatiquement et économiquement. Ainsi, nous ne réclamons pas les ardoises dues en matière de frais de santé, nous continuons à payer des retraites à des gens morts depuis longtemps, nous versons des aides au développement à un pays qui non seulement ne se développe pas mais véhicule des valeurs totalement opposées à celles de l’Occident. La réalité est que Paris a peur des réactions des gens de la diaspora algérienne en France, des émeutes… et Paris croit quoi, qu’en baissant éternellement sa culotte, il s’assurera de la paix et de l’amour avec une partie non négligeable de ces gens biberonnés à la haine de la France ? L’épreuve de force, il la faudra, tôt ou tard. A s’y prendre comme cela, Macron, toujours lui, dont le soutien à l’islam, y compris radical, est ouvertement affiché, fait penser à cette puissante maxime de Churchill : nous choisissons le déshonneur pour ne pas avoir la guerre et nous aurons les deux. Nous avions listé, au RPF, une série de mesures à prendre contre ce pays avec lequel, quelles que soient les concessions faites, nous n’aurons jamais la paix : les voici : L’Algérie et sa guerre contre la France – Rassemblement du Peuple Français
Lundi 17 mars 2025, la Cour européenne des droits de l’homme a refusé de rejuger une affaire dans laquelle elle a créé un véritable «droit au retour» pour les étrangers expulsés d’Europe. Explications de l’ECLJ :